contexte

Le jour de la Grande Division naissent quatre factions : une dictature basée sur les principes de l’Institut qu’on avait connu ; une communauté qui fonctionne sous forme de vote et de code pénal ; un groupe retrouvé piégé dans le bunker ; et une anarchie qui s’est ancrée en pleine Nature. Des tensions, étincelles existants déjà avant la Grande Division et la Révolution, ont fait naître une ambiance de guerre froide entre les factions. L’Institut Espoir n’existe plus, mais cette ambiance survivaliste, à qui l’emportera sur l’autre prend racine.

Il ne reste plus que l’Espoir. +

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InvitéInvité
Mar 27 Juin - 10:38
Cela faisait quelques heures qu'Eugène était sorti de la salle d'opération, passage obligatoire après la petite altercation qu'il avait eue avec ce cher Donatien. Il s'agissait surtout de se reposer à présent, et de rester immobile. Ce n'allait pas être facile pour le garçon, déjà qu'il avait l'impression d'être prisonnier sur cette île, son immobilité forcée ne l'arrangeait pas du tout. Il aurait bien aimé pouvoir dormir un peu, mais c'était particulièrement désagréable car il ne pouvait se bouger dans tous les sens comme il en avait l'habitude. Il aurait aimé détester Donatien de tout son coeur, planifier sa revanche encore et encore, trouver un moyen de brûler cet Institut de malheur. A la place il se sentait complètement vidé. Une partie de lui se demandait même si les médecins en l'opérant n'étaient pas tombé sur son âme et l'auraient retirée, par mesure de prévention. Il savait bien que son âme ne se situait pas dans sa jambe, mais il avait tout de même l'impression de ne plus être le même.
Le seul avantage de cette chambre de la partie infirmerie de l'institut était sa fenêtre. On avait placé le lit du jeune pyromane juste à côté de cette dernière, sans y prêter attention probablement, mais grâce à cela il pouvait s'imaginer être à l'extérieur, être loin de cette chambre qui sentait vraiment bizarrement. Il s'imaginait être comme cet oiseau, battant fortement des ailes mais étant incapable de dépasser les limites de l'île, à croire que les animaux aussi étaient piégés ici. Il s'imaginait être un nuage, se vidant petit à petit, apercevant la terre au loin, une sorte de terre promise qui ne pourrait que l'accueillir mais être vide, disparaître avant d'avoir pu toucher cette terre. Il s'imaginait être cet arbre dont les racines devaient le rattacher au reste du monde, mais qui ne pouvait bouger de cette île, qui ne pouvait même pas changer de position.
C'était ce qui avait changé, depuis l'attaque de Donatien. Même ses rêves s'étaient refermés sur l'île, rendant tout espoir impossible. Comme Icare, on lui avait retiré la possibilité même d'espérer. Comme Icare, il s'était laissé tomber.
La flamme qui l'avait habité pendant un moment c'était belle et bien éteinte.
Anonymous
InvitéInvité
Mar 4 Juil - 22:40
Mon entrée à l’Institut Espoir ne date pas d’il y a bien longtemps. De ce fait, je n’ais pas encore prit mes marques dans cet établissement. Il m’arrive fréquemment, lorsque je ne passe pas mon temps avec mes patients, de errer dans l’établissement, de rencontrer d’autres patients dont je n’ai pas la charge, de discuter avec des collègues, même si cette dernière activité n’est pas parmi mes favorites.

L’infirmerie n’est pas mon endroit favoris de cet institut. Au contraire, il me rappelle les désagréables souvenirs de quand j’étais tellement malade que j’étais coincé dans une chambre aussi agréable que celles de l’infirmerie, sans pouvoir bouger d’aucune façon, si ce n’est pour regarder à travers la fenêtre, les rares couleurs que je pouvais alors apercevoir et qui me sont interdites à présent.

Cela ne m’empêche cependant pas d’y faire un tour. Rencontrer les patients malheureux recèle toujours quelqu’intérêt. Qu’est-ce qui a fait qu’ils se retrouvent là, non à l’institut mais à l’infirmerie précisément, ne peut qu’être intéressant.

Me voilà dans une de ces chambres que je méprise plus que… Pas tout mais beaucoup de choses. D’après ce que je sais, le patient qui s’y trouve se prénomme Eugène, est de catégorie S et de numéro S126. L’affiche sur la porte de la chambre n’indique ni ce qui lui vaut une place à l’institut ni ce qui lui vaut une place à l’infirmerie.

Doucement, je frappe à la porte de la chambre. Avant d’entrer, j’ignore s’il dort ou non, alors je ne souhaite pas le réveiller. En entrant, je remarque tout de même qu’il ne dort pas, bien heureusement pour moi.

« Eugène ? Je suis le docteur Pavel. Je ne te dérange pas ? »

Que je le dérange ou non, je n’en ai rien à faire. Ça ne m’empêchera pas de venir discuter avec lui. Je referme la porte derrière moi, ne souhaitant pas être dérangé par un autre médecin qui sait que je ne devrais pas être ici. Je m’approche doucement de lui.

« Comment te sens-tu ? »

Pour le moment, mon seul objectif est de faire connaissance avec lui. Peut-être que si l’affaire m’est favorable, je pourrais en tirer quelque chose d’intéressant.
Anonymous
InvitéInvité
Jeu 27 Juil - 19:09
Eugène était dans cet état second depuis plusieurs minutes maintenant, il se laissait bercer par le silence, par cette absence de vie, de bruit, qui n'existait presque jamais entre les murs de l'institut. Bien sûr son corps le faisait souffrir et il était sûr que la dose de morphine n'était pas suffisante mais que même les infirmiers aimaient le faire souffrir. Il soupira profondément, se demandant s'il aurait un jour à nouveau une allumette, une briquet dans les mains. Si un jour il serait dehors à nouveau. Quand il repensait à dehors, il n'avait plus qu'une image floue, un vague sentiment de liberté, alors même qu'il avait oublié ce mot. En pensant au dehors, à la vie qu'il était en train de louper, il sentit les larmes lui monter aux yeux, mais il décida qu'il n'allait pas pleurer, qu'il ne pouvait pas faire ça, qu'il devait être fort, comme quand il était dans ce gang, comme quand les autres étaient forts pour lui. Dans l'institut, montrer de la faiblesse était le pire comportement possible. Déjà qu'il était blessé, il n'allait pas pleurer en plus de ça.
Il entendit un bruit contre la porte, qui le tira de sa rêverie et il se redressa, en alerte, comme si quelque chose d'autre allait lui tomber dessus, comme s'il pouvait recevoir une autre balle dans le corps, comme s'il n'était en sécurité nulle part. Il avait vécu tellement d'années dans la crainte et la peur qu'il ne savait tout simplement pas comment réagir autrement. C'était bien pour cela qu'il détestait qu'on le touche. Par peur à nouveau, il ne répondit rien. Peut-être que cette menace allait disparaître, passer son chemin et le laisser tranquille. Cependant, même pour lui c'était trop utopique, et un adulte fit irruption dans sa chambre, comme si c'était tout à fait normal.
Rapidement, Eugène tourna la tête vers la fenêtre, probablement pour essayer de ne pas tenir compte de sa présence. Il n'avait pas envie de voir d'adultes, pas envie de parler à des gens. Il poussa un nouveau soupir, croisant en plus de cela un bras sur son torse, pour bien montrer son refus de l'intrus. Il ne savait même pas qui il était ou ce qu'il voulait.  

« Eugène ? Je suis le docteur Pavel. Je ne te dérange pas ? Comment te sens-tu ? »

Bien sûr que tu me déranges, idiot, j'ai pas envie de te parler, pas envie de te voir, pas envie de te connaître. Et sinon ça va génial parce que votre abruti de collège m'a tiré une putain de balle dans la jambe, mais ça va, je le sens que par moment, ah et puis j'ai plus d'allumette, plus de rien donc c'est génial aussi de ce côté-là, j'ai pas du tout envie de mourir, grâce à vous! Heureusement que vous êtes là les docteurs, pour prendre soin des malades comme moi. Vous rendez votre nation fier, Docteur Pavel.


Bien évidemment il ne dit rien de ces mots. Il ne fit pas non plus le doigt d'honneur qu'il le démangeait. Il n'avait en vérité pas envie de s'attirer encore plus de problèmes. Alors il se contenta de soupirer bien fort pour montrer au médecin qu'il les lui brisait et qu'il n'avait pas envie de lui parler. Un charmant patient en somme.
Anonymous
InvitéInvité
Dim 13 Aoû - 13:47
De toute évidence le jeune homme n’a pas envie de me voir, tournant la tête vers la fenêtre comme je le faisais étant plus jeune. Je ne peux que comprendre que lorsqu’on est alité, on n’a pas forcément envie de voir un médecin. A part lorsque celui-ci se retrouve être le seul à pouvoir soulager la douleur.

Mais je ne me décourage pas. Je ne m’attendais pas à un accueil chaleureux, et si ça avait été le cas ça m’aurait profondément dérangé. Ignorant totalement pourquoi il est là, je me permets de regarder un peu les produits qui lui sont administrés, comprenant sans trop de mal sa blessure sans en connaître l’origine.

« T’a-t-on donné assez de morphine ou as-tu encore mal ? Je peux t’en donner encore si tu souffres. »

Même si la douleur est supportable, je sais bien qu’il est préférable de n’en sentir aucune. Ainsi je ne verrais aucune raison de ne pas l’aider à soulager sa douleur s’il en éprouve.

« Tu dois t’ennuyer. Puis-je faire quelque chose qui puisse soulager ton ennui ? Demande-moi ce que tu veux, je verrais ce que je peux faire. »

Je sais que devoir rester dans une chambre, sans bouger, n’est pas la chose la plus stimulante qui soit. Je regrettais souvent de devoir rester alité, inactif. Alors je me divertissais comme je le pouvais. Mais discuter avec les médecins ou les regarder exercer n’est pas forcément du goût de tout le monde, j’en suis bien conscient. Ma proposition je l’accompagne d’un sourire, tentant de paraître sympathique, sympathisant.
Anonymous
InvitéInvité
Lun 14 Aoû - 14:35
Ce médecin n'arrêtait pas de parler. Il n'aimait pas cela. C'était trop proche de tous les adultes qu'il connaissait. Il n'aimait vraiment pas les adultes. En tournant imperceptiblement la tête, Eugène lui jeta un coup d'oeil. Il l'avait déjà vu, mais peu. Il devait être récemment arrivé. Peut-être qu'il ne savait pas encore ce qu'il s'était passé. Il n'en savait rien et une partie de lui s'en fichait. D'un autre côté, il venait de lui proposer de la morphine. Et c'était quelque chose dont le garçon avait vraiment besoin. Il se redressa difficilement sur son lit, regardant à présent le médecin. Il voulait savoir s'il pouvait lui faire confiance ou non. A l'Institut, on ne pouvait faire confiance à personne. Eugène le savait bien. Mais il n'avait pas grand chose à demander. Rien qu'une petite dose. Peut-être que ça remplacerait la flamme qui n'existait plus en lui.

"J'veux bien" murmura le garçon, aussi bas que possible mais pour que le médecin l'entende quand même. Il maîtrisait parfaitement sa voix, il avait appris au fil des années de ne jamais parler trop fort. Il n'aimait pas le bruit, mais c'était aussi pour ne pas être entendu par ceux qui pouvaient se venger sur lui.

Il le regardait par dessous, n'osant plus imposer son regard sur lui, alors qu'il venait de le faire l'instant d'après. Simplement, il avait demandé quelque chose et c'était comme s'il avait une dette envers lui à présent. Sa vie était compliquée comme ça. Il avait terriblement envie de replier les jambes, comme pour se protéger face à cet homme qu'il ne connaissait pas. Il n'aimait pas les adultes. Mais il était piégé là, incapable de faire la moitié de ses mouvements habituels. Il se contenta de passer une main sur son visage, signe de sa nervosité, avant de se mordre les lèvres. Il devait lui demander. Il devait parler, pour éviter ce silence qui n'était jamais bon signe.

"Pourquoi vous êtes là?"  
Anonymous
InvitéInvité
Ven 18 Aoû - 19:39
Alors aue je parle de morphine, le jeune patient se redresse dans son lit avec mal et je m’approche pour l’aider, lui mettant bien son coussin derrière lui pour qu’il soit bien installé. Après tout, c’est aussi dans ma fonction de médecin de faire ce genre de chose et parfois ça m’aide aussi à me faire apprécier de mes patients.

De sa petite voix, il me dit qu’il apprécierait la morphine que je lui propose. Pas dans ces termes, mais c’est tout comme. Tiens, ça tombe bien, j’ai justement ce qu’il lui faut là, dans ma poche, alors que ce genre de produit est généralement gardé sous clé. Pourquoi j’ai ça dans ma poche ? Je ne donnerais jamais la véritable réponse. Ça pourrait me valoir des soucis.

« Très bien, je me permets de t’emprunter ton bras. »

Avec la matériel – bien sûr, propre et conforme, que j’ai dans ma poche, je lui prépare une seringue de morphine. Normalement, c’est un produit qu’il faut diluer et injecter petit à petit, pour contrer tout effet négatif. Mais ce n’est pas mon but.

Je désinfecte la zone où je vais lui injecter le produit et le pique, ne cherchant pas à lui faire mal, utilisant toute la douceur que je suis capable d’apporter lors de ce processus. Puis, le produit injecté, je retire la seringue, en retire l’aiguille et range le tout à nouveau dans la poche de ma blouse. Le produit, ainsi injecté, ne devrait pas trop tarder à faire effet.

Il ne me regarde plus vraiment. Ce qui ne me dérange pas. De toute façon ce n’est pas son regarde qui m’intéresse mais son corps. Je reçois une question de sa part et je lui sourit. Pourquoi je suis là ? Tu ne veux pas le savoir. Et c’est d’ailleurs pour cette raison que je ne te dirais pas la vérité. Doucement, je m’assieds au bord du lit et parle bas, avec ce qui peut sembler, sans vraiment en être, de la sympathie dans ma voix.

« Je suis là pour t’aider. N’est-ce pas pour cela que tu es dans cet établissement ? Pour que des médecins comme moi puissent t’aider ? Je sais que tout les médecins ne le font pas. C’est peut-être même l’un d’entre eux qui t’as fait cette blessure… »

C’est avec une pseudo-inquiétude que je le regarde. Je suis plutôt vaguement au courant que mes collègues ne sont pas toujours délicats avec les patients, mais ça m’est égal. Je ne le suis pas non plus.
Anonymous
InvitéInvité
Sam 19 Aoû - 12:28
Le garçon avait hésité à tendre le bras. Il savait qu'il allait y avoir contact et il détestait cela. Pourtant, il avait trop envie de la drogue pour refuser. Il savait parfaitement bien qu'il était à sa merci, par son état physique et par sa position à l'institut, alors il décida d'abandonner toute résistance. Il tendit le bras, se crispant un peu en sentant ses mains si proches de sa peau, puis sa main sur sa peau. Il ferma les yeux, pour ne pas s'imposer à lui-même cette vision d'horreur. Déjà, il sentit le liquide intégrer son sang, et il se détendit un peu. Il allait oublier sa jambe et sa position, bientôt. A ce moment, il ressembla à n'importe quel junkie, une aiguille dans le bras, les yeux fermés et l'air satisfait.
Après avoir fait quelques mouvements de la main, pour bien faire circuler la drogue, le brun rouvrit les yeux, étonné que le médecin soit encore là. Il pensait que ce gars allait le laisser tranquille, une fois qu'il aurait fait sa petite affaire. Quelque chose en Eugène lui disait qu'il y avait un truc qui clochait. Déjà, il avait pris une seringue de sa propre poche, pas de l'équipement hospitalier qui l'entourait. Normalement les médecins ne peuvent se permettre se genre de choses. Pendant un instant de plus, Eugène y réfléchit. Ce médecin, ce nouveau médecin, se permettait de jouer avec ses propres règles. Et d'après l'expérience du garçon, ça n'était jamais bon signe.
Les sourcils froncés, il l'écouta déballer sa tirade. Il mentait. Même dans son état second Eugène pouvait le sentir. Il replia un peu ses jambes, pour s'éloigner du corps du médecin et pour avoir un sentiment de protection. Sentiment illusoire, mais il avait besoin de cela pour ne pas perdre encore plus la tête.
La respiration d'Eugène commençait à s'accélérer, mais il avait l'impression que tout devenait trouble devant lui. Il cligna des yeux, plusieurs fois, pour tenter de mettre ses idées au clair. Il avait très très envie que l'autre s'en aille, il le savait, mais le reste commençait à se brouiller sérieusement.

"Vous n'êtes pas là pour .. m'aider", marmonna-t-il.

Il se redressa encore, attirant ses jambes vers lui au prix d'une grimace.

"Je sais que vous les adultes n'êtes que des menteurs.." ajouta-t-il en commençant à être terrifié.
Anonymous
InvitéInvité
Dim 15 Oct - 22:27
Mon jeune patient semble avoir hésité à tendre le bras, ce que je ne peux que comprendre. Il ne me connaît pas et il peut avoir des difficultés à faire confiance à un médecin qui lui est inconnu. Ou même à faire confiance à un médecin tout court, ce qui semble être relativement la norme dans cet établissement. Mais comme il n’est pas étonnant, il me permet quand même de lui injecter le produit.

Cependant je n’en ai pas terminé avec lui. Je ne suis pas venu dans le but de lui injecter la morphine puisque j’ignorais tout de lui avant de me rendre dans la chambre. Alors que je lui parle, je peux voir sans soucis que je ne le convainc pas.

Ses réponses achèvent de me le montrer. Je l’effraie et je ne suis probablement pas le seul ici. Cependant il doit savoir qu’il n’a pas à être effrayé par moi. Certainement je ne suis pas le plus doux médecin ici, mais je ne pense pas être le pire non plus, pas ici.

Je m’assied au bord de son lit et le regard, un sourire, censé prouver une quelconque sympathie envers lui, sur mes lèvres.

« Si je ne suis pas là pour t’aider, pour quoi suis-je ici ? »

Pendant quelques secondes je le laisse réfléchir avant de tenter à nouveau de le rassurer. C’est dans mon intérêt, et peut-être le sien si tout va bien, qu’il me fasse confiance. Et je dois le lui faire comprendre.

« Je comprends. Les adultes que tu as rencontré, surtout ici, ne doivent pas toujours être très honnêtes. Mais nous sommes là pour t’aider. Je suis là pour t’aider. Si tu ne veux pas me faire confiance, alors utilise-moi. Si tu as besoin de quelque chose, demande-moi et si je peux le faire, je le ferais. »

Peut-être qu’ainsi je pourrais gagner sa confiance. Ou au moins obtenir une relation proche de celle-ci. Sachant que je ferais ce que je peux pour satisfaire à ses désirs, toujours dans l’optique qu’il puisse me faire confiance.
Anonymous
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