La Famille est un groupuscule fermé : interdiction d'y entrer et d'en sortir - à quelques exceptions. A sa tête : Donatien Elpida. Tout le monde est multi-tâches et participe à la vie en collectivité comme il le peut selon un planning bien défini qu'on peut trouverIci. La Famille est certainement la faction la moins nombreuse car elle ne comporte que les personnes que Donatien juge nécessaires, cependant il semblerait qu'il soit prêt à accepter de nouveaux membres...
Les différences patients/médecins n'existent plus vraiment, ainsi l'uniforme n'a plus de raison d'être. Cependant, au début de la Famille, Donatien a fait faire des nouvelles tenues et tout le monde est habillé de blanc.
Il est possible de rejoindre la Famille. En effet, c'est une faction bien dépeuplée et Donatien s'est bien rendu compte qu'il lui manquait de la main d'œuvre ...

Victor Graham est le fondateur de l'Institut Graham avec, comme bras droit, Amalia Reano. En l'absence de Victor, la voix d'Amalia compte autant que celle de Victor.
L'uniforme n'est imposé qu'à la milice, renforcée au niveau du torse ; ainsi qu'aux patients qui conservent leur matricule. Comme vous pouvez le constater, les fonctions sont semblables à celle de l'Institut Espoir.
Ordre et rigueur rythment la vie dans cette faction. Globalement le fonctionnement se rapproche de celui de l'institut qu'on a connu, avec plus de fermeté. Pour cela, une milice a pour objectifs de récupérer des patients "égarés" et de restaurer l'ordre sur l'île. Interdiction de tuer, obligation de commencer par la négociation mais si la violence est vraiment nécessaire ...
Les nouveaux venus - qui passent par Amalia pour vérifier qu'ils sont cleans, puis par Katerina, subissant une quarantaine - auront droit au logement et au soin une fois dans les bonnes grâces de Victor.
Il n'est pas rare que Graham attaque la faction d'Ange, notamment les "anarchistes" afin de leur ouvrir les yeux. De plus, au début de la Grande Division, la faction de Graham a dérobé une quantité astronomique de matériel médical dans le bâtiment des patients avant de s'installer dans le bâtiment du personnel.
En conclusion, la majorité des patients qui ont rejoint Victor sont ceux qui étaient contre la révolution de base, car préférant la stabilité et les soins prodigués par l'Institut, ou les patients violents ravis de rejoindre sa milice.

Ange Barrabil et Ophelia Rosedbury sont les co-dirigeants de cette République. Les voix de chacun compte et sont régulièrement écoutées. Cette République est dans un objectif de reconstruction - physique : des bâtiments et psychologique : cette Révolution a eu un impact post-traumatique - et de vivre ensemble dans la sécurité, la santé, et le bien-être. Comme l'Institut Graham ils ont une vocation de soins, leur méthode divergent de celle plus strictes que Graham.
Ainsi, il n'y pas véritablement de châtiment. Les personnes ayant commis un délit voire un crime sont en garde à vue et le code pénal s'appliquera.
Ceux qui veulent rejoindre cette Faction et étant du groupe de Victor Graham, une enquête sera faite sur eux. Pour tout le monde : il faudra signer un règlement disponible ICI.
La façon de vivre diffère de ce qu'on a pu connaître à l'Institut. Chacun a un rôle bien défini : il reste des soigneurs pour s'occuper des malades et invalides. Ceux qui sont en état sont fermiers, bâtisseurs, combattants, artistes ... La vie dans la République s'approche plus d'un village que d'un Institut.

C'est le groupe de ceux qui n'appartiennent à aucun. Ils n'ont pas leur place auprès de l'Institut Graham ou de la République, et n'ont pas été victimes du piège de Donatien. Globalement, ce sont des anciens révolutionnaires dont la santé ne dépend pas des médecins. Il n'y a pas de chef officiel mais des personnalités s'imposent. Ils pillent régulièrement l'Institut et on reçu, au début de la Grande Division, des vivres et des aides médicales de la part de la République en échange de quelques objets pillés chez l'Institut.
Ils fonctionnent donc en anarchie, n'ont pas de fonctions particulières ou d'uniformes. Ils œuvrent au nom de la liberté.