contexte

Le jour de la Grande Division naissent quatre factions : une dictature basée sur les principes de l’Institut qu’on avait connu ; une communauté qui fonctionne sous forme de vote et de code pénal ; un groupe retrouvé piégé dans le bunker ; et une anarchie qui s’est ancrée en pleine Nature. Des tensions, étincelles existants déjà avant la Grande Division et la Révolution, ont fait naître une ambiance de guerre froide entre les factions. L’Institut Espoir n’existe plus, mais cette ambiance survivaliste, à qui l’emportera sur l’autre prend racine.

Il ne reste plus que l’Espoir. +

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Lucy VincentÉlectron libre
Dim 11 Mar - 17:44
J'étais encore perdue, déboussolée dans ce centre un peu trop grand pour mon sens de l'orientation.
Heureusement le réfectoire avait été facile à trouver. Ce matin cela m’avait pris dix minutes de moins que la veille pour m’y rendre. Ce midi serait donc sans doute encore plus rapide.

La journée avait été particulièrement lumineuse et m’avait filé un mal de crâne. C’est Donc avec un début de migraine que je sortis à l’heure du repas.
Je longeais les murs de la main, concentrant mes yeux sur mes pieds, que pour une fois je m’étais résignée à chausser. Le sol restait froid à l’extérieur, trop pour y aller sans. Je devais être partie un peu tôt ou peut-être trop tard car je ne croisai pratiquement personne dans les couloirs.
Je marchai tranquillement me demandant si je reverrai Nev aujourd’hui. Je ne l’avais plus aperçu depuis notre balade au clair de lune et c’était bien dommage. Il avait été Si gentil, j’aurai bien aimé lui reparler, mais étant donné que je marchai pratiquement toujours sans regarder au loin c’était normal que je ne le voie pas! Peut-être je l’avais croisé sans m’en rendre compte! Je me forçai à affronter la lumière, dans l’espoir de voir mon nouvel ami. J’allais fermer les yeux, ma rétine trop agressée par la lumière quand je crut voir dans le bâtiment adjacent une forme familière. Nev!
Me dépêchant de sortir du présent bâtiment je me retrouvai rapidement sous le soleil.
Le surplus de lumière accru ma migraine de façon très violente, cette journée était particulièrement pénible.
Ma tête brûlait, mon sang bâtant dans mes tempes comme des tambours. La tête entre les mains pour tenter d’apaiser la douleur par leur pression. Je trébuchai finalement au centre de la cour.
Le front contre la terre froide. Je ne me sentais pas le courage de me relever. En tombant mon chandail avait dû se retrousser sur mon dos, je sentais le soleil commencé à me mordre la peau.

J’étais seule au milieu de la cour depuis un moment, à ce rythme je serais cuite avant mon repas.
C’est sur cette pensée que ma notion du temps et de l’espace s’effaça.


Dernière édition par Lucy Vincent le Lun 12 Mar - 5:31, édité 1 fois
Lucy Vincent
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Groupe : La FamilleDate d'arrivée à l'Institut : 20/02/2018Age : 25
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Dim 11 Mar - 20:06
UNE JOURNÉE DIFFICILE

VINCENT Lucy & LAVOIR Astrid

Ce rapport. Où est ce fichu rapport.

Onyx n'arrivait pas à se le sortir de la tête. Il faut dire que ce n'était absolument pas dans ses habitudes que de faire une telle erreur. Ce matin, elle avait mise en suspend la rédaction du rapport d'auscultation de la journée pour cause d'un appel téléphonique inopiné. Cet appel l'ayant obligé à voir Monsieur Barrabil dans son bureau afin de lui transmettre quelques informations. Jusque là, tout va bien, seulement elle était persuadée d'avoir laissée le rapport en question sur son bureau, et lorsqu'elle y est retournée elle n'en a plus revue la couleur. Elle a retournée la salle de fond en comble pour le retrouver mais impossible de mettre la main dessus. Seulement, elle ne pouvait absolument pas se permettre de ne pas le rendre au Docteur Barrabil en temps et en heure - cela ne lui était jamais arrivé et ne lui arrivera sûrement jamais - alors elle est partie manger hélico presto, en ayant dans l'idée de le rédiger de nouveau dans l'après-midi en même temps que ses autres tâches de la journée, quitte à prendre des heures supplémentaires pour que tout soit fait. Cela ne lui était encore jamais arrivé, et elle était presque honteuse de l'envisager mais ce n'était absolument pas l'idée de bosser d'avantage qui la répugnait. C'était plutôt d'avoir fait une erreur aussi bête, digne d'une débutante de bas étage. Elle ne se le pardonnera sûrement jamais.

Au final, elle avait pratiquement pas mangé lorsqu'elle quitta les lieu afin de retourner à son bureau. Elle se rendit au bâtiment d'un pas pressé, limite énervé, tout en serrant son manteau autour de sa taille, le regard bas. Ses talons claquaient avec vigueur sur le sol pendant qu'elle passait juste à côté des locaux principaux de l'Institut; il serait d'ailleurs profitable qu'elle prenne le temps de les visiter un jour. Elle n'avait pas la tête à ça, ce n'est pas la raison pour laquelle elle avait tournée les yeux vers la cour de l'Institut ce jour là. Mais il y avait un bruit étrange qui l'a préoccupait; quelque chose de pas normal, comme elle l'entendait souvent lors des auscultations matinales du Docteur Barrabil. Un bruit qu'elle détestait mais qu'elle se forçait d'écouter chaque matin afin de rédiger ses fichus rapports. Mais normalement, elle n'était pas censée entendre ce bruit ici. Celle d'une respiration forte, et instable.

En tournant les yeux, Onyx aperçut une jeune personne, étendue sur l'herbe fraîche au centre de la cour. Elle se tenait la tête, pressant ses tempes avec force, comme victime d'une intense douleur. Il ne fallait pas avoir un doctorat pour réaliser que cette jeune femme avait besoin d'aide. L'espace d'un instant, Astrid arriva à oublier son travail - chose qui en soi est un exploit -, puis se mit à courir au chevet de la jeune femme. Arrivée à son niveau, elle s'accroupit à côté d'elle, posant sa main frêle et froide sur son dos. Bien qu'elle paniquait intérieurement, elle s'efforça de s'exprimer avec une voix calme et claire, faisant passer la patiente avant elle.

"Mademoiselle ? Mademoiselle est-ce que ça va ? Vous m'entendez ?"
 

Anonymous
Lucy VincentÉlectron libre
Dim 11 Mar - 21:12
Je perçois à peine le bruit des pas qui s’approchait de moi, les flashs de lumière monopolisaient mon esprit. Je devais partir d’ici, l’idée tournait en boucle dans ma tête, mais comment si je ne pouvais voir où je devais aller…
Une douce pression m’aida à retrouver quelque peu mes esprits. Je sentais quelque chose de frais au travers du tissu de lin qui me couvrait.

"Mademoiselle ? Mademoiselle est-ce que ça va ? Vous m'entendez ."

La voix résonna dans ma tête comme si j’étais sous l’eau, je l’avais bien entendue mais il me prit plus de temps avant de comprendre qu’elle m’était adressée. Et encore un peu plus de temps avant de déchiffrer qu’une personne me demandait si j’allais bien.
Je ne réussis pas à relever la tête pour regarder celle qui m’avait parlé.
Car oui, à sa voix, bien que me semblant déformée quelques secondes plus tôt, je devinais aisément que c’était celle d’une Femme.

Là-la lumière…

Parler était difficile, désorientée et paniquée à l’idée d’être en train de cuire au soleil. Je ne cherchais que peu mes mots, ceux-ci sortants comme ils étaient arrivés dans mon esprit.

Je ne peux pas ouvrir les yeux… j’ai trop… mal.

J’essayai de me redresser pour lui montrer mes yeux qui devaient sans aucun doute larmoyer pour qu'elle comprenne. Mais aussitôt redressés les tambours dans ma tête reprirent et j’enfouis ma tête dans les vêtements de cette femme invisible.
À son contact mon cœur s’apaisa un peu, la panique baissa aussi. Il y avait quelqu'un, je n’étais pas seule, elle allait m’aider.
Les battements se firent moins insistants, calés sur mon rythme cardiaque qui s’apaisait un peu.

Je dois partir… le soleil, je vais cuire, je le sens dans le bas de mon dos, ça chauffe.

J’avais déjà connu cette sensation, des années auparavant endormies dans le jardin, cette fois par chance j’étais plus couverte mais je sentais Tout de même ma peau me brûler à divers endroits.
Je ne savais pas quoi faire, je voulais simplement qu'elle me sorte de là.

C’est douloureux, aidez-moi s’il vous plaît ...
Lucy Vincent
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Dim 11 Mar - 22:05
UNE JOURNÉE DIFFICILE

VINCENT Lucy & LAVOIR Astrid


"Là-la lumière…Je ne peux pas ouvrir les yeux… j’ai trop… mal."


La jeune femme se redressa avec difficulté, tout en s'accrochant à la secrétaire qui la tenait avec poigne. Lorsqu'elle leva la tête, elle vit ses yeux, d'un blanc aussi intense que ses cheveux, baignés de larmes qui trempaient son visage tordu de douleur. Cette vision écorcha le cœur d'Astrid qui aussitôt prit une expression grave. Cette personne avait réellement besoin d'aide, et elle ne pouvait s'imaginer la souffrance qu'elle éprouvait à cet instant. Avec des yeux aussi clairs, il n'avait rien d'étonnant à constater que cette petite soit photosensible. Bien que sa pâleur générale soit également singulière, Onyx n'avait pas le temps de se poser d'avantage de question. Son premier réflexe fut de prendre le visage de la jeune femme et de le serrer contre son cœur afin de le protéger du soleil. C'était tout ce que, à son niveau, elle pouvait se permettre de faire. Mais cela n'allait pas stopper la douleur qui la torturait. Elle le savait.
Comme pour la calmer, Astrid se mit à lui caresser ses longs cheveux avec douceur, bien que ses doigts tremblaient légèrement sur le coup de la panique. Elle prenait de grande respirations, tout en essayant de remettre de l'ordre dans ses idées.

"Je dois partir… le soleil, je vais cuire, je le sens dans le bas de mon dos, ça chauffe. C’est douloureux, aidez-moi s’il vous plaît ..."


L'anglaise, là, tout de suite, ne pouvait rien faire. Mais nous sommes dans un Institut. Un Institut médical. Il y avait forcément quelqu'un qui pouvait l'aider ici. Quelqu'un...Quelqu'un...Probablement son médecin attitré. Mais elle ne sait pas qui il est; Astrid est arrivée il y a peu, et dans une situation d'urgence telle que celle-ci elle ne pouvait pas se permettre de se perdre dans l'Institut à la recherche de quelqu'un dont elle ne peut même pas visualiser le physique. Ce n'était pas une patiente du docteur Barrabil, ça, elle en était sûre, car elle avait retenue les matricules et l'apparence de tous ses patients par coeur. Il y avait peut-être une chance que ça soit une patiente du docteur Elpida, surtout toute fragile qu'elle est, mais il n'en possède que trois, et-...
Elle se posait trop de questions. Elle n'avait pas le temps de réfléchir. Elle se disait que vu l'urgence de la situation, autant l'emmener auprès du Docteur Barrabil. Elle l'avait vue tout à l'heure, il est probablement encore dans son bureau à l'heure qu'il est. Il n'y avait plus à attendre.

"Je vais vous emmener voir un médecin, d'accord ? Accrochez-vous à moi. Tenez bon."
 

Cela dit, elle retira sa veste afin de la poser contre la patiente, comme pour la protéger du soleil. Puis elle fit de son mieux pour la hisser sur son dos. Elle avait consciente que la jeune femme devait être aveuglée alors avant tout de chose, elle avait prise elle-même ses bras afin de les poser sur ses épaules avant de lui prendre les jambes.

"Tenez-vous fermement, d'accord ?"
 
Anonymous
Lucy VincentÉlectron libre
Dim 11 Mar - 22:55
Je vais vous emmener voir un médecin, d'accord . Accrochez-vous à moi. Tenez bon.

À ses mots la Femme avait cessé de me caresser la tête et plaça mes bras de manière à me porter.

Tenez-vous fermement, d'accord ?

Je n’avais pas l’énergie dème poser trop de questions, mais me tenir ça je le pouvais.
Sur le coup je n’avais même pas remarqué qu’un vêtement avait été posé sur mes épaules.
Maintenant je sentais plus clairement que le soleil ne m’atteignait plus. Cette dame qui ne me connaissait pas me portait!
M'emmenait voir un médecin. La chaleur sur ma peau ayant diminué je put retrouver un semblant de calme, mon cœur battait toujours plus rapidement qu’a l’habitude, mais la panique avait été apaisé. Je me sentais maintenant seulement si lourde, épuisée par cette vilaine crise.
Quant au travers mes minces paupières je décelai qu’on était finalement à l’abri d’un bâtiment je n’ouvris pas les yeux pour vérifier. J’appréciai seulement pour une fois la blancheur de l’éclairage, au final ça me semblait moins terrible que le soleil.

Je n’entendais pas la personne qui me portait qu'à moitié mais tenant toujours bon.
Elle me portait je devais au moins ne pas lui rendre la tâche encore plus difficile en tombant.Mais comment les gens faisaient-ils pour me porter? J’aurais été incapable de porter qui que ce soit. La respiration bien que lointaine de celle-ci me semblait plus saccadée que celle de Nev…Je m’hasardai à ouvrir un oeil que je refermai bien vite, j’avais cru apercevoir une mèche argentée.
J'avais l'impression que j'étais sur son dos depuis des heures...
Lucy Vincent
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InvitéInvité
Dim 11 Mar - 23:29
UNE JOURNÉE DIFFICILE

VINCENT Lucy & LAVOIR Astrid


La patiente avait tout de même trouvée la force de se maintenir aux épaules d'Onyx. Après s'être assurée de sentir sa poigne, Astrid se mit à marcher aussi vite qu'elle pouvait. Elle courrait presque, bien qu'elle évitait de trébucher avec ses escarpins - cela avec une personne sur le dos, ça aurait pu tourner à la catastrophe -. Elle commençait à haïr la distance symbolique qui se trouvait entre le bâtiment principal de l'Institut et celui du personnel. Tu m'étonnes que dans le milieu, on appelle cette partie de l’île "Le lointain".  
Une fois arrivée aux portes du bâtiment, elle les ouvrit tant bien que mal tout en continuant de porter fermement la jeune fille affaiblie sur son dos. Ne t'en fais pas, on y est presque...
Sur le chemin, le regard surpris des divers médecins et membre de l'équipe ne se firent pas rares. Certains lui posaient probablement des questions d'un ton inquiété mais elle ne les entendait pas. Elle n'avait juste pas le temps de s'en préoccuper, elle traçait sans dire bonjour. Ses pas, d'habitude gracieux, s’enchaînaient à une vitesse folle, donnant à sa marche une allure militaire. Quelle journée cauchemardesque. Cela, ajouté au rapport qu'elle eut perdu, et la manière dont elle allait probablement rentrer brutalement dans le bureau de son supérieur, ce n'était décidément pas sa journée. Il y avait des jours comme ça, la secrétaire avait vécue pire. Mais elle aurait préférée se mettre en retard pour d'autres raisons, comme pour avoir eue une soudaine envolée d'inspiration et avoir écris plusieurs heures après le repas.
 Quel drôle de fantasme. Astrid ne ferait jamais ça. 

Le chemin lui avait parue une éternité avant que le duo ne se retrouve à proximité du bureau du Docteur Barrabil. Pour une fois, elle n'avait pas traînée en observant ce a quel point le bâtiment était beau. Arrivée devant la porte, elle fit doucement en sorte que les pieds de la jeune fille prennent contact avec le sol, tout en la maintenant fermement. Elle gardait un de ses bras derrière son cou pour qu'elle puisse se tenir, et la maintenait de son mieux par la taille.

"Ça va aller ? Vous pouvez vous tenir debout ?...Ne vous inquiétez pas, je ne vous lâche pas."
 
Anonymous
Lucy VincentÉlectron libre
Lun 12 Mar - 5:27
Ce parcours m’avait semblé interminable, mais la dame ne m’avait pas laissé tomber, j’étais toujours calé contre son dos les paupières closes quand notre course s’arrêta.
Cette personne était-elle humaine? Elle m’avait porté Si longtemps et nous semblions même être arrivé à bon port.
L’on avait me semble-t-il parcouru une longue route pour parvenir jusqu’ici. Des voix entendues interpelant une personne que je ne connaissais pas m’étaient, sur le coup, parvenue tel un bourdonnement indistinct.

Après cet arrêt, comme si de rien n'était le sol rejoins mes pieds ou plutôt, mes pieds touchèrent le sol, étais-je tombée?
Non c’était bien trop doux et maintenant je les percevais sur moi. Une main ou un bras derrière mon cou m’aidait à rester debout à moins que ce n’était celui à ma taille.
Les pensées perçaient difficilement ma confusion. J’entendis pourtant une nouvelle fois sa voix, encore elle me paraissait venir de l’extérieur. Mais cette fois c’était un peu plus compréhensible à mes oreilles.

"Ça va aller . Vous pouvez vous tenir debout ....Ne vous inquiétez pas, je ne vous lâche pas."

Heureusement qu’elle avait ajouté cette phrase après sa question, complètement perdu j’aurais eu bien du mal à ne pas m’effondrer.Je hochai la tête doucement, oui ça irait.
Du moins si je n'avais pas à rester éternellement debout. Je ne pris aucune distance avec elle allant même jusqu'à poser mes mains pour m’y retenir au besoin.
Ensemble nous faisons quelques pas, tout doucement je suivais le léger mouvement, docile.
Tout m’avait semblé d’une lenteur interminable, chaque mouvement chaque pensée, il semblait bien que nous étions arrivés ou bien nous étions tout près.
Je voulais la remercier, lui dire qu’elle m’avait sauvé, mais sur l’instant je ne savais plus comment le faire convenablement. Je me contentai de poser ma tête contre elle, toujours sécurisé par ses bras en murmurant un petit;

Merci

hors rp:
Lucy Vincent
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