Hyppolite VodeniDisparu de l'Île
Mar 20 Nov - 11:34
 | Gueule de bois et tête dans le ... |
Whoa… Il n’avait jamais eu si mal au crâne de sa vie. C’était comme si son cerveau avait la nausée, et son estomac était tout retourné. Son ventre était ballonné et sa gorge asséchée. Pas besoin de bouger trop loin pour visiter le Sahara ; le désert était dans sa gorge.
Hyppolite fit claquer sa langue à plusieurs reprises, comme pour en reprendre le contrôle car elle était étonnement engourdie.
Il n’y avait pas trop de lumière dans la chambre et pourtant il fallut battre plusieurs fois des cils pour que la rétine d’Hyppolite s’habitue. Quand il s’acclimata à la luminosité - à peine discrète, juste quelques rayons de soleil filtrés par les rideaux - il voulut observer là où il venait de se réveiller. Il était à même le sol, à l’étroit, et il avait froid. Son esprit tournait au ralenti, il lui fallut beaucoup de temps pour analyser les indices : balais, sceaux, serpillière … Il venait de se réveiller dans le cagibi.
Il passa sa main sur son visage, blasé. Hier avait été le bal d’Halloween et Hyppolite se souvenait d’avoir cherché Katou et ne l’avoir jamais trouvée, avoir laissé partir Agnès, avoir vidé beaucoup de verres et … Ange. Ha oui cet abruti ! Ange Barrabil s’était ridiculisé publiquement et Hyppolige avait voulu le sauver d’une certaine honte alors qu’il embrassait une blonde au pif -la veinarde de la soirée. Il l’avait alors sorti de la salle et depuis …
Le vide.
Rien.
C’était … troublant.
Il chercha son téléphone, peut-être que des sms ou photos pourraient l’aiguiller. En se tatonnant il comprit pourquoi il avait froid : il était nu. Pas entièrement : il avait encore son slip. Mais le jean et le pull de Noël étaient à sa gauche.
Bon, si ce n’était que ça. Il s’en sortait pas si mal.
En se penchant pour ramasser ses affaires, son dos toucha quelque chose qui ressemblait à de la peau. Pétrifié, il se tourna lentement pour voir que Ange, à sa droite, dormait tranquillou. Ange, et lui … ivres la veille… Avaient dormi dans le même cagibi … Et Hyppolite n’était pas complètement habillé. Et il ne se souvenait plus de rien à partir du moment où ils avaient quitté la salle de bal.
Une seule solution à ce genre de moment tout en adoptant un comportement adulte et raisonnable : hurler.
Hyppolite fit claquer sa langue à plusieurs reprises, comme pour en reprendre le contrôle car elle était étonnement engourdie.
Il n’y avait pas trop de lumière dans la chambre et pourtant il fallut battre plusieurs fois des cils pour que la rétine d’Hyppolite s’habitue. Quand il s’acclimata à la luminosité - à peine discrète, juste quelques rayons de soleil filtrés par les rideaux - il voulut observer là où il venait de se réveiller. Il était à même le sol, à l’étroit, et il avait froid. Son esprit tournait au ralenti, il lui fallut beaucoup de temps pour analyser les indices : balais, sceaux, serpillière … Il venait de se réveiller dans le cagibi.
Il passa sa main sur son visage, blasé. Hier avait été le bal d’Halloween et Hyppolite se souvenait d’avoir cherché Katou et ne l’avoir jamais trouvée, avoir laissé partir Agnès, avoir vidé beaucoup de verres et … Ange. Ha oui cet abruti ! Ange Barrabil s’était ridiculisé publiquement et Hyppolige avait voulu le sauver d’une certaine honte alors qu’il embrassait une blonde au pif -la veinarde de la soirée. Il l’avait alors sorti de la salle et depuis …
Le vide.
Rien.
C’était … troublant.
Il chercha son téléphone, peut-être que des sms ou photos pourraient l’aiguiller. En se tatonnant il comprit pourquoi il avait froid : il était nu. Pas entièrement : il avait encore son slip. Mais le jean et le pull de Noël étaient à sa gauche.
Bon, si ce n’était que ça. Il s’en sortait pas si mal.
En se penchant pour ramasser ses affaires, son dos toucha quelque chose qui ressemblait à de la peau. Pétrifié, il se tourna lentement pour voir que Ange, à sa droite, dormait tranquillou. Ange, et lui … ivres la veille… Avaient dormi dans le même cagibi … Et Hyppolite n’était pas complètement habillé. Et il ne se souvenait plus de rien à partir du moment où ils avaient quitté la salle de bal.
Une seule solution à ce genre de moment tout en adoptant un comportement adulte et raisonnable : hurler.
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Fiche personnage : fiche personnageEspace personnel : espace personnelGroupe : Les DisparusDate d'arrivée à l'Institut : 27/06/2013Age : 37
Fiche personnage : fiche personnageEspace personnel : espace personnelGroupe : Les DisparusDate d'arrivée à l'Institut : 27/06/2013Age : 37AngeCo-dirigeant
Dim 25 Nov - 13:04
D'abord, je crois que c'est mon réveil, donc je lève mon bras avant de râler, puis j'abats ma main sur un truc à la fois poilu, chaud et gras. Je me dis que je viens de me frapper sans le sentir, donc je tends mon bras le plus loin possible avant de donner un coup d'une deuxième fois. Rien.
Ce bruit commence à me faire super mal à la tête. J'ai le ventre qui demande à sortir par ma bouche, ma gorge qui est devenue un vrai terrain sec, la bouche toute pâteuse et... Et j'ai la gueule de bois. Merde. Enfin, une "xylostomiase", comme les médecins qui veulent se la péter disent.
Je me relève doucement, et je remarque direct les courbatures que j'ai dans le bas du dos. Je soupire lourdement, avant de mettre ma tête dans mes mains. J'ai putain de mal à ma putain de tête.
Sans comprendre plus que ça la situation, je prends des trucs qui ressemblent à des habits et les enfile. Je pense les avoir mal mis, mais bon, quand on est plus à ça prêt... Ma dignité est clairement parti en vacances depuis longtemps. Moi qui voulait redorer mon blason, je crois que j'ai contribué à le salir encore plus.
Je touche un truc qui ressemble à un téléphone et tatillonne pour l'allumer. Une lumière bleue m'aveugle. J'arrive pas à voir si c'est un Iphone ou pas, mais qu'importe. Du moment qu'il m'aidera à savoir avec qui je suis, où ça et à quoi ressemble ma tête, ça me va. De toute façon, ça ne peut pas être pire.
Lorsqu'il est totalement allumé, je remarque de suite que ce n'est pas mon portable. Je dirige le faisceau lumineux au truc que j'ai frappé tout à l'heure. Une cuisse. Je remonte la lumière jusqu'à voir le visage...
- HYPPOLITE?!!!
e lâche le téléphone et me relève si vite que mon crâne vient se cogner contre des trucs que je sais même pas ce que c'est, ce qui n'arrange certainement pas mon cas.
- 'Tain, tu fous quoi là, merde?!
Ce bruit commence à me faire super mal à la tête. J'ai le ventre qui demande à sortir par ma bouche, ma gorge qui est devenue un vrai terrain sec, la bouche toute pâteuse et... Et j'ai la gueule de bois. Merde. Enfin, une "xylostomiase", comme les médecins qui veulent se la péter disent.
Je me relève doucement, et je remarque direct les courbatures que j'ai dans le bas du dos. Je soupire lourdement, avant de mettre ma tête dans mes mains. J'ai putain de mal à ma putain de tête.
Sans comprendre plus que ça la situation, je prends des trucs qui ressemblent à des habits et les enfile. Je pense les avoir mal mis, mais bon, quand on est plus à ça prêt... Ma dignité est clairement parti en vacances depuis longtemps. Moi qui voulait redorer mon blason, je crois que j'ai contribué à le salir encore plus.
Je touche un truc qui ressemble à un téléphone et tatillonne pour l'allumer. Une lumière bleue m'aveugle. J'arrive pas à voir si c'est un Iphone ou pas, mais qu'importe. Du moment qu'il m'aidera à savoir avec qui je suis, où ça et à quoi ressemble ma tête, ça me va. De toute façon, ça ne peut pas être pire.
Lorsqu'il est totalement allumé, je remarque de suite que ce n'est pas mon portable. Je dirige le faisceau lumineux au truc que j'ai frappé tout à l'heure. Une cuisse. Je remonte la lumière jusqu'à voir le visage...
- HYPPOLITE?!!!
e lâche le téléphone et me relève si vite que mon crâne vient se cogner contre des trucs que je sais même pas ce que c'est, ce qui n'arrange certainement pas mon cas.
- 'Tain, tu fous quoi là, merde?!
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Fiche personnage : fiche personnageEspace personnel : espace personnelGroupe : Le VillageDate d'arrivée à l'Institut : 20/02/2015Age : 30
Fiche personnage : fiche personnageEspace personnel : espace personnelGroupe : Le VillageDate d'arrivée à l'Institut : 20/02/2015Age : 30Hyppolite VodeniDisparu de l'Île
Ven 30 Nov - 18:27
| Gueule de bois et tête dans le ... |
- HYPPOLITE ?!!!
- ANGE ?!!!
Ha putain cette lumière qui lui pétait les yeux ! Est-ce qu'il ne pouvait pas baisser l'écran de téléphone ?! Où le diriger ailleurs ?! Ange, ou l'art et la manière de le faire chier même au réveil.
Alors qu'il se cachait des yeux avec le revers de sa main, il pensa à quelque chose : son cher collègue aurait-il enfin retenu son prénom ? Le fait de s'être pris une murge et de lui avoir tâté la cuisse - rien que d'y penser ... eurk - semblait lui avoir enfin imbriqué son prénom dans le crâne. A quel point était-il devenu proches ?
Dans ce bordel, Ange se leva et parut se cogner contre quelque chose. Bien fait.
Le téléphone tomba dans le mouvement et Hyppolite s'en accapara. Mais ? Mais ? Mais c'était son portable !
Hyppolite se pressa de taper son code PIN et vérifia si la vidéo de la veille était toujours là ... Bingo. Bon, seul le paparazzi connaissait l'identité de l'homme masqué et bourré, mais ça faisait toujours une bonne façon de menacer son collègue s'il venait à révéler quoique ce soit.
- 'Tain, tu fous quoi là, merde ?
- Vraiment ? Ce qui t'intéresse le plus actuellement c'est de savoir pourquoi je suis ici ? Le fait qu'on soit presque à poil, à deux, dans un cagibi, et que tu viennes actuellement de me tripoter, ça ne te fais pas tiquer ?
Hyppolite tâta les alentours à la recherche d'un truc à enfiler. Son pull de la veille était toujours là. Il se leva, se trouvant bien à l'étroit dans ce cagibi et mit ce pull d'Hiver tout irritant. Bordel, il avait tellement mal au crâne... Il n'avait jamais trop abusé sur l'alcool, et maintenant il savait pourquoi. C'était de la merde !
- Bref. On rationnalise. Tu te souviens de quelque chose toi ? Parce que moi là ... A part que tu roulais une galoche à une blonde et que j'ai eu une soudaine envie de t'aider à ne plus t'humilier, c'est le trou noir. Dernier souvenir. J'ai fais ma BA et pouf, plus rien.
Franchement, ça craignait. Il supposa qu'il avait voulu ramener Ange dans sa chambre vue qu'ils avaient dormi ici mais ... Avaient-ils eu la flemme de monter ? D'ailleurs, étaient-ils dans leur bâtiment ou celui des patients ? Y'avait-il des gens derrière la porte ? Quelle heure était-il ?
Il regarda sur son portable : 14h12. Ça pique.
- ANGE ?!!!
Ha putain cette lumière qui lui pétait les yeux ! Est-ce qu'il ne pouvait pas baisser l'écran de téléphone ?! Où le diriger ailleurs ?! Ange, ou l'art et la manière de le faire chier même au réveil.
Alors qu'il se cachait des yeux avec le revers de sa main, il pensa à quelque chose : son cher collègue aurait-il enfin retenu son prénom ? Le fait de s'être pris une murge et de lui avoir tâté la cuisse - rien que d'y penser ... eurk - semblait lui avoir enfin imbriqué son prénom dans le crâne. A quel point était-il devenu proches ?
Dans ce bordel, Ange se leva et parut se cogner contre quelque chose. Bien fait.
Le téléphone tomba dans le mouvement et Hyppolite s'en accapara. Mais ? Mais ? Mais c'était son portable !
Hyppolite se pressa de taper son code PIN et vérifia si la vidéo de la veille était toujours là ... Bingo. Bon, seul le paparazzi connaissait l'identité de l'homme masqué et bourré, mais ça faisait toujours une bonne façon de menacer son collègue s'il venait à révéler quoique ce soit.
- 'Tain, tu fous quoi là, merde ?
- Vraiment ? Ce qui t'intéresse le plus actuellement c'est de savoir pourquoi je suis ici ? Le fait qu'on soit presque à poil, à deux, dans un cagibi, et que tu viennes actuellement de me tripoter, ça ne te fais pas tiquer ?
Hyppolite tâta les alentours à la recherche d'un truc à enfiler. Son pull de la veille était toujours là. Il se leva, se trouvant bien à l'étroit dans ce cagibi et mit ce pull d'Hiver tout irritant. Bordel, il avait tellement mal au crâne... Il n'avait jamais trop abusé sur l'alcool, et maintenant il savait pourquoi. C'était de la merde !
- Bref. On rationnalise. Tu te souviens de quelque chose toi ? Parce que moi là ... A part que tu roulais une galoche à une blonde et que j'ai eu une soudaine envie de t'aider à ne plus t'humilier, c'est le trou noir. Dernier souvenir. J'ai fais ma BA et pouf, plus rien.
Franchement, ça craignait. Il supposa qu'il avait voulu ramener Ange dans sa chambre vue qu'ils avaient dormi ici mais ... Avaient-ils eu la flemme de monter ? D'ailleurs, étaient-ils dans leur bâtiment ou celui des patients ? Y'avait-il des gens derrière la porte ? Quelle heure était-il ?
Il regarda sur son portable : 14h12. Ça pique.
Codage par Libella sur Graphiorum
Image : Fiche personnage : fiche personnageEspace personnel : espace personnelGroupe : Les DisparusDate d'arrivée à l'Institut : 27/06/2013Age : 37
Fiche personnage : fiche personnageEspace personnel : espace personnelGroupe : Les DisparusDate d'arrivée à l'Institut : 27/06/2013Age : 37AngeCo-dirigeant
Dim 16 Déc - 14:54
- Vraiment ? Ce qui t'intéresse le plus actuellement c'est de savoir pourquoi je suis ici ? Le fait qu'on soit presque à poil, à deux, dans un cagibi, et que tu viennes actuellement de me tripoter, ça ne te fais pas tiquer ?
Il marque un point. J'ai tellement mal au crâne que j'ai du mal à différencier le vrai du faux, et à mettre des idées au clair. Disons que le truc le plus important actuellement, dans mon esprit, est vraiment : pourquoi il est ici. Et ce pourquoi pourrait me mener à la vérité... Putain, j'espère ne pas avoir fait des trucs homos avec lui... Le pire choix du monde quoi.
- Bref. On rationnalise. Tu te souviens de quelque chose toi ? Parce que moi là ... A part que tu roulais une galoche à une blonde et que j'ai eu une soudaine envie de t'aider à ne plus t'humilier, c'est le trou noir. Dernier souvenir. J'ai fais ma BA et pouf, plus rien.
Je plisse les yeux, mais ça ne m'aide pas à mieux le voir. Je sais juste qu'il s'est relevé et qu'on est vachement serré dans cette pièce. Je. Veux. Me. Barrer. Vite.
Je me gratte l'arrière du crâne. Je... J'ai fait ça, hier?
- J'ai vraiment roulé un patin à une blonde...? J'ai fait quoi d'autre?
J'ai peur de ce qu'il va me dire...
Il marque un point. J'ai tellement mal au crâne que j'ai du mal à différencier le vrai du faux, et à mettre des idées au clair. Disons que le truc le plus important actuellement, dans mon esprit, est vraiment : pourquoi il est ici. Et ce pourquoi pourrait me mener à la vérité... Putain, j'espère ne pas avoir fait des trucs homos avec lui... Le pire choix du monde quoi.
- Bref. On rationnalise. Tu te souviens de quelque chose toi ? Parce que moi là ... A part que tu roulais une galoche à une blonde et que j'ai eu une soudaine envie de t'aider à ne plus t'humilier, c'est le trou noir. Dernier souvenir. J'ai fais ma BA et pouf, plus rien.
Je plisse les yeux, mais ça ne m'aide pas à mieux le voir. Je sais juste qu'il s'est relevé et qu'on est vachement serré dans cette pièce. Je. Veux. Me. Barrer. Vite.
Je me gratte l'arrière du crâne. Je... J'ai fait ça, hier?
- J'ai vraiment roulé un patin à une blonde...? J'ai fait quoi d'autre?
J'ai peur de ce qu'il va me dire...
Image : Fiche personnage : fiche personnageEspace personnel : espace personnelGroupe : Le VillageDate d'arrivée à l'Institut : 20/02/2015Age : 30
Fiche personnage : fiche personnageEspace personnel : espace personnelGroupe : Le VillageDate d'arrivée à l'Institut : 20/02/2015Age : 30Hyppolite VodeniDisparu de l'Île
Mar 18 Déc - 19:26
| Gueule de bois et tête dans le ... |
Les fringues, c'était enfin fait. Maintenant, il mangerait bien truc. Ou boirait bien. Oh ouais, un bon verre d'eau. Il avait la langue si râpeuse qu'il ne serait pas étonné d'avoir essayé de mâcher des cailloux pendant son black-out.
- J'ai vraiment roulé un patin à une blonde...? J'ai fait quoi d'autre?
Hyppolite dévisagea Ange avec des yeux ronds. Très bien, donc deux mecs ivres à poil et sans mémoire. Il eut une boule au ventre, imaginant ce qui avait bien pu se passer. Il se toucha le torse, comme pour se rassurer. Il sentit son coeur battre des records de vitesse.
- C'est bien ce que j'aimerais savoir, grinça-t-il entre ses dents. Mais oui, le célèbre coureur de jupons n'a fait qu'embrasser hier soir.
Enfin, normalement.
Hyppolite entre-ouvrit la porte. Il y alla si doucement qu'on entendit ses articulations bouger. La lumière, agressive, lui fit plisser les yeux.
Passant sa tête, il vérifia que les couloirs étaient vides. Si on les voyait tous les deux sortir aussi débraillés d'un lieu aussi étroit, avec l'habituelle air louche de Barrabil, alors ils étaient bons pour être le centre des rumeurs de l'Institut. Qu'en penserait son patron ...?
- Bon, je te propose de vérifier l'état des lieux, l'état de nos corps -chacun de notre côté, ça va de soi - et d'aller nous rafraîchir.
S'il trouvait une connerie dans le coin, genre ... des herbes de provence ou un liquide suspect ... Il ne saurait comment le prendre.
- J'ai vraiment roulé un patin à une blonde...? J'ai fait quoi d'autre?
Hyppolite dévisagea Ange avec des yeux ronds. Très bien, donc deux mecs ivres à poil et sans mémoire. Il eut une boule au ventre, imaginant ce qui avait bien pu se passer. Il se toucha le torse, comme pour se rassurer. Il sentit son coeur battre des records de vitesse.
- C'est bien ce que j'aimerais savoir, grinça-t-il entre ses dents. Mais oui, le célèbre coureur de jupons n'a fait qu'embrasser hier soir.
Enfin, normalement.
Hyppolite entre-ouvrit la porte. Il y alla si doucement qu'on entendit ses articulations bouger. La lumière, agressive, lui fit plisser les yeux.
Passant sa tête, il vérifia que les couloirs étaient vides. Si on les voyait tous les deux sortir aussi débraillés d'un lieu aussi étroit, avec l'habituelle air louche de Barrabil, alors ils étaient bons pour être le centre des rumeurs de l'Institut. Qu'en penserait son patron ...?
- Bon, je te propose de vérifier l'état des lieux, l'état de nos corps -chacun de notre côté, ça va de soi - et d'aller nous rafraîchir.
S'il trouvait une connerie dans le coin, genre ... des herbes de provence ou un liquide suspect ... Il ne saurait comment le prendre.
Codage par Libella sur Graphiorum
Image : Fiche personnage : fiche personnageEspace personnel : espace personnelGroupe : Les DisparusDate d'arrivée à l'Institut : 27/06/2013Age : 37
Fiche personnage : fiche personnageEspace personnel : espace personnelGroupe : Les DisparusDate d'arrivée à l'Institut : 27/06/2013Age : 37AngeCo-dirigeant
Dim 20 Jan - 21:39
- C'est bien ce que j'aimerais savoir.
Putain, dîtes-moi que c'est une blague… Dîtes-moi que c'est une vengeance pour avoir commis un meurtre, ou que sais-je… Dîtes-moi que je n'ai rien fait de suspicieux avec ce type… Pitié, si je ne croyais pas en Dieu avant, je vais me ranger du côté d'Agnès maintenant tellement je vais devenir pieux à force de prier le Ciel pour que ce ne soit jamais arrivé. Oh Mon Dieu, priez pour nous, pauvres pécheurs...
- Mais oui, le célèbre coureur de jupons n'a fait qu'embrasser hier soir.
Alors ça marche vraiment? Oh putain, je vais me retrouver à embrasser Agnès tellement je suis content de voir que prier fonctionne! Je promets de ne plus jamais me foutre de la gueule des religieux et de prendre au sérieux Agnès chaque fois que je la vois! J'irai à l'Eglise tous les jours et je ferai des offrandes! C'est un miracle!
Bon, je te propose de vérifier l'état des lieux, l'état de nos corps -chacun de notre côté, ça va de soi - et d'aller nous rafraîchir.
- Bonne idée. Je file direct, pas envie de rester. Bon courage!
Je sors du cagibi sans demander mon reste et en me faufilant jusque dans ma chambre. Ma tête tourne, ma langue est râpeuse, ma gorge est un désert, mais je n'ai rien fait d'homosexuel! AMENO! Ca mérite un passage long sous l'eau chaude de ma douche...
Putain, dîtes-moi que c'est une blague… Dîtes-moi que c'est une vengeance pour avoir commis un meurtre, ou que sais-je… Dîtes-moi que je n'ai rien fait de suspicieux avec ce type… Pitié, si je ne croyais pas en Dieu avant, je vais me ranger du côté d'Agnès maintenant tellement je vais devenir pieux à force de prier le Ciel pour que ce ne soit jamais arrivé. Oh Mon Dieu, priez pour nous, pauvres pécheurs...
- Mais oui, le célèbre coureur de jupons n'a fait qu'embrasser hier soir.
Alors ça marche vraiment? Oh putain, je vais me retrouver à embrasser Agnès tellement je suis content de voir que prier fonctionne! Je promets de ne plus jamais me foutre de la gueule des religieux et de prendre au sérieux Agnès chaque fois que je la vois! J'irai à l'Eglise tous les jours et je ferai des offrandes! C'est un miracle!
Bon, je te propose de vérifier l'état des lieux, l'état de nos corps -chacun de notre côté, ça va de soi - et d'aller nous rafraîchir.
- Bonne idée. Je file direct, pas envie de rester. Bon courage!
Je sors du cagibi sans demander mon reste et en me faufilant jusque dans ma chambre. Ma tête tourne, ma langue est râpeuse, ma gorge est un désert, mais je n'ai rien fait d'homosexuel! AMENO! Ca mérite un passage long sous l'eau chaude de ma douche...
Image : Fiche personnage : fiche personnageEspace personnel : espace personnelGroupe : Le VillageDate d'arrivée à l'Institut : 20/02/2015Age : 30
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