contexte

Le jour de la Grande Division naissent quatre factions : une dictature basée sur les principes de l’Institut qu’on avait connu ; une communauté qui fonctionne sous forme de vote et de code pénal ; un groupe retrouvé piégé dans le bunker ; et une anarchie qui s’est ancrée en pleine Nature. Des tensions, étincelles existants déjà avant la Grande Division et la Révolution, ont fait naître une ambiance de guerre froide entre les factions. L’Institut Espoir n’existe plus, mais cette ambiance survivaliste, à qui l’emportera sur l’autre prend racine.

Il ne reste plus que l’Espoir. +

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InvitéInvité
Jeu 8 Juin - 0:39

Institut espoir

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Informations essentielles

Nom : Wallenstein
Prénom : Pavel
Surnom : Docteur Pavel
Âge : 27 ans
Groupe : Médecin
Occupation : On peut choisir ? Si oui j'veux bien les patients du groupe C.

Profil Psychologique

merci de ne pas modifier cette image« Rapport de l’examen du 12 décembre par le docteur Pavel. »
Dirigée vers le dictaphone, la voix s’arrête là, s’apprêtant à commencer le rapport en question avant de reprendre sur le même ton monocorde.
« Wallenstein. »
L’habitude n’est pas encore là. À force de s’entendre toujours appelé par son prénom, il en aurait presque oublié son nom de famille.

Un soupire agacé suit l’ajout.

Rapidement, la voix continue, toujours monocorde, hâtant tout d’abord le rythme, comme pour rattraper le temps perdu, puis revient à une allure plus modérée après l’introduction.
« Rapport psychiatrique.
Le sujet semble quelque peu détaché de la réalité. Non qu’il ne la perçoit pas, mais qu’il n’a pas envie de s’y attacher. On peut cependant se demander si, par moment, il ne le fait pas, malgré lui. Ce qui expliquerait le présent rapport. » Cette dernière phrase a été ajoutée dans un ton plus bas, comme une remarque à part, destinée à personne en particulier et certainement pas au dictaphone en plein enregistrement.
« Les intérêts du sujet sont limités à l’expérimentation médicale sur les êtres vivants. Humains ou animaux, parfois même lui-même, peu lui importe. De même, leur bien-être ou leur maux ne lui importe que dans la mesure qu’ils sont le résultat de ses expérimentations et un prélude à d’expérimentations futures. » Avec ces information, la voix d’un médecin devrait tout de même exprimer quelques sentiments désapprobateurs. Mais ici, rien. Le docteur Pavel Wallenstein ne semble pas avoir la moindre émotion quant aux exactions de son sujet.
« Même s’il a du mal à s’attacher aux êtres vivants, le sujet semble cependant apprécier la compagnie d’oiseaux, exclusivement en cage, servant également comme sujets d’expérimentation. Pourtant, la perte d’un de ces animaux ne l’émeut aucunement, au contraire de celle des sujets qui lui sont important. » Une voix troublée termine cet énoncé, pareille à si son possesseur avait du mal à y croire alors que la preuve lui crève les yeux. Légèrement agacé par cela, il reprend son rapport après un court silence.
« Une fois que le sujet éprouve quelque attachement à l’un de ses cobaye, ce dernier occupera une grande partie de ses pensées et souffrira de cette affection. Tout d’abord au niveau de sa santé. Comme tout sujet d’expérience, il recevra des doses de médicaments ou de poisons, données ou cachés dans nourriture ou autre, destinés à voir la réaction du corps. Parfois même, au lieu de troubles de santé, il recevra des blessures physiques, habiles machinations sous couvert de maladresse. Puis, il sera soigné, avec énormément d’attention, et retrouvera sa santé sous la surveillance du sujet du rapport. Autant l’une que l’autre phase se répétera régulièrement, pendant lesquelles le sujet se montrera tantôt taquin, tantôt faussement ou véritablement inquiet, en fonction de la situation. Pour obtenir la sympathie du cobaye dont il se serait attaché, le sujet n’hésiterais pas à utiliser ses dons de comédien pour feindre les émotions dont il n’est pas pourvu selon lui, parvenant même à pleurer sur commande tout comme à sourire d’une façon incroyablement convaincante. Par la suite, il commencera, petit à petit, à éloigner son cobaye d’autres personnes qui puissent lui être plus ou moins proche, cherchant à être la seule personne pour son cobaye, à être la seule personne à avoir sa confiance et son affection. Enfin, après s’être assuré de s’être rendu indispensable pour la santé, il cherchera à se rendre nécessaire émotionnellement parlant, rabaissant l’air de rien son cobaye pour lui expliquer qu’il est là pour lui, malgré tout, et qu’il le serra toujours. » Si les propos tenus par le médecin sur le profil du sujet donnent peu envie d’avoir affaire à celui-ci, le praticien ne semble pas autant rebuté. Pour peu, on pourrait presque entendre une pointe de ce qui pourrait ressembler à de la fierté dans sa voix.
« Malgré son comportement avec ses cobayes, le sujet reste poli et respectueux avec ceux-ci et les autres personnes qu’il serait amené à rencontré. Concernant ces derniers, il aura tendance à garder une certaine distance, puisqu’ils seraient capable de troubler ses petites expériences dont il note soigneusement les résultats dans un carnet, utilisant un alphabet à base de symboles qu’il a lui-même créé . Avant que j’oublie, le sujet est étonnement fier d’être un bon cuisinier et s’agace facilement du moindre petit désordre. »  Sur ces derniers mots, le médecin éteint le dictaphone. Ce rapport introspectif rejoindra bientôt les nombreux autres rapports qu’il a fait sur ses « cobayes ». Parfois, lorsqu’il se sent incroyablement mal après avoir ingéré quelque médicament, il se demande s’il ne devrait pas arrêter de s’utiliser comme sujet d’expérience, comme cobaye.

Pavel rallume son dictaphone. Il a oublié quelques petites choses qu’il s’empresse d’ajouter, sur le ton monocorde qu’il ne fait entendre que quand il ne s’amuse pas de ses cobayes.
« N’étant pas psychiatre de formation, je tiens à préciser que ce rapport n’est pas à visé médicale.
Fin du rapport. »

Physionomie

« Rapport de l’examen physique du 29 août par le docteur Pavel Wallenstein. »
Nouveau dictaphone, nouveau rapport. Pourquoi attendre un an pour la suite des rapports introspectifs du docteur ? Était-il trop occupé à s’amuser avec un autre de ses cobaye ou a-t-il été trop touché par son premier rapport ? Lui seul le sait mais vous feriez mieux d’éviter de penser que le docteur Pavel a un coeur.
Un an après, le ton monocorde du premier rapport est toujours là alors qu’il commence son rapport.

« Le sujet est actuellement âgé de… » Un court arrêt, comme pour se souvenir. « … vingt-sept ans et ce pour encore soixante-quinze jours. » Un soupire. L’âge serait-il un sujet sensible, docteur ?
« La taille du sujet atteint le mètre soixante-dix, une taille pour le moins moyenne compte tenu de son âge et de son type eurasien. Niveau poids, il est en-dessous de la barre des cinquante-cinq kilogrammes, un poids assez anormal si l’on considère sa taille et son âge mais qui semble cependant convenir puisque tous les étés il retrouve ce même poids. Les hivers, cependant, il lui arrive de prendre jusqu’à dix kilos sans que cela ne se voit énormément et sans forcer son appétit.
Plus en détail, le sujet a ses cheveux d’une couleur brun clair, portés longs et constamment attachés sur la nuque. Quant à ses yeux, la rumeur les veux violets, lavande même, bien qu’à l’origine ils furent gris. Une paire de lunette correctrice à monture rouge encadre son visage.
Nous noterons une anomalie dans son dos, le long de sa colonne vertébrale, résultants de ses expérimentations. »

Court mais précis, si ce n’est sur l’anomalie, le rapport se termine ici. Plus détaché que sur le premier rapport, la voix du médecin a gardé la même intonation tout du long.
Presque professionnel, le docteur Pavel s’est bien gardé de parler de ce qui à ses yeux n’a pas d’intérêt, omettant d’indiquer sa tendance à porter constamment chemise et cravate de diverses couleurs ainsi qu’une blouse blanche.

« Fin du rapport. »

Biographie

« Rapport du 2 septembre du docteur Pavel Wallenstein. »
La voix enregistrée par le dictaphone est plus lente, plus fatiguée qu’à l’accoutumée. Comme si la perspective de ce rapport épuisait le médecin, avant même qu’il soit commencé. Un long silence suit cette introduction.

« D’abord, il n’y avait que des sons. Bas, constants, calmes, ces bruits étaient tout proches. Une sorte de compteur, peut-être ? Et il y avait la présence de ces oiseaux –peut-être deux ou trois- chantant sans cesse, volant de droite à gauche, puis de gauche à droite. Ce monde -un monde sans rien d’autre que du son- a continué pour ce qu’il semblait être une éternité. C’était comme si j’avais été enfermé dans une nuit incessante, rêvant pour l’éternité.
Ensuite est arrivé un monde sans couleur. Un plafond blanc, un lit blanc, des machines grises. Rien n’avait de couleur. » Rarement a-t-on entendu le médecin parler avec autant de franchise, d’honnêteté. Même sa voix, plus chaude que d’habitude, semble différente.

Un autre silence, tout aussi long que le premier. Puis le retour du détachement.

« Le sujet a subit des injections régulière, diverses et variées, principalement des anticorps. Cependant, ceux-ci ne semblaient pas assez importants puisqu’il fut tout de même nécessaire de traiter le sujet pour différentes maladies, tout aussi régulièrement.
Les anticorps faisaient effet quelques semaines, éliminant la majorité des maladies auquel le sujet pouvait être confronté. Puis dès que les anticorps disparaissaient de son organisme, le sujet retombait presque invariablement gravement malade, souvent jusqu’à s’évanouir pendant plusieurs jours.
Alors il subissait de nouveau des injections de produits divers et variés, médicaments et anticorps, les médecins essayant de compenser le déficit immunitaire primitif du sujet.
Pour le sujet, ceci était la routine. Depuis aussi loin qu’il se souvient, il a toujours été dans cet hôpital, entouré des médecins et recevant divers traitements.
Dès que sa maladie a été détectée, le sujet a été laissé à l’hôpital qui est devenu comme sa maison, puisqu’il n’a pas en souvenirs la maison dans laquelle il était censé vivre, celle de ses parents. Le sujet n’a jamais reçu la visite de ses parents qui s’occupaient de lui à distance, s’assurant qu’il ne manque de rien d’autre que de la présence de ses proches. » Une certaine émotion peut s’entendre sur cette dernière partie, une émotion que l’on sent plus réelle que n’importe quelle autre que le docteur Pavel peut montrer. Il marque alors une pose, reprenant ses esprits.

« Vivant constamment à l’hôpital, le sujet a développé des connaissances médicale à un jeune âge. Lorsque son état le lui permettait, il lui arrivait d’assister les médecins et les infirmiers, si bien qu’on lui donna le sobriquet de « petit docteur Pavel ». Le sérieux que le sujet exprimait alors, loin des attitudes des enfants de son âge, lui attirait autant la sympathie que l’aversion.
Mais lorsqu’il n’était pas en consultation, que ce soit en tant que patient ou en tant que médecin, le sujet recevait des cours particuliers de professeurs embauchés pour l’occasion mais ceux-ci, autant les cours que les professeurs, ne lui semblaient d’aucun intérêt et il n’y mettait aucun effort.
Ce qui l’intéressait plutôt, c’était de voir l’effet des médicaments sur le corps et l’esprit des patients. Au fur et à mesure qu’il grandissait, le sujet, dont la santé devenait moins fragile, savait faire davantage montre des sentiments qui étaient attendus de la part des patients mais aussi du personnel hospitalier. Ainsi, le sujet gagnait la confiance des personnes qu’il côtoyait s’il ne l’avait pas déjà acquise.
Et avec cette confiance des autres, il gagna également confiance en lui.
Celle-ci lui permit, encore enfant, de faire ce que personne ne lui aurait autorisé à faire : administrer des médicaments et substances à des patients qui n’auraient pas du les recevoir.
Le but premier était ce qu’on appelle « noble ». Il s’agissait de soulager les douleurs, comme il est du devoir du personnel hospitalier, en utilisant des moyens auxquels les médecins en charge n’avait pas pensés ou qu’ils n’auraient osés proposer.
Les premiers effets furent ceux escomptés. Mais bientôt des effets secondaires firent leur apparition. Ceux-ci étaient parfois bien différents des effets dont on avait déjà connaissance, car combinés avec des produits avec lesquels on n’aurait pas pensé à les administrer.
Bien plus que tout le reste, ce sont ces effets secondaires imprévisibles qui intéressaient le sujet. Ses interventions auprès des patients de ses mentors médecins n’étaient plus que pour son intérêt personnel, sa curiosité. Il dégradait volontiers leur santé pour les soigner par la suite, testant différentes combinaisons de médicaments qu’il subtilisait dans les réserves sans jamais être inquiété. » Avec ce ton détaché qui est le sien, on pourrait presque croire que le sujet en question est vraiment quelqu’un d’autre que lui. Cependant, il suffit de creuser un peu le passé de Pavel, si on y parvient, pour savoir ce qu’il en est vraiment.

« Dans le même temps, le sujet avait entamé des études pour devenir un véritable médecin. Restant toujours cloîtré à l’hôpital pour les besoins de sa santé, il avait ses cours donnés par des professeurs particuliers payés par des parents dont il n’avait jamais vu le visage.
Ce choix de carrière n’était pas une surprise pour les médecins responsables du sujet. Et c’est également pour cela qu’on lui faisait tant confiance, qu’on lui permettait d’avoir un contact étroit avec les patients même les plus délicats. Pareillement, on lui confia même un patient alors qu’il n’était pas encore diplômé.
Le patient en question avait un âge proche du sien, le sujet étant alors aux alentours de ses vingts ans, et souffrait du même déficit immunitaire que lui, bien que s’étant déclenché plus tardivement.
C’est alors naturellement que les professionnels de l’établissement avait pensé au sujet pour s’occuper de ce patient. Car après tout, il savait tout sur cette maladie. En souffrant lui-même, le sujet était le plus à même d’en parler, d’aider, de soigner.
Ces tâches, le sujet les mena avec succès. Son premier patient, il s’en occupait au mieux, passait beaucoup de temps avec lui, à s’enquérir de sa santé, à lui administrer des médicaments, tantôt pour véritablement le soigner, tantôt pour en faire un sujet d’expérience comme il aurait du mal à en trouver ailleurs du fait de sa maladie.
Mais alors est arrivé quelque chose qui était impensable aux yeux du sujet. Il a commencé à ressentir de l’attachement pour ce patient. À passer du temps avec lui, le sujet avait envie d’en passer encore plus, si bien qu’il fini même par se confier, par dire des choses qu’il n’avait jamais dites à personne, ce qu’il ressentait, ce qu’il aimait, ce qu’il regrettait, gardant toutefois ses petites exactions pour lui seul.
Peut-être même le sujet a-t-il éprouvé des sentiments plus profond pour ce patient, son premier patient. Cependant ceux-ci n’ont fait que lui donner plus d’envie de l’utiliser pour ses expériences. Non par pour les expériences en elle-même, mais pour la reconnaissance qu’il voyait dans les yeux du patient quand il le soignait.
Le sujet voulait être le seul pour ce patient, le seul qui compte, le seul qui puisse le soigner. Et c’est ce qu’il était. Les moments où son patient était gravement malade, il ne s’en inquiétait pas, car il savait qu’il parviendrait à le soigner. » L’émotion s’est emparée de la voix du médecin sur cette partie du rapport, une émotion que jamais on n’aurait pu croire exister dans le cœur glacial du docteur Pavel. Loin de s’atténuer, cette émotion s’accentue quand il reprend le cours de son rapport.

« Le sujet n’eut pas l’occasion de pouvoir indiquer à son patient qu’il avait obtenu son diplôme. Lorsqu’il reçut ses résultats, le patient était déjà décédé. Une infection foudroyante. » La voix qui entre dans le dictaphone est méconnaissable. On croirait son propriétaire sur le point de pleurer, secoué de véritables sanglots, ce qui semble improbable quand on le connaît vraiment.

Combien de temps s’est-il écoulé entre cette dernière partie et la suite du rapport ? Une heure ? Un jour ? Une semaine ? Quoi qu’il en soit, plus aucune trace d’émotion ne subsiste dans le son de la voix. Peut-être à peine une vague lassitude.

« En plus de son diplôme, le sujet obtint la possibilité de quitter l’hôpital en tant que patient et d’y entrer en tant que médecin. Sous la bienveillance financière de ses géniteurs, il a pu acquérir un logement proche de son lieu de travail.
Et ce logement, où il pouvait enfin se retrouver seul sans aucune crainte d’être dérangé, permit au sujet de faire ce qu’il n’avait jamais eu l’occasion de faire avant. Tout d’abord, il acquit des oiseaux d’espèces variées. Depuis toujours, le sujet avait une passion pour ces animaux qu’il voyait s’ébattre à travers la fenêtre de sa chambre d’hôpital.
Ensuite, il commença à faire des expérimentations sur lui-même. Non comme celles qu’il avait déjà eu l’occasion de faire sur les patients et parfois même sur lui-même lorsqu’il résidait à l’hôpital, mais des choses un peu plus poussées, parfois même avec des produits un peu moins légaux.
Notamment, le sujet prit pour idée, obsession peut-être même, de s’implanter des plumes, provenant directement de ses oiseaux, sur son dos, le long de sa colonne vertébrale. Étrangement, certains greffons s’adaptèrent au corps du sujet, même si beaucoup furent rejetés. Peut-être peut-on même, selon le sujet, remarquer que ces plumes poussent un peu.
Au cours de ses expérimentations sur lui-même, le sujet a également eu des désagréments qui ne semblent pas s’estomper. D’une part, sa santé s’est dégradée, effet dont il se doutait bien mais qui ne l’inquiète pas. D’autre part, sa vue s’est largement dégradée. À la suite de quelque collyre maison, les yeux du sujet devinrent d’une couleur qu’on dit lavande. Mais celui-ci n’a jamais eu l’occasion de le remarquer puisque ce même produit lui a inexplicablement retiré le sens des couleurs. À présent, il ne voit qu’en nuance de gris, si ce n’est pour le rouge qui reste rouge.
Mais ces expériences, s’il laissait libre court à ses envies sur son propre corps, il continuait aussi de les faire sur les patients qu’il se voyait confié à l’hôpital et dont il s’attachait également même si jamais au point de son premier patient. Le sujet utilisait également ses oiseaux pour ces expériences, ce qui a valu la mort de plusieurs d’entre eux qu’il changeait à chaque fois.
Les résultats de toutes ses expériences ont été et sont encore à ce jour consignés dans des carnets, notés dans un langage de symbole inventé par le sujet.
Cependant le sujet ne se plaisait pas à l’hôpital. Il n’était pas libre de faire ce qu’il souhaitait et craignait sans arrêt que ses activités soient découvertes, ce qui n’a pas rarement manqué de se passer.
Sans difficulté, le sujet est parvenu à trouver un nouvel établissement où pratiquer. À mi-mot, il lui a été suggéré une plus grande liberté que dans un institut classique. C’est sans regret qu’il s’est envolé pour cet endroit.
À présent, le sujet ne va pas tarder à vivre son premier jour dans ce nouvel établissement après s’être installé avec les survivants de ses oiseaux.

Fin du rapport. » Une bizarre excitation termine ce rapport. Comme toutes les émotions véritablement ressenties par le docteur Pavel, il faut le connaître pour l’entendre.

Devant les portes de l’établissement, dans sa blouse blanche, le docteur range son dictaphone dans sa poche et passe la main sur son poignet gauche, sur un bracelet fait d’une matière qui ressemblerait presque à des cheveux, un tic dont il n’a pas conscience mais qu’il fait très souvent. Puis, d'un pas sûr, il entre pour son premier jour.

Que vous soyez collègue ou patient, une chose est sûre, il faudra vous mefier du docteur Pavel...

À propos de vous...

Je l'ai enfin finie !
Alors, sachez que je ne me relis jamais alors s'il y a des fautes, c'est normal, surtout vu mon état de fatigue de ces derniers temps. D'ailleurs ça doit se remarquer, dans l'écriture, les moments où j'étais bien crevé. J'ai fait ce que je pouvais dans mon état mais c'est de loin pas ma meilleure fiche. Soyez indulgents, hein ? De toute façon si vous validez pas Pavel comme ça, j'm'en vais ! *Plaisante pas. Enfin à moitié seulement.*

Sinoooon....
On m'appelle Thyerus. 25 ans. Enfin trouvé un travail en tant qu'ingénieur en développement logiciel.
Passionné de jeux vidéo, lectures diverse, je code parfois même si je ne code jamais rien de beau (je fais pas le beau, moi je me contente de le mettre en place).
Et j'ai une fâcheuse tendance à mettre, pour mes personnages, quelques traits des personnages de leur avatar...

I'm glad to meet you!

Institut Espoir

(c) atols for institut espoir
Anonymous
InvitéInvité
Jeu 8 Juin - 4:16
Je comprend mieux pourquoi tu as mis autant de temps avant de publier ta fiche ^^'
Anonymous
InvitéInvité
Jeu 8 Juin - 9:31
Pourtant d'habitude une fiche comme ça je suis capable de la faire en deux ou trois jours.
Anonymous
InvitéInvité
Jeu 8 Juin - 10:39
Le tant attendu Pavel se dévoile ! Ton personnage a l'air super intéressant, j'espère juste qu'il ne fait des expériences que sur ses propres patients.... j'ai peur pour ma vie sinon ....
Anonymous
InvitéInvité
Jeu 8 Juin - 10:44
Il aura déjà assez à faire, ne t'inquiete Pas. Même si on ne sait jamais, il pourrait peut-être s' attacher à toi. ♥
Anonymous
Valcourt AdèlysDécédée
Jeu 8 Juin - 13:40
Holla ~
Bon bon, je vais m'attaquer à la lecture aujourd'hui (je ne sais pas quand) et ça devrait être bon ! Je pense que ton personnage est plus que complet, mais on vérifie quand même XD
Allez, à bientôt du coup !
Valcourt Adèlys
Image : Come and meet the Merciless Dark Sorcerer ScmvFiche personnage : fiche personnageEspace personnel : espace personnelGroupe : Les DisparusDate d'arrivée à l'Institut : 21/06/2007Age : 23
InvitéInvité
Jeu 8 Juin - 13:43
Non, non, il est incomplet. Il est ne (je suis en qwerty, j'ai pas les accents) avec une partie de coeur en moins.
Anonymous
Valcourt AdèlysDécédée
Jeu 8 Juin - 18:29
Avant tout, j'aime beaucoup ton personnage ! (Aucun médecin ne sera contre les agissements de l'Institut en fait XD En même temps, c'est tellement plus drôle de faire un personnage un peu sadique qui profite du pouvoir !)
Effectivement, il y a quelques fautes d'orthographes, mais très peu donc pas de soucis, tu auras le temps de repasser derrière !
FICHE VALIDÉE !
Tu peux t'occuper des Patients C et tu es bien un médecin !
Félicitations !  :smileopeyes:
Avant de commencer à RP tu peux créer ta fiche de lien, ton espace personnel et surtout n'oublie pas d'aller recenser ton avatar dans la catégorie répertoire !
Pense aussi à remplir ton profil !
Pour t'aider à RP tu peux jeter un coup d'oeil au Journal Clandestin et/ou auRèglement de l'Institut.
Le Staff te souhaite encore une fois la Bienvenue, en espérant que tu t'amuseras bien dans l'Institut Espoir :)
Valcourt Adèlys
Image : Come and meet the Merciless Dark Sorcerer ScmvFiche personnage : fiche personnageEspace personnel : espace personnelGroupe : Les DisparusDate d'arrivée à l'Institut : 21/06/2007Age : 23
Docteur ElpidaChef de la Famille
Jeu 8 Juin - 20:20
Hey, Adélys est déjà passée mais je te souhaite officiellement la bienvenue sur le forum!
C'est sympa d'avoir de nouveau un collègue héhé o/
Docteur Elpida
Image : Come and meet the Merciless Dark Sorcerer VythFiche personnage : Sa fiche personnageEspace personnel : Son espace privéGroupe : La FamilleDate d'arrivée à l'Institut : 12/09/2008Age : 34
Loreleï HexeDécédée
Jeu 8 Juin - 21:05
C'est sympa de découvrir enfin ton personnage! J'ai trouvé son histoire très touchante, et je trouve du coup que le métier de médecin lui correspond très bien, même s'il est ironique. Un malade médecin... :smile2:

Donc euh... Glad to meet you too, Pavel :smileopen:
Loreleï Hexe
Image : Come and meet the Merciless Dark Sorcerer ScmvFiche personnage : fiche personnageEspace personnel : connaissancesGroupe : Les DisparusAge : 20
InvitéInvité
Jeu 8 Juin - 21:07
Hé oui, un malade médecin. Ou un médecin malade.

Content que ça vous ait plu en tout cas !
Anonymous
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