contexte

Le jour de la Grande Division naissent quatre factions : une dictature basée sur les principes de l’Institut qu’on avait connu ; une communauté qui fonctionne sous forme de vote et de code pénal ; un groupe retrouvé piégé dans le bunker ; et une anarchie qui s’est ancrée en pleine Nature. Des tensions, étincelles existants déjà avant la Grande Division et la Révolution, ont fait naître une ambiance de guerre froide entre les factions. L’Institut Espoir n’existe plus, mais cette ambiance survivaliste, à qui l’emportera sur l’autre prend racine.

Il ne reste plus que l’Espoir. +

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Sam 22 Déc - 16:28
Fiche médicale

de SAINT-LAZARE THÉODORE
médecin pédiatre
Nom : Saint-Lazare
Prénoms : Théodore, Jean, Arnaud
Surnom : /
Date de naissance : 02/03/1987 (31 ans)
Taille : 1m96
Poids : 82 kg
Origine : Française.
Nationalité : Française.
Langues parlées : Anglais, français, bases d'allemand.
Date d'arrivée à l'Institut : 19/01/2019
Groupe : Médecins.
W (stagiaire) - pédiatrie

Profil psychologique --------------------------------
Tous disent de lui qu'il est silencieux, presque mutique. Beaucoup pensent qu'il est timide ; certains, les plus méchants, les plus bêtes, pensent qu'il est simple d'esprit, une sorte d’inadapté social.

Il est temps de rétablir la vérité sur Théodore.

Silencieux, oui, souvent ; mutique, non. Simplement, il ne parle pas beaucoup, car il estime souvent qu'il n'a pas grand-chose à dire, et Théodore n'aime pas parler pour ne rien dire, ça lui donne l'air bête. Lui, il a toujours préféré écouter.
Écouter, au sens propre du terme, bien sûr, mais aussi de façon plus subtile ; décrypter une attitude, un geste, un regard, un silence, cela fait partie de sa nature. Il n'aura pas la prétention de dire qu'il y arrive toujours, ni qu'il est capable de tout voir, de tout remarquer, de tout interpréter. Mais il essaye du mieux qu'il peut, et c'est ce qui fait de lui quelqu'un d'aussi patient, méticuleux, et en emphase avec son travail. Après tout, s'il doit se baser sur les indications de ses patients (ou, si ce sont de très jeunes enfants, de leurs parents) pour déceler leurs éventuels problèmes de santé, savoir entendre, voir, remarquer les petits signes qui alertent, qui ne font pas de bruit mais qui parlent beaucoup, cela fait également partie de son métier.

Non, Théodore ne parle pas beaucoup. Ça n'a rien de naturel pour lui. Et puis, il a tellement peur de mal faire ! De blesser, bien sûr, mais aussi d'être incompris, de ne pas faire rire la personne lorsqu'il s'essaye -de façon tout à fait désastreuse, il faut l'admettre- à l'humour… Par conséquent, la plupart des gens pensent qu'il les méprise, qu'il se croit bien trop intelligent pour leur parler. Cruelle incompréhension.

Timide… Sûrement.
Oui, Théodore est timide, ce n'est pas difficile à comprendre. Cela se voit au travers de sa gestuelle, gênée, tendue, lorsqu'il est en présence d'inconnus ou d'une foule de gens, ou grâce à ses sourires furtifs, ou bien à son regard fuyant lorsqu'il est en face de quelqu'un qui n'est ni l'un de ses proches, ni l'un de ses patients. Cela se remarque aussi au travers de sa manie de se tordre les mains comme s'il voulait les presser, de sa facilité à rougir lorsqu'on lui adresse la parole, ou de son habitude à se positionner dans les coins des pièces, comme une plante ou une lampe encombrante, pour ne pas faire tâche, pour ne pas qu'on le remarque. Il n'aime vraiment pas qu'on lui apporte trop d'attention.
Mais si Théodore est timide et souvent mal à l'aise, ce n'est pas le cas du médecin qu'il devient chaque matin depuis maintenant trois ans. Bien sûr, il reste une personne calme et très discrète, mais s'il doute de ses choix en tant qu'individu, ce n'est pas le cas en tant que professionnel. Il a été formé pour être le plus compétent possible, il considère donc qu'il n'a pas à s'inquiéter de ses capacités. Et même si c'était le cas, il n'aurait pas à le montrer : il est là pour soigner et rassurer ses patients, pas pour leur transmettre un quelconque stress.

Simple d'esprit ? Non, pas vraiment. Simple, oui. Il aime les plaisirs simples de la vie. Regarder le ciel. Entendre les gens rire. Lécher la cuillère lorsqu'il cuisine. Écouter de la musique au casque lorsqu'il marche de chez lui à son cabinet. L'odeur des draps frais. Chantonner des chansons Disney -passablement honteuses- sous la douche. Se coucher tôt pour pouvoir continuer son roman. Avoir la sensation d'avoir pu aider quelqu'un, ne serait-ce qu'une seule personne, durant sa journée.
Oui, Théodore aime les plaisirs simples, comme Amélie Poulain dans le film de Jean-Pierre Jeunet. D'ailleurs, c'est son film préféré. Il aime sa bande originale, tristement joyeuse ou bien joyeusement triste, il ne sait pas. Il aime son étalonnage rouge et vert, entre grenadine et menthe à l'eau. Il aime la candeur d'Amélie, la folie de Nino, la rudesse du peintre, les échecs à répétition d'Hipolito, l'écrivain raté. Il aime Paris, celui qui y est représenté, mais aussi le vrai, celui dans lequel il a grandi.

Pourtant, Théodore n'a jamais aimé. Enfin, il n'a jamais aimé comme Amélie aime Nino. Du haut de ses trente et un printemps, il est vierge de toute relation, sexuelle comme sentimentale. Ça ne le dérange pas plus que ça. L'amour, le vrai, le grand, celui qui fait boum et qui fait mal ? Très peu pour lui, trop timide pour ça. Et puis… les filles sont si impressionnantes, si belles ! Et les garçons, si confiants, si brutaux… Non, décidément, ça n'est pas sa tasse de thé. Lui, ce qu'il aime, c'est écouter les autres. Simple spectateur de sa propre vie, et surtout de celles des autres, il observe le peu d'événements marquants qui marquent son existence avec une sorte de distanciation passive.

Car oui, passif, ça Théodore l'est. Oh, pas avec ses patients, il ne peut pas se le permettre, bien sûr. Non, sa passivité s'exprime plutôt face à ses supérieurs, à ses aînés, ou même face à un groupe. Il n'a pas la volonté de s'opposer, car cela voudrait dire se démarquer, se faire remarquer, et ça, il n'en est pas question ! Et puis, s'ils sont nombreux à penser comme ça, c'est qu'ils ont sûrement raison, non ? Encore plus s'ils sont plus expérimentés que lui : le respect de l'autorité avant tout.

Physique -------------------------------------------------------
Théodore ? Oh, c'est simple. Imaginez le Petit Prince à trente ans. Sacrée poussée de croissance, hein ? Et puis, le Petit Prince grand, adulte… ça a quelque chose d'antinomique, n'est-ce-pas ? Et bien pourtant, c'est une façon assez simple, juste et directe de décrire le jeune médecin.

Cheveux courts et blonds comme les prés, peau lisse et couleur lait de chèvre, lèvres fines et roses, comme des bourgeons en pleine éclosion. Souvent closes, figées en une petite moue pincée et gênée, parfois interrogatrice, elles s'étirent assez facilement en un mince et timide sourire, qui n'en est pas moins sincère. De cette bouche sort une voix assez grave, qui contraste avec son apparence candide.
Officiellement marrons, comme indiqué sur son passeport et son permis de conduire, ses yeux tirent en réalité sur le jaune sombre, entre l'ambre et le sable illuminé par un coucher de soleil. Mais n'allez pas fantasmer sur leur couleur extraordinaire : Théodore est aussi… extraordinairement myope. Du genre à ne pas voir ses propres mains s'il enlève ses lunettes, qui sont en vérité plus proches des hublots de sous-marin que des verres classiques. Pas vraiment très discret...

Enfin bon, pour la discrétion, le blond repassera. Du haut de son mètre quatre-vingt-seize, difficile de passer inaperçu. Grand échalas rime avec embarras, après tout ! Le médecin est tout en longueur et en angles : long cou, longues jambes, longs bras, longues mains… D'ailleurs, son entrée dans une pièce est assez souvent précédée par un bruit mat, qui est le son de sa tête cognant contre le chambranle de la porte, suivi d'une excuse maladroitement bafouillée et qui n'est adressée à personne, ou bien à la porte elle-même.
Trente-et-un ans et toujours pas fichu de se baisser en entrant dans une pièce, ça serait sûrement une bonne façon de résumer le personnage.

Alors, le jeune homme -si l'on peut toujours désigner ainsi un trentenaire- essaye de retrouver une part de discrétion, de banalité à travers son style vestimentaire. Jamais rien de voyant, de tape-à-l’œil, toujours des couleurs passe-partout sans forcément tomber dans le noir et blanc. Le beige, le bleu, le blanc, le gris sont des couleurs qui lui correspondent bien. Effacées, charmantes, douces, presque délavées, comme les souvenirs d'un ancien temps.

Histoire ---------------------------------------------------------
Dans la famille Saint-Lazare, je voudrais le fils ! Ou plutôt, le deuxième fils. Quoique, le premier préférerait sans doute qu'on parle de lui… C'est vrai, comparé à son frère, Théodore est beaucoup plus classique, normal, banal, pour ne pas dire... ennuyeux. Mais n'en déplaise à son envahissant frère, c'est bien de lui que nous allons parler. En tout cas, nous allons commencer par lui.

Théodore est donc très classiquement né le lundi deux mars mille neuf cent quatre-vingt-sept, à huit heures du matin, à la maternité de l'Hôtel Dieu, à Paris. Ce fut un accouchement sans complication, exercé par l'oncle-même de Théodore, qui fut le premier à tenir dans ses bras le petit bébé blond de trois kilogrammes quatre cent.

Ainsi commença la vie de Théodore, Jean, Arnaud Saint-Lazare, qui devait s'avérer être l'existence simple et tranquille d'un garçon simple et tranquille. Avis aux amateurs de passés dramatiques et de traumatismes à répétition, passez votre chemin, vous ne sauriez trouver satisfaction ici. Même chose pour les amateurs de sensations fortes, la vie de Théodore n'a rien à voir avec un grand huit. Au mieux, c'est un carrousel.

Fils d'un médecin parisien et d'une femme au foyer, petit frère d'un certain Paul-Louis (Pilou, jusqu'à ses sept ans).
Paul-Louis, personnage ô combien important dans la vie peu distrayante, et avouons-le, assez inintéressante de Théodore. Ce frère en quelques chiffres : cinq ans de plus que Théodore, vingt centimètres en moins et une rancœur toute particulière contre lui.
Et pour cause, Théodore est tout ce que Paul-Louis méprise, tout ce qu'il ne parvient pas à comprendre. Pourquoi son petit frère ressemble-t-il autant à leur mère, à une femme ? Pourquoi faut-il qu'il soit aussi maladroit, aussi gênant, aussi taiseux ? Pourquoi ne peut-il pas être comme lui, comme leur oncle, comme leur père ? Pourquoi faut-il qu'il soit aussi anormal ?
Mais ça, cette incompréhension, ce mépris, cette jalousie, Théodore ne les voit pas. Théodore admire, adore son frère. Lui qui est si drôle ! Lui qui plaît aux filles, qui leur parle sans aucune gêne, qui n'a pas peur d'affirmer tout haut ce qu'il pense ! Lui qui ressemble à tant à Papa, avec ses sourires rares, son humour incisif, sa prestance et sa capacité à parler froidement de ce qu'ils appellent « le boulot » et qui pour Théodore est une profession de foi.

Non, Théodore n'a pas vraiment un passé de héros populaire à la Harry Potter ou Peter Parker.
Une enfance au goût de grenadine, rythmée par la sonnerie des cours et par les repas de famille du premier dimanche du mois.
Une adolescence colorée par l'encre bleue de son stylo plume, organisée selon ses horaires de révision et les dimanches après-midis passés au cabinet de son père. Des après-midis à apprendre sur le tas comment on accueillait sans un sourire, comment on expédiait les consultations pour en faire le plus possible, comment on prescrivait les médicaments à la va-vite sans se soucier du patient, comment on critiquait ces mêmes patients au dîner pour faire rire. Bref, d'après son père, il apprenait le métier, tandis que d'après Théodore, il apprenait ce qu'il ne fallait pas devenir. Aigri, impatient, inattentif. Froid.
Pourtant, Théodore n'a jamais osé critiquer son père, ni même envisagé de le faire. Papa est Papa. Papa est le meilleur. Et s'il n'aime plus son métier, Théodore aimera le sien pour deux.

Oui, on peut donc dire que ce sont ces après-midis qui ont forgé en Théodore la volonté d'être médecin. Ça, et le fait que ne pas être médecin dans la famille, c'était pire qu'une déception : une véritable trahison.
Alors, tandis que Paul-Louis annonçait son choix de se tourner vers la cardiologie, Théodore entamait à son tour les études. La PACES, les ECN, puis la spécialisation en cinq ans en pédiatrie s'enchaînèrent sans trop d'encombres. Il avait fait ses armes à l'Hôpital Necker-Enfants malades, et cela avait été une véritable révélation. Soigner les gens, oui, bien sûr. Soigner les enfants, encore mieux. Et n'y voyez absolument rien de malsain, seulement une sorte d'hommage muet à son père, le super-héros qui les soignait lorsqu'ils étaient malades, son frère et lui.

C'est donc à 28 ans seulement que Théodore avait pu ouvrir son cabinet, au plein coeur de Paris. Cabinet qui devint rapidement incontournable : pas étonnant, quand on connaît la crise que connaît la France en matière de médecins pédiatres. Pourtant, Théodore avait su garder la tête sur les épaules. Travailler tard, oui, bien sûr. Le dimanche aussi ? D'accord, évidemment. Mais augmenter le prix des consultations, les bâcler pour en finir au plus vite ? Non, Théodore n'a jamais réussi à se résoudre à cela. Son métier n'était pas celui d'un robot, ou d'un ouvrier d'usine ; il était un orfèvre, ou plutôt un conservateur de musée. Chaque corps, chaque personne était différente et méritait toute son attention. De la varicelle au bras cassé, en passant par la petite toux et par les carences en vitamines, Théodore soignait avec la même attention, écoutait les inquiétudes des parents et des enfants, et les rassurait du mieux qu'il pouvait.
Et cela le rendait profondément heureux. Être utile, rendre service, s'effacer pour mieux laisser les autres exister. C'était là qu'était sa place, il en était persuadé.

Et pourtant, un certain jour de décembre 2018, Théodore, enfant lunaire, pâlot et silencieux, qui avait discrètement grandi dans l'ombre de son père, de son oncle, de son frère, les trois soleils, les trois hommes de la famille, prit enfin son destin en main. Enfin, on le força plutôt à prendre son destin en main, tout comme la lune est forcée d'apparaître lorsque la nuit tombe.

Le 28 décembre au soir, Théodore avait retrouvé son frère appuyé contre la porte de son cabinet, qu'il quittait. C'était la première chose qui avait étonné Théodore, qui pensait son frère très pris par son travail. La deuxième chose qui l'avait étonné était l'immense sourire de Paul-Louis, lui qui ne souriait jamais qu'aux personnes à qui il souhaitait plaire. Et clairement, Théodore ne faisait pas partie de ces personnes.
Paul-Louis l'avait à peine salué, lui avait fourré dans les mains un flyer tout en lui assénant des informations sur ton réjoui : il avait envoyé le CV de Théodore à un certain institut, un entretien lui était proposé. Il avait de grandes chances d'être accepté. C'était une opportunité à saisir.
Théodore avait ensuite pris la parole. Pourquoi son frère avait-il proposé sa candidature à cet institut ? Sans le consulter ? Et sans penser au fait qu'il n'aurait pas forcément envie de ça ?
Alors, Paul-Louis était redevenu lui-même. Il avait arrêté de sourire, avait commencé à parler d'un ton féroce. Il s'était allumé une clope (dire « des clopes » au lieu de cigarettes, ça aussi c'était typique de Paul-Louis, typique de leur père également) et s'était justifié en parlant du bout des dents, comme s'il expliquait quelque chose de particulièrement simple à un enfant récalcitrant.

« Papa et moi pensons tous les deux que tu n'ira nulle part avec ton… cabinet. C'est bien mignon, soigner des gosses, tout ça tout ça, mais ça ne t'apportera rien. J'ai regardé tes tarifs, tu te fais payer une misère, tout ça pour sortir aussi tard ? C'est pas en te laissant bouffer comme ça que tu y arriveras. »

Théodore était resté coi devant tant de violence, de mépris. Ah bon ? C'était ça que son frère pensait de lui, de son travail ? Mais...

« Dooooonc, en accord avec Papa, j'ai envoyé ton CV à cet institut. C'est un truc sérieux, ça ! Tu liras la brochure, mais globalement ils s'occupent de cas graves, de cas intéressants quoi ! Ça te changera de tes varicelles et de tes rhumes... Et puis, si ça te manque tant que ça, ils accueillent pas mal de jeunes patients d'après ce que j'en sais. »

Alors, Théodore avait acquiescé, l'air absent, puis, pour la première fois de sa vie, s'était ouvertement opposé à son frère. La scène aurait été plus spectaculaire si elle n'avait pas eu lieu la nuit, sous le crachin parisien et l'éclairage public, mais surtout si Théodore avait su rester campé sur ses positions. Parce que oui, évidemment, à force de chantage affectif, à force de lui asséner que c'était ce que voulait son père pour lui, à force de le menacer d'être la déception ultime de la famille s'il n'acceptait pas, Théodore avait accepté d'aller à l'entretien, et avait même promis de faire de son mieux.

Son frère lui avait frappé l'épaule, plus brutalement qu'affectueusement, puis était parti rapidement tout en le félicitant pour son choix, et se félicitant intérieurement pour cette opération menée de main de maître. Parvenir à faire pencher son père de son côté, le persuader que Théodore avait besoin de s'endurcir pour l'éloigner définitivement de Paris, quel coup de génie ! Lui qui ne supportait plus d'entendre parler de son frère qu'il considérait presque comme attardé comme du « renouveau de la profession médicale », il était ra-vi.

Ravi n'était pas tout à fait le mot qui aurait pu qualifier Théodore lorsqu'il avait reçu la lettre lui annonçant qu'il avait été retenu pour un deuxième examen sur l'île. Et ce n'était vraiment pas le bon adjectif pour définir son état d'esprit lorsqu'il apprit, à la mi-janvier 2019, qu'il était accepté comme médecin à plein temps  à l'Institut Espoir. Mais bon, il s'était résigné. Si son père et son frère le voulaient, s'ils pensaient que c'était le mieux pour lui… Alors ils avaient sûrement raison. Non, ils avaient raison ! Ils étaient ses plus proches parents, ils ne voulaient que son bien, et savaient mieux que lui quoi faire.

C'est donc dans cet état d'esprit qu'il quitta le continent, sous les regards de sa famille, faussement admiratif pour son frère, froid et soucieux pour son père, aimant pour sa mère.

Petit Mot
Pseudo : Leopold/Chance/Staliline, fais ton choix camarade.
Dîtes nous ce qui est nécessaire de savoir sur vous ♥️ Salière sur pattes - Prêtresse du JeanxMarco et du beurre salé - Adepte de jeux de mots foireux - Grande timide - Grammar nazi qui fait dé fote dortograff. (j'ai rien mis pour la catégorie de patients, je crois qu'il faut que mon perso fasse quelques mois de stage avant ?)
Comment vous nous avez trouvé : J'connais les patronnes (ça fait dix ans au bas mot que je leur dis que je vais venir je suis si lente jpp)
Avez-vous bien lu le règlement ? Si oui, de quelle taille doit être l'avatar ?


Dernière édition par Théodore Saint-Lazare le Dim 23 Déc - 19:18, édité 3 fois
Anonymous
ElizabethCuisinière de la Famille
Elizabeth
Image : « Et j'aime la nuit écouter les étoiles. C'est comme cinq cent millions de grelots... » [Théodore] Vi27Fiche personnage : fiche personnageEspace personnel : espace personnelGroupe : La FamilleDate d'arrivée à l'Institut : 17/07/1996Age : 27
Hyppolite VodeniDisparu de l'Île
Sam 22 Déc - 16:56
Enfiiiiiin **
Bienvenue officiellement parmi nous \o
Théodore aurait en effet trois mois de stage parmi les médecins avant d'officiellement signer un contrat. Mais pour les patients, il aura sûrement des W et des X. Pourquoi pas un ou deux Y s'il fait ses preuves ? :)
Je vais être honnête, j'ai pas encore lu l'entiéreté de sa fiche, je ferais ça demain. Mais je te fais confiance et je suis sûre que tout est réglo !
Hyppolite Vodeni
Image : « Et j'aime la nuit écouter les étoiles. C'est comme cinq cent millions de grelots... » [Théodore] UjzdFiche personnage : fiche personnageEspace personnel : espace personnelGroupe : Les DisparusDate d'arrivée à l'Institut : 27/06/2013Age : 37
InvitéInvité
Sam 22 Déc - 17:00
W05 > Heu... Alley 8DDD

Hyppo > Les stars savent se faire désirer 8D
Okay, on verra ça en temps voulu du coup ? Parce que là, dans sa timeline il vient vraiment de débarquer xD

Pas de problème, je comprends tout à fait :')
En attendant je vais essayer de la finaliser d'ici demain héhé.
Anonymous
Hyppolite VodeniDisparu de l'Île
Sam 22 Déc - 17:04
PS : oui je fais un double-post kesketu va fère. N'oublie pas de nous prévenir quand tu auras fini ta fiche ;)
Hyppolite Vodeni
Image : « Et j'aime la nuit écouter les étoiles. C'est comme cinq cent millions de grelots... » [Théodore] UjzdFiche personnage : fiche personnageEspace personnel : espace personnelGroupe : Les DisparusDate d'arrivée à l'Institut : 27/06/2013Age : 37
InvitéInvité
Dim 23 Déc - 19:18
J'ai finiiiiiiiiiiiiiiii. Bon j'espère que c'est pas trop long, et j'espère que ça passe pour la procédure d'admission ! Je suis dégoûtée de ne pas pouvoir participer à l'event qui avait l'air tellement chouettos, mais je ne me sentais pas de jouer un personnage qui était là depuis un an déjà x)
Anonymous
Alexander HexeÉlectron libre
Dim 23 Déc - 20:52
Coucou Théo ! (c'es Maman Noël/maman modo/Agnès/beaucoup trop de surnoms)
Je viens de lire ta fiche et TON PERSONNAGE EST BEAUCOUP TROP CHOU **. En plus c'est superbement bien écrit, j'adore cette histoire un peu banale, sans remous que tu arrives quand même à rendre intéressante ; je sens que je vais suivre ton personnage de près !
Pour moi c'est tout bon, attendons les retours des admins mais il faudrait qu'elles soient bien difficiles pour dire non.

Oh ! Juste pour complément, parce que ça me rend curieuse, est-ce qu'il y a quand même des limites à ne pas dépasser avec ton personnage ? Genre un truc qui risquerait de le mettre en colère, de le vexer, les choses qu'il déteste... Enfin, voilà, c'est pas pour allonger ta fiche, elle est déjà pas mal longue mais ça peut être des pistes intéressantes à explorer pour donner un chouilla plus de relief à un personnage assez effacé.

En tout cas, j'espère que cet éloignement de sa famille lui permettra de trouver le moyen de plus s'affirmer et mon Agnès intérieure bout d'impatience à l'idée de gaver Théodore de Werthers et de cookies inRP :3
Alexander Hexe
Image : « Et j'aime la nuit écouter les étoiles. C'est comme cinq cent millions de grelots... » [Théodore] Cy0uFiche personnage : [url=]fiche personnage[/url]Espace personnel : [url=]espace personnel[/url]Groupe : La FamilleDate d'arrivée à l'Institut : 21/05/2016Age : 22
InvitéInvité
Dim 23 Déc - 21:38
Haaaa j'ai blush si fort ;-;
Merci merci pour tes compliments, ça me fait plaisir t'imagine pas ;-;
En plus, c'est la première fois que je fais un personnage comme ça, aussi positif et tout, donc je suis vraiment très heureuse de voir que ça fonctionne **

Haha, tu vas rire x)
J'avais fait un paragraphe sur le sujet, mais je l'ai supprimé dans la version finale parce que je trouvais que ça s'intégrait mal ! Mais effectivement, ça serait peut-être nécessaire de le rajouter... En gros, il ne supporte pas les gens (surtout les adultes) qui ne respectent pas "l'ordre établi", tu vois ? D'après lui, les règles sont faites pour maintenir l'ordre, et le monde va à vau-l'eau si on ne les respecte pas. (ça fait un peu écho au paragraphe sur sa passivité, mais je peux le remettre si besoin !)

J'espère aussi que mon petit poussin va mûrir et s'endurcir, je crois qu'il est malheureusement trop tendre pour l'Institut... :(

Je serai également ravie de RP avec toi ! ♡
Anonymous
ElizabethCuisinière de la Famille
Mer 26 Déc - 21:32
Alex, tu es au courant que tu es apte à valider des fiches ? XD

Vu que ce n'est pas fait, je te valide ! Tu es, pour l'instant, dans tes trois mois de "stage" aux côtés d'un médecin "ancien" (minimum 4 ans à l'institut - Donatien Elpida, Docteur Hans, Ange peut passer à trois mois près)

En tant que grande stalkeuse, je suppose que tu connais les bails, mais sait-on jamais !
Ici tu retrouveras comment faire ta fiche de liens.
c'est ton espace perso.
Renseigne ton avatar pour qu'on ne te le pique pas !
Pense à remplir les champs de profil !

Je suppose que tu connais les intrigues/le contexte et le règlement de l'Institut !
Demande des RPs aussi pour commencer ton aventure (I want one with this babe, pick one of my characters exept Ulysse plz ♥️)

ET BIENVENUE MA P'TITE CAILLE ♥️
Elizabeth
Image : « Et j'aime la nuit écouter les étoiles. C'est comme cinq cent millions de grelots... » [Théodore] Vi27Fiche personnage : fiche personnageEspace personnel : espace personnelGroupe : La FamilleDate d'arrivée à l'Institut : 17/07/1996Age : 27
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