Y89
Prénom : Dante
Surnom : "Fossoyeur" ou "Le petit Chef"
Date de naissance : 05/09/1997 (21 ans)
Taille : 1m89
Poids : 86kg
Origine : Italie
Nationalité : Italienne pure souche
Langues parlées : Anglais/Italien/Français
Date d'arrivée à l'Institut : 21/07/2018
Groupe : Y
Adrénaline constant
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Mot du médecin : Le patient Y89 semble capable de contrôler l'adrénaline sécrété par son système nerveux, bien qu'il ne puisse pas annuler cette sécrétion simplement la réduire ou l'augmenter.
Profil psychologique --------------------------------
Physique -------------------------------------------------------
Après une certaine absence, l'Italien est revenu, métamorphosé physiquement, son bras gauche est absent, coupé au nouveau du biceps tout comme son œil gauche, la plaie de ce dernier caché sous un cache œil en cuir rouge cramoisie, le reste de son corps possède de nouvelles cicatrices, certaines un peu macabres, comme celle au niveau du flanc droit, qui semble avoir été ouvertes encore et encore, trituré de l'intérieur. Pourtant, psychologiquement, il ne semble pas avoir changer d'un pouce !
"Histoire
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Les bonnes personnes sont à ta place, Becchio" Le bruit de la balle meurtrière raisonna dans toute la ruelle, camouflée par le bruit de la pluie
"ça t'en fais combien maintenant Dante ?
- Trenta
- Cazzo di merda, trente ?! à ton age ?!
- ça te pose un problème ?! Tu veux finir comme le vieux ?!
- Non non, calme toi Dante, t'inquiète, je trouve ça super, au contraire
- Ouais... Ferme là la prochaine fois. et va dire au Padre que je rentre pas de suite, je vais au tatoueur"
Si je suis une bonne personne ? Être une bonne personne ne m'a jamais rien apporté si ce n'est de prendre des coups. La bonté n'a jamais emmené que la mort, Jesus en est le plus grand exemple, crucifié pour son amour... La cloche se trouvant derrière la porte de "L'inchiostro rosso" raisonnait à nouveau, annonçant ma venue, la tatoueuse me fit signe de venir me coucher sur le siège derrière elle.
"Qu'est-ce que tu veux cette fois Dante ?
- Una lacrima
- Tu as tué quelqu'un ?
- Si signora
- Bien, bleu comme la précédente ?
- Si"
Je me souviens comment tout ça a commencé. Je me souviens comment j'en suis arrivé là...
Tout a commencé quand j'étais bambino, mon padre a quitté la maison alors qu'on était dans la merda avec la madre, j'ai arrêté les études pour faire de petits boulots pour aider la madre avec la loyer et la nourriture. Depuis qu'il est parti, je me mettais en colère pour rien, tabassant les autres bambini. On avait pas l'argent pour un psy, alors je faisais comme si de rien était. Après deux ans, quand j'avais 14 ans, ma mère c'est remise avec un sale type qui faisait rien à part rester à la maison, il disait qu'il avait aidé la madre pour les dettes et que c'était pour ça qu'il était légitime pour ne rien faire, alors qu'il était ivre, il avait levé la main sur ma mère, c'était mon premier meurtre, ce Figlio di puttana l'avait bien mérité au fond, je suis allé le balancé dans la mer alors qu'il faisait nuit et j'ai médité sur mon action, j'ai vite compris que je ne regrettais rien, ça m'avait même plutôt plu pour être franc. Je suis rentré après ça, mais ma mère ne voulait plus de moi et je pouvais le comprendre, alors je pris quelques affaires, sans plus avant de partir. Après coup, je n'avais pas compris ma réaction, je n'ai même pas bronché, je n'ai même pas cherché à comprendre, je suis simplement parti et je n'ai même pas envie d'y retourner, comme si je n'étais plus à ma place là-bas, mais ça restait étrange...
Après un an dans la rue, à racketter des gens par-ci par là, je m'en suis pris à la mauvaise personne, un mafieu, cet succhiacazzi n'a pas attendu que je fasse le moindre mouvement pour me mettre une balle dans le ventre, puis un violent coup derrière la tête qui me fit tomber dans les pommes. Alors que j'émergeais doucement, je compris très vite que j'étais vraiment dans la merde, deux gros gorilles me tenaient les bras tandis que celui que j'avais agressé était assis en face de moi, un petit sourire aux lèvres
"Sais-tu à qui tu t'en ai pris bambino ?
- Non mi interessa, bastardo"
Le mafieu fit un petit signe de tête et le gorille à ma droite me mit un grand coup dans l'estomac, ce qui, en plus de réouvrire ma blessure par balle, me fit régurgité mon petit déj mélangé à du sang
"Sais-tu à qui tu t'en ai pris ?
- Figlio di puttana, Ti batterò..."
Le vieille homme se leva de sa chaise et s'approcha doucement de moi tout en sortant une petite lame, il l'a colla contre mon abdomen
"Tu devrai faire attention à tes paroles, bambino..."
Avec le peu de force qu'il me restait, je lui crachas à la figure, ça l'avait mis en colère, je le voyais, il partit sans un geste, c'était fini pour moi, la fin de la fin, les deux gorilles me lâchèrent, j'étais comme un pantin désarticule "Vai all'inferno ... stronzo" étaient mes derniers mots avant de me faire tabasser à mort. Mais je n'étais pas mort... C'était étrange, un humain normal serait mort à ma place... Non, j'aurais préféré mourir, voilà la réalité... Le vieux truand était assis en face de moi, il avait des gants cette fois... Des gants de motard... Ces merdes sont plus dévastatrices qu'un poing américain quand bien utilisé...
"Toujours en vie Bambino, tu m'impressionnes, quel est ton nom ?
- Tu n'as pas besoin de le savoir... Tu vas bientôt mourir...
- Tu es bien trop prétentieux"
Il s'approcha de moi et me mit sur le dos avant de s'assoir sur moi
"Je vais t'apprendre le respect"
Il me mit un grand coup dans le thorax, j'ai senti mes os se briser, pourtant... Pourtant rien... Pas de douleur... J'étais mort ? ça serait bien... Mais non, tous mes muscles se contracté d'un coup, j'étais en colère... Non... J'étais en rage... Non... J'avais trop la haine ! Je mis un grand coup de tête à cet enfoiré, ce qui le fit tomber en arrière, la douleur n'était plus là... Si, elle était là... Mais je l'ignorais, je me mis assis sur lui avant de le frapper, encore... Et encore... Et encore, sa tête ne ressemblait plus à rien, si se n'est à de la bouillie, les deux gardes du corps me regardaient avec de grands yeux, ils n'osaient pas venir à moi, alors je suis venu à eux, j'avais pris le couteau de poche de l'autre sciocco et ainsi, je sautai à la gorge du premier, enfonçant la lame dans celle-ci, la couleur du sang... L'odeur de la mort... J'adorais et j'adore toujours ça au final... Le deuxième garde tomba au sol en me suppliant de ne pas le tuer, je lançai ma dague dans son crâne de toutes mes forces, je montais les escaliers, sans me rendre réellement compte que j'étais dans un sous-sol, j'avais faim... Vraiment faim, je me dirigeais instinctivement vers ce qui ressemblait le plus à une cuisine, là, un très vieil homme en costard était assis, ça voit raisonnait dans ma tête, j'avais l'impression de me réveiller d'un mauvais rêve, ma tête était sur le point d'exploser
"Tu as tué mon bras droit et ses deux gardes du corps... Et cela avec sûrement des côtes cassées, des hémorragie interne... Des hématomes intérnes"
J'étais dans les vapes avant qu'il n'ait fini, voilà... J'allais enfin mourir... Et cela à seulement 14 ans... Super... J'étais fatigué... J'entendais des voix paniquées... Des roulettes... Des machins qui font bips... Le monde des morts ressemble vachement à un hôpital en fait... J'ouvrais doucement les yeux... J'avais mal partout, les murs étaient tous blancs, il y avait des machines médicales autour de moi, j'avais un masque respiratoire ainsi qu'un vieil homme à côté de moi, sa voix me disait quelque chose
"Tu es réveillé bambino ? Tu es un dur à cuire, peu de gens auraient survécu à ça tu sais ? Tu es petit Capo dei capi tu sais ? Tu as une famille ? Des frères ou des sœurs ?
- Nan... Je vis dans la rue... Vous allez me tuer pour avoir tué ce type n'est-ce pas ?
- Non, ne t'inquiète pas, au contraire, que dirais-tu de rejoindre la Camorra ? Tu es un petit plein de vie.
- Très ironique... Mais de toute façon... J'ai plus rien à perdre alors bon...
- Les personnes qui n'ont rien à perdre sont les plus dangereuses, repose toi Bambino..."
Voilà comment je suis arrivé dans la Mafia, ma première larme représente le deuxième garde que j'ai tué, il m'avait demandé miséricorde, pourtant je ne lui ai pas donné, c'est une sorte de punition...
"J'ai fini Dante, elle est un peu plus petite que la précédente
- Grazie mille, met ça sur le compte du padre, comme d'hab
- Si signore"
Je remis ma veste, m'alluma une cigarette et retourna à ma vie de mafieu, une vie de violence et de déviance... Enfin, c'est ce que je pensais, une lumière aveuglante arriva sur moi et une voix raisonnait dans la rue, camouflé par le bruit de l'hélicoptère qui m'éclairait
"Dante ! Rend toi doucement et sans faire d'histoire ! T'as nulle part où aller bambino !
- Hooo Chiudi la bocca Figlio di puttana ! Tu peux pas me tuer ! T'as pas le droit ! Et ne me met pas en colère si tu veux pas que je tue tous tes copains...
- Dante ! On est pas là pour te mettre en prison ! On veut passer un accord !
- Mais ferme làààà !
- Bien... J'aurai essayé, sortez les fléchettes tranquillisantes
- T'es sérieux le vieux ?! Tu comptes vraiment utiliser tes merdes ? ça marche pas contre moi, tu le sais non ?
- On les a créés que pour toi celle-ci, ces trucs peuvent endormir un taureau, même toi tu peux pas résister à ça
- C'est ce qu'on va voir ! Bastardo !"
J'avançais, les bras ouverts, je savais que ça n'allait rien me faire, depuis mon passage dans ce sous-sol, mon corps sécrète tellement d'adrénaline que la douleur et les autres effets néfastes ne m'affecte plus, du moins, c'est ce que je pensais, jusqu'au moment où la fléchette me toucha, j'ai senti mon cœur s'arrêter petit à petit, je me sentais mou, puis plus rien, le vide... j'émergeais une nouvelle fois, j'avais l'impression de passer ma vie dans les vapes... J'étais dans une camisole de force avec une muselière, ça faisait vraiment SM sur les bords, mais bon, je doute que le premier ministre Paolo Gentiloni aime le SM en plein air, surtout sur un port, la première question était "qu'est-ce que je fous là ?" Et là deuxième, je n'ai pas eu le temps de me la poser, ils m'avaient remis une dose c'est viscosi... à mon réveil, j'étais dans une chambre, sans camisole, j'étais... Dans un habit de patient ? Un simple T-shirt blanc et un pantalon blanc, ma première réaction ?
"DOVE SONO ENCOLATO DALLE MAMME ?! ASCIAMI ANDARE CAZZO ! UCCIDERÓ LA TUA FAMIGLIA SE NON MI TIRI FUORI DI LI ADESSO
- Du calme... Tu es à l'Institut Espoir, nous allons nous occuper de toi à partir de maintenant
- Ferme là bastardo ! Laisse moi sortir de là que je te fasse la peau !
- Tu n'as pas besoin d'être violent tu sais, nous somme là pour toi, pour t'aider
- J'ai pas besoin d'aide ! Puttana ! J'vais vous faire là peau !
- Bien... Nous allons attendre que tu te calmes, je reviendrai sous peu"
Putain... Ils voudront pas me laisser sortir... Très bien ! Je vais faire en sorte que se soit EUX qui me jettent... Figlio di puttana !.
Petit Mot
Dîtes nous ce qui est nécessaire de savoir sur vous ♥️ Heeuuuuu... Que je suis un ancien joueur d'ici, que je suis parti de la pire façon qui soit et que je me suis rendu compte des erreurs que j'avais fait '-' Mais que je peux être super sympa ! Très de mon coin malheureusement, j'avoue ne pas être le plus sociable des humains, mais si vous avez besoin de quelque chose, n'hésitez pas venir me sollicité ! vouala ,_,
Comment vous nous avez trouvé : A l'époque, je me souviens, sur MasterPoke ! XD
Avez-vous bien lu le règlement ? Si oui, de quelle taille doit être l'avatar ?
Je regrette juste les tirets devant les dialogues qu'il faudrait ajouter o/
Une fois que ce sera fait je te re-validerai !
Les tirets demandé ont étés ajoutés !
Bon je te valide ! Tu récupères ton ancien numéro, toussa toussa !
Tu sais ce qu'il te reste à faire je suppose ?
A la moindre question, n'hésite pas !