Institut espoir
n° ???
Informations essentielles
Nom : BalamPrénom : Nehn
Âge : 32 ans
Groupe : Personnel
Occupation : Administrateur réseau
Profil Psychologique
Si c'est ce que vous croyez, c'est que vous êtes déjà perdu. Jamais vous ne verrez la vérité mais vous la sentirez passer. Cet argent que vous lui avez emprunter sans jamais le lui rendre, il le récupèrera au centuple sur votre dos. Ce logement que vous avez occupé provisoirement en vous étendant toujours plus au-delà du canapé prêté, ce n'est qu'un repaire qu'il vous laissera sur les bras. Cette oreille attentive à laquelle vous avez sans arrêt exprimé vos plaintes, elle a su tout enregistrer pour tout ressortir contre vous le moment venu.
Vous ne faisiez plus attention à ce gentil, ce simplet de service, ce larbin qui faisait toutes les basses besognes que vous lui assigniez. Mais son attention ne s'est jamais détournée et il a su voir, découvrir tous vos petits secrets, que vous les lui ayez montré ou non. Lorsque vous l'avez licencié pour une erreur stupide mais grave, quand vous avez accepté sa lettre de démission après avoir eu vent de problèmes relationnels avec des collègues à cause d'un prêt d'argent, vous pensiez que la seule conséquence serait de devoir lui trouver un remplaçant.
Mais lorsque dans quelques mois vous verrez tous vos secrets, vos incivilités, vos délits, vos crimes faire la une des journaux, vous ne penserez certainement pas à lui. Après tout, comment quelqu'un d'aussi gentil que lui pourrait faire quelque chose de la sorte ? Au tribunal qui vous condamnera à plusieurs années de prison à causes de vos abus sur vos employés, associés, clients, vous ne penserez jamais que vous êtes là part sa faute. Comment aurait-il pu savoir tout ceci ?
Et pourtant, vous vous retrouverez être l'une de ses victimes. Pourquoi c'est tombé sur vous ? Peut-être était-il en stand-by et a-t-il vu une publicité pour l'un de vos produits, un article sur votre entreprise, un reportage sur vos innovations. Le hasard peut faire bien les choses mais pour vous il aura plutôt fait du mal.
Ce n'est qu'un jeu, un plaisir pour lui. Lorsqu'il se penche sur vous, il prend votre vie entre ses mains et en expose le moindre de ses secrets à la presse, prenant un malin plaisir à voir les scandales et les polémiques crées par son travail, laissant le soin aux autorités de vous écraser. Sans que personne ne connaisse sa véritable identité, il écrira des articles qui vaut de l'or avec ce que vous lui avez donné. Et lorsque vous vous sentirez enfin à l'abri après l'acharnement médiatique dont vous avez été la victime, un autre dossier viendra au yeux de la presse, montrant davantage de vos abus.
Jamais ce ne sera terminé et même votre mort n'y changera rien. Tant qu'il aura du matériel sur vous, il continuera à vous démonter, même une décennie après votre condamnation et la fin de vos activités. Les scandales se créés indépendamment du temps qui a passé depuis et il prendra toujours un malin plaisir à les voir. Mais après tout, si un jour vous parvenez à savoir que c'est lui malgré tous les trésors d'ingéniosité qu'il a déployé pour cacher sa trace, que vous le retrouvez et que vous lui demandez pourquoi, il ne fera que vous dire la vérité, un sourire satisfait et un regard se délectant de votre détresse sur son visage : vous l'avez mérité, c'est de votre faute.
Physionomie
S'il n'est pas bien grand ni bien lourd, son apparence semble amplifiée aussi bien en hauteur qu'en largeur par les multiples couches de vêtements qu'il apprécie à porter, vain artifice pour compenser la froideur de son coeur, comme sa longue chevelure noire qui ne semble pas avoir d'autre utilité. Aisément il pourrait cacher avec la marque qu'il a sur le front mais au contraire il la montre avec ce qui doit être de la fierté, indiquant à qui le demande que c'est un charme de bonne fortune originaire d'une partie reculée de l'Inde.
Cependant, je vous donne ce conseil, vous ne devriez pas le croire. Vous ne devriez pas croire le moindre mot qu'il vous accorde. On dit possible de voir dans les yeux de son interlocuteur la distinction entre mensonge et vérité, mais dans ses yeux rouges, vous n'y trouverez rien. Ni pigment, ni sentiment, ni vie.
Biographie
Né au Honduras, il n'était pas, enfant, semblable à ce qu'il est aujourd'hui. Comme bien d'autres enfants, il était curieux mais pas méchant, relativement attentionné envers ses proches et joyeux. Très joyeux. Qui aurait pu croire qu'il deviendrait ce qu'il est à présent ?
Nos parents, il ne s'en souvient plus, confié tôt à une famille d'accueil avec son frère, moi, aîné de peu de temps, si semblable à lui que nous aurions pu être jumeaux.
Le rêve de sa vie, c'était la biologie et il n'a pas été empêché de faire ses études dans ce domaine. Quant à moi, l'informatique était mon quartier. Il était brillant, promit à un bel avenir, et ne manquait pas d'amis. Ayant apprit à joué du piano, il avait même intégré un orchestre.
Mais un jour il a totalement changé. Un accident l'à changé au plus profond de lui-même, lui ravissant tout ce qu'il était pour en faire un être sans coeur.
Dans notre temps libre, nous avions pour habitude d'explorer les quartiers abandonnés, maisons, immeubles, usines. Ce soir-là, nous étions dans une usine abandonnée, explorant les lieux, regardant ce qui traînait encore. J'avais souhaité l'effrayer, passant derrière lui en lançant un grand cri. Souvent ça suffisait à le faire sursauter. Mais ce jour-là sa réaction fut de se retourner et de me pousser.
Je me retrouver pousser contre une machine dans laquelle je tombais, l'ayant activée en m'y cognant. Pourquoi il y avait-il encore de l'électricité dans cette usine abandonnée ? Ce n'étais pas normal. J'ai été découpé vif dans cette machine. Esli m'a poussé à la mort.
Ma mort n'a jamais été découverte. Esli a simplement indiqué à notre famille d'accueil que j'avais fugué, que j'étais parti m'installer ailleurs. Ainsi, ils n'ont jamais été inquiété par ma disparition, d'autant plus qu'à leurs oreilles, je continuais d'aller en cours.
Pourquoi n'a-t-il pas parlé de ma mort ? Pourquoi a-t-il prit ma place et ainsi continué ma vie autant que la sienne ? Les raisons sont enfouis au plus profond de lui et probablement personne ne le saura jamais.
Il a continué ma vie car il a prit ma place. Avec notre ressemblance étonnante, ce n'était pas bien difficile pour lui de se faire passer pour moi. Il participait à mes cours avec succès, ayant bachoté mes notes, il passait du temps avec mes amis, n'oubliant jamais de poursuivre sa propre vie, ses propres cours, ses propres amis.
Passer de l'un à l'autre a dû être difficile pour lui. N'importe qui n'en est pas capable. D'autant plus sans se faire remarquer. Tout ce qui pouvait être compromettant était les absences répétées de l'une ou l'autre de ses identités, ce qui n'a jamais éveillé de soupçons cependant.
Peut-être est-ce ce premier succès qui l'a incité à continuer à se faire passer pour quelqu'un d'autre, encouragé par sa première expérience professionnelle.
Alors qu'il cherchait un emploi, peu importe ce qu'il trouvait, il voulait juste devenir autonome, il s'est présenté dans un restaurant réputé. Devant celui-ci il n'avait pas manqué d'entendre parler deux employés qui s'indignait du fait que leur nouveau collègue, qui avait été recruté en ligne, ne se soit pas encore présenté alors que son contrat devait avoir commencé depuis plusieurs jours, ne manquant pas de parler d'à peu près tout ce qu'ils savaient sur lui.
Ce fut pour lui comme un réflexe de se présenter sous le nom de cet employé absent. Peut-être un peu à son grand étonnement, la supercherie fonctionna et il commença à travailler en tant que commis de cuisine. Pour pouvoir tenir son rôle, il chercha les informations sur la personne qu'il était censé être et se fit faire fausse carte d'identité, faux diplômes, bachotant pour obtenir un minimum de compétences.
Tout se passait bien pour lui. Mais les agissement du grand restaurant n'étaient pas aussi digne qu'ils devaient l'être, et même en tant que néophyte, Esli l'avais bien remarqué. La nourriture qui était préparée est servie avait une odeur et un visuel suspect et si les clients ne s'étaient jamais plains du goût, ce n'était que grâce aux talents du chef qui était obligé de travailler ces produits, obligé par la direction de l'établissement.
Peut-être prit d'un élan justicier, Esli a décidé de faire savoir au public ce qu'il se passait ici. Discrètement, il a enquêté, faisant des photographies, des vidéos, enregistrant des conversations, photocopiant des documents... Il ne savait pas vraiment ce qui pourrait lui être utile et prit alors tout ce qu'il pouvait.
Ensuite il s'est arrangé pour être licencié. Puisqu'il avait toujours agit de façon à être gentil avec tout le monde, il aurait été suspecté si il démissionnait d'un poste où il avait un très bon salaire puis que soit dévoilé les agissements du restaurant. Alors il a brûlé l'un de ses collègues en cuisine. Une dite maladresse aux lourdes conséquences. Le collègue en question eu plusieurs journées d'arrêt de travail et Esli fut licencié sur le champ, malgré ses fausse excuses.
Une fois tranquille et sans emploi, il prit son temps pour analyser les informations qu'il avait récupérées. Ces informations, il les compila dans un document, un article dénonçant les pratiques du restaurant en matière alimentaire. L'article prêt, il n'eut qu'à trouver un journal qui voudrait bien le publier. Sous un pseudonyme, Angra Mainyu, il n'eut pas trop de mal à trouver un journal attiré par les promesses d'un article à sensation.
Vous vous en doutez certainement, cet article fit un véritable scandale. Les autorités ne mirent pas longtemps pour mener leur propre enquête et faire fermer le restaurant. Esli suivait cette affaire, dont les médias s'étaient emparés, avec délectation. Peut-être des gens ont-il cherché le lanceur d'alerte sans le trouver. Peut-être la direction du restaurant l'on suspecté. Mais pour tout le monde, il était introuvable.
Il continuait d'examiner les nombreuses preuves qu'il avait trouvé et alors que l'affaire avait commencé à se tasser, il écrivit un autre article sur des faits, concernant les dirigeant du restaurant, qui n'avaient pas été découverts par les autorités. Une nouvelle affaire de fraude financière secoua les médias, faisant relancer le scandale et annihiler tout espoir pour les fraudeurs de s'en remettre.
Esli s'est senti pousser des ailes. Il avait apprécier de créer ces scandales, de dévoiler ces agissements. Alors il décida de continuer. Mais pas ici, pas au Honduras. Ailleurs. N'importe où, mais ailleurs. Alors il est parti travailler ailleurs, dans une grande entreprise où il était persuadé qu'il finirait par trouver quelque chose, que ce soit contre les dirigeants ou contre d'autres. Ce n'était pas par charité ou volonté de justice qu'il voulait faire ça, mais simplement pour les sensations que ça lui procurait.
Cette fois il n'avait pas laissé le hasard faire son oeuvre. Il avait étudié l'entreprise et le poste en amont, s'était créé une fausse identité, de faux diplômes, de fausses références. Ainsi il intégrait l'entreprise, récoltait des preuves, s'arrangeait pour trouver une raison plausible de partir puis disparaissait le temps d'écrire son article et de le vendre.
Ce procédé, il le réitéra plusieurs fois, ne restant jamais plus de cinq ans dans la même entreprise, dans le même pays. Petit à petit il s'améliora dans la création de ses nouvelles identités, poussant plus loin le vice jusqu'à soudoyer des gens pour lui servir de référence si on venait à vouloir confirmer son curriculum vitae. Il s'améliorait aussi à l'écriture de ses articles qui étaient attendu par les médias qui n'hésitaient pas à dépenser de petites fortunes pour acquérir l'exclusivité.
Ainsi il faisait sa vie et ça lui plaisait, d'autant plus qu'il n'était jamais découvert. Enfin, presque jamais. Il lui est arrivé une fois d'avoir des soucis, mais c'était moins par maladresse que par compétence peut-être un peu surnaturelle d'une personne lambda.
C'était au Laos où il travaillait pour un petit industriel. Esli avait été invité à un repas chez un de ces collègue, et en collègue gentil et bienveillant, il avait accepté avec plaisir. Mais tout ne s'est pas déroulé comme prévu. Le collègue vivait avec toute sa famille et la grand-mère a vu le diable en Esli, comme si c'était marqué sur son visage. Ce soir là il fut retenu et marqué au front d'une marque indélébile, celle du diable. Il quitta ensuite le pays sans demander son reste. Si cette marque avait des significations pour d'autres personnes, il ne pourrait plus rien obtenir. Mais heureusement elle ne semblait en avoir que pour très peu de personnes.
Comme à chaque fois, il a changé d'identité, de pays, au gré de ses envies, sans jamais se sentir inquiété d'être un jour découvert. Pour son seul plaisir de causer des scandales, que ce soit à petite ou à grande échelle, il était prêt à faire les plus basses besognes qui existent.
Sa nouvelle victime : l'Institut Espoir. C'est dans un hôpital où il exerçait en tant qu'agent d'entretien qu'il a trouvé la brochure pour cette établissement. Vous pouvez croire qu'il s'est dit que c'était louche et qu'il pourrait ainsi satisfaire son envie destructrice ici, mais il n'en est rien. C'est seulement par hasard qu'il à décidé de cibler cet établissement plutôt que la maison de retraite de la brochure d'à côté. Les couleurs de la brochures lui ont plues. Et puis, à force, il a construit l'idée que tout le monde a quelque chose à cacher. Quelque chose qui ne demande qu'à être dévoilé au monde.
Ses dispositions furent simple. Il s'est construit une nouvelle identité, celle de Nehn Balam, né en Inde de parents américains, s'est créé de nouveaux diplômes lui conférant des compétences avancées en informatiques acquises à New Delhi, n'ayant à faire quelques recherches supplémentaires que pour mettre à jour à jour ses capacités, s'est inventé un C.V. plus que correct, soudoyants quelques contacts pour lui servir de références au cas où les informations seraient un minimum vérifiées.
Ensuite il lui a fallu libérer la place qu'il souhaitait pour pouvoir enfin y postuler. Là encore son procédé fut simple : faire croire à la personne en place qu'il a gagné le pactole, offrant une partie de son propre argent pour le faire partir de son poste. Après ceci, il n'y a qu'à guetter l'arriver d'une offre d'emploi. L'embauche ne fut qu'une formalité avec le C.V. qu'il s'est créé.
Le voilà en poste depuis quelques années. S'il semble prendre son travail à coeur et le faire bien, c'est que vous ne remarquez pas que ce n'est qu'une façade. Que sait-il déjà sur les agissements de l'Institut ? Que ne sait-il pas et recherche encore ? Ce n'est pas comme si vous avez un moyen de le savoir.
À propos de vous...
C'est Pavel. Et j'arrive pas à voir ce que j'écris car ça remonte à chaque fois.
Dernier personnage, promis.
Institut Espoir
Bon, du coup, je ne te souhaite pas la bienvenue, si ? XD
Bienvenue quand même !
Je lis ta fiche demain, promis
Il est tard donc je prendrais plutôt le temps de lire ta fiche demain et pouvoir te valider \o
J'espère que vous apprécierez sa fiche. Elle n'est certainement pas ma meilleure fiche mais elle reste décente, je suppose.
Si les médecins découvrent ce que tu fais, t'es pas dans la mouise tiens XD
J'ai hâte de pouvoir RP avec toi du coup!
Passage éclair pour te dire que j'adore ce personnage :D
Ca c'est sur. Tu crois que je vais finir en sujet d'experimentation si je suis decouvert ? Ou tuer froidement et simplement ? La derniere serait tristement du gachis.Ange a écrit:Si les médecins découvrent ce que tu fais, t'es pas dans la mouise tiens XD
Bien volontiers !Ange a écrit:J'ai hâte de pouvoir RP avec toi du coup!
Merci ça me rassure j'avais peur qu'il soit... pas assez bien decrit peut-etre.Amalia Reano a écrit:Passage éclair pour te dire que j'adore ce personnage
Ouais je reponds avec Inu car flemme de me deconnecter ici.
Ton personnage restera disponible et ta fiche invalide jusqu'au jour où tu décideras de jouer ce personnage et d'apporter les modifications nécessaires qui sont :
- Préciser en quoi consiste un administrateur réseau (une définition simple peut suffire)
- Ajouter une contrepartie à ton personnage. Cela peut être dans son caractère, son physique (problème de mobilité, etc.) ou un mauvais pas dans son histoire.
Les raisons :
- De ce que tu nous en as dit, ce personnage a un métier qui lui permet d'accéder à certains dossiers "secrets", sachant qu'il a apparemment des compétences en hacking. Bien qu'il ait déjà fait un faux pas, cela n'interfère en rien à son admission dans l'Institut alors qu'il fait très attention à qui il embauche pour être sûr que rien n'interfère avec ses agissements. Au contraire, tout se passe sans soucis. Avec donc son accès à des fichiers secrets en tant qu'administrateur réseau, ses compétences en hacking et son embauche sans problème, cela en fait un personnage à la "Mary Sue" (sans réels défauts qui interférerait dans sa quête de faire couler l'Institut).
- Ce personnage aurait besoin d'un éclaircissement sur le métier qu'il exerce étant donné que nombre de nous ne sachons ce qu'est un "administrateur réseau".
Les solutions :
- Pour ce qui est de la définition du métier, rien de plus simple. Nous doutons qu'il y ait quelque chose à expliquer dans ce que tu dois faire pour que cette fiche soit valide.
- Pour un défaut de ton personnage : il peut être très surveillé (plus que les autres) par l'Institut. Un bracelet qui indique où il va et quand, un garde du corps qui l'accompagne sans aller jusque dans sa chambre et douches, etc. Des modifications qui ne viendront donc pas interférer avec ton histoire ou autre, et qui peuvent être contournée par ton personnage lors de RP (avec explications de comment il a fait pour tromper une nouvelle fois les autres).
Ton personnage est intéressant et intéresse les autres membres du forum. Cette fiche et ton personnage resteront donc disponibles jusqu'à ce que tu changes d'avis.
Cordialement,
Les membres du staff.