neurochirurgienne
Prénom : Margaret
Surnom : Cruella (due à ses pommettes saillantes et sa réputation)
Date de naissance : 24/12/1982 (37 ans)
Taille : 1m78
Poids : 70 kg
Origine : Américano-Mexicaine
Nationalité : Américaine
Langues parlées : Anglais (obligatoire), Espagnol (couramment), Portugais (bon niveau), Français (bases)
Date d'arrivée à l'Institut : 12/01/2012
Groupe : Les spécialistes
Profil psychologique --------------------------------
Avec une éducation basée sur le travail, cela ne pouvait être guère étonnant qu’elle pût prendre à ce point son pied lorsqu’elle étudiait. Elle pouvait y passer des heures devant un cahier ou un livre juste pour l’apprendre par coeur ou alors pour recopier ce qui, selon elle, était intéressant.
En dehors de ces aspects sérieux, en elle se cache une véritable addict au café et à la cigarette. Ses courtes nuits de sommeil où elle lit sous la faible lumière de sa lampe de chevet ou de son téléphone ne devaient pas l’empêcher de partir travailler le jour, ce fut pourquoi elle se dopa à la caféine. Les personnes avec qui elle passait du temps ne s’empêchaient pas de fumer devant elle, ce qui la fit commencer. Depuis, pas une journée ne passe sans qu’elle ne boive un café ou ne fume une cigarette. Ce sont ces addictions qui la rendent facilement nerveuse si elle n’a pas eu sa dose de caféine et de nicotine. Ce sont ses carburants, son énergie. Certains ont besoin d’une bonne nuit de sommeil, ce n’est pas son cas. Perdre du temps à rester immobile et à avoir les yeux fermés, ce n’est pas pour elle. Elle excède rarement les quatre heures de sommeil, si ce n’est moins.
Ce n’est pas une femme attachée ou qui montre un quelconque attachement envers une personne. Être en couple ne l’intéresse pas, elle se dit mariée à son travail. Et en dehors des relations amoureuses, les relations aussi bien familiales qu’amicales ne sont que divertissement à son égard. Elle considère les autres êtres humains comme des objets de divertissement ou d’étude qu’elle peut observer, avec qui elle peut communiquer ou échanger des idées et savoirs. C’est pour cela qu’elle ne compte pas plus de cinq amis, et c’est encore un chiffre généreux. Elle ne prête d’ailleurs pas attention aux problèmes de sa famille ni même aux fêtes traditionnelles qui sont, selon la société, familiales. Thanksgiving, Noël, et les autres fêtes ne sont que des événements sociaux obligatoires où l’alcool et la nourriture abondent.
Et si elle est critiquable sur ce point ci-dessus, elle peut l’être difficilement pour sa prestance et sa présence imposante. Elle sait communiquer sans le moindre mal, peut-être même qu’elle arriverait à vous convaincre sur un sujet sur lequel vous vous étiez fixé une idée contraire. Elle garde dans un débat un calme qui se veut olympien pour vous persuader qu’elle a tellement raison qu’elle ne laisse pas de vulgaires émotions prendre le dessus sur le sujet.
Elle n’est d’ailleurs pas du genre à s’énerver, mais elle est très susceptible. Critiquer une seule de ses habitudes ou de ses décisions l'amènera à littéralement “bouder” jusqu’à ce qu’excuses soient présentées. Elle n’est d’ailleurs pas du genre à se remettre en questions, bien trop têtue et fière pour penser qu’elle puisse être une seule seconde en tort. Lors d’une dispute, elle sera alors celle qui attendra l’autre pour faire le pas vers elle. Jamais elle ne pensera à faire la démarche envers la personne, fautive ou non. Elle a raison, vous avez tort. Point.
C’est d’ailleurs sans compter sa rancune excessive. Il vous sera difficile d’entrer de nouveau dans ses bonnes grâces sans vous mettre en quatre après avoir fait une blague aussi insignifiante que de “voler” son dessert. Elle ne voulait pas spécialement le manger, mais non seulement c’était le sien, mais en plus ce n’était pas drôle. Vraiment pas.
Qualités : Rigoureuse, travailleuse, cultivée, sérieuse, a de la présence, calme, sait dialoguer.
Défauts : Sadique, accroc au café et à la cigarette (nerveuse sans), susceptible, fière, bornée, antipathique, grammarnazie, ne comprend pas l’humour en général, rancunière.
PS : Elle cache en elle un grand secret qu’elle n’aime révéler à personne. Voir le sang couler fait partie de ses plaisirs coupables.
Physique -------------------------------------------------------
Son hygiène de vie ne lui permettant pas d’avoir un bon teint de peau, elle a toujours l’air malade, très pâle, à la limite du blanc. Si on recouvrait son corps de papier machine, personne ne ferait la différence, si on exclut bien évidemment la texture.
Sa mâchoire est anguleuse et son visage a une forme assez ovale. Un nez long et fin le sépare en deux symétriquement, légèrement retroussé et droit. Son front, assez large, prend une bonne partie de son visage. En dessous, deux yeux dont la vraie couleur est le marron foncé mais qu’elle recouvre par des lentilles de couleur violet vibrant. En effet, elle déteste la couleur marron qu’elle trouve terne et impersonnelle, c’est également pour cette raison qu’elle teint régulièrement ses cheveux en noir ébène pour contrer la Nature qui avait décidé d’une couleur brune foncée pour colorer sa tignasse. En revanche, elle laisse ses mèches boucler comme bon leur semble, sans essayer de les dompter.
Elle ne cache pas son grain de beauté à gauche de sa lèvre inférieure, signification du volage, ne le trouvant ni beau ni laid.
Ses pommettes saillantes donnent l’impression d’un faible poids et donc d’une IMC peu importante, donnant à son visage une forme squelettique. En réalité, elle mesure 1m78 pour 70kg, elle est donc assez loin de ce que les impressions donnent sur la réalité. Elle porte même assez fièrement la petite bouée qui s’est formée au cours des années sur son ventre.
Ses caractères sexuels ne sont pas très prononcés non plus. Sa poitrine est un respectable 85B, soit deux petites oranges qui n’osent même pas s’effleurer. Ses hanches ne sont pas plus développées, elles se contentent d’une légère courbure, cassant à peine la droiture de son buste. En revanche, si les hommes aiment admirer de longues jambes, ils seront très satisfaits de Margaret.
Pour cacher son corps, elle attrape dans sa penderie un de ses nombreux vêtements noirs. Elle apprécie la neutralité de cette valeur, pensant que cela évite de trop montrer de sa personnalité et échapper aux conversations inutiles sur ses goûts vestimentaires, bien qu’elle ait déjà eu des remarques à ce sujet. Elle ne porte que très rarement des talons qu’elle troque contre des derbies en cuir. Les talons, elle les laisse aux secrétaires cochonnes et aux prostituées.
Prenez un pantalon noir arrivant mi-mollet, une chemise noire rentrée dans le pantalon et les manches relevées, des derbies noires en cuir et vous avez le total look de Margaret. Le plus amusant dans cette histoire, c’est qu’au milieu d’un bâtiment blanc, elle pense passer inaperçue.
Histoire ---------------------------------------------------------
Après la naissance de Margaret, ils se sont déplacés jusqu’à New York où leur vie devait être meilleure que dans la ville où leur petite fille est née. Mais leur situation ne s’est pas beaucoup arrangée. Le loyer était plus cher, et combien même ils gagnaient plus qu’avant, le surplus allait dans le loyer. De ce fait, ils vivaient à trois dans un petit appartement.
Inquiets que leur fille n’ait pas le métier qu’elle désire plus tard par manque d’argent, ils décidèrent qu’elle devrait avoir la bourse au mérite et donc être la meilleure, sans compter qu'ils prônaient la rigueur. C’est ainsi qu’ils firent un pacte : elle devrait travailler très dur, et devront être strict envers le travail qu’elle fournirait. Tous les jours, ils lui apprenaient plus de choses que ce que les autres apprenaient. Ils lui firent la lecture en anglais et en espagnol tous les jours pour qu’elle puisse devenir bilingue à l’avenir, ils lui montrèrent comment écrire son prénom et d’autres mots, ils lui faisaient faire des dictées et réciter des poésies, elle dût même apprendre ses tables de multiplication. Elle ne jouait que très peu avec les autres et se contentait d’un quotidien avec ses parents, sans vraiment sortir de chez elle. Les seules fois où elle avait l’autorisation de quitter la maison, c’était lorsque sa mère allait acheter à manger et ne pouvait la laisser seule dans l’appartement ou lors de la sortie hebdomadaire de deux heures le samedi, où ils allaient pique-niquer ou tout simplement passer un après-midi ensemble.
Margaret ne montrait pas énormément son mécontentement d’être constamment en apprentissage et jamais avoir l’occasion de lâcher un peu de lest. Elle voyait toujours ses parents en train de compter ce qui leur restait d’argent pour vivre, et son jeune âge ne lui permit pas de comprendre que ce n’était pas de sa faute. Elle ne put s’empêcher de penser que l’argent qu’ils mettaient dans son éducation aurait pu être dépensé autrement si elle n’était pas née, c’est pourquoi elle fit tout ce que ses parents lui demandaient. Le poids de la culpabilité sur les épaules d’une fillette de cinq ans n’alarma pas ses parents pour la seule raison qu’elle le gardait secret. Elle se comportait comme une gentille enfant sage pour que sa mère et son père ne regrettent pas sa naissance. Pourtant, elle ne manquait pas d’amour, mais voir ses parents toujours tout résumer à l’argent et constamment serrer la ceinture pour vivre n’arrangeait pas son sentiment.
Au kindergarten, elle repoussait les autres et n’allait pas vers eux. Etant donné que ses parents l’avaient éduqué en avance sur les autres, elle avait l’impression d’être supérieure et de parler à des retardés mentaux. Elle sauta une classe pour se retrouver entourée d’enfants qui pourraient la comprendre, mais le problème se situait autre part : elle était trop jeune et toute petite comparée à eux. Elle subissait les brimades et moqueries à toute heure de la journée.
Et elle gardait ça pour elle plutôt que d’en parler à ses parents.
Elle resta toute sa scolarité seule, de la primaire jusqu’à la fac. Seules ses notes importaient pour elle, et avec le travail qu’elle fournissait, elle réussit à toujours être la première partout. Ses capacités cognitives lui permettaient des facilités que les autres n’avaient pas. Sans parler de génie ou de prématurée, elle surpassait légèrement la moyenne. De peu, mais son implication dans le travail suffisait à la qualifier de “génie”, bien que ce terme soit théoriquement faux.
Elle obtint des bourses qu’elle troqua contre les relations sociales. A part ses parents, leurs amis et sa famille, elle ne parlait pas à grand monde. Cependant, elle réussit à entrer dans les plus grandes universités de médecine. Elle ne réussit pas à entrer à Harvard University, mais elle réussit à rentrer dans la deuxième plus grande université de médecine du monde : University of Oxford en Grande-Bretagne. Elle quitta ainsi tous ses repaires, embrassa ses parents et les quitta pour Oxford. Le système scolaire était différent des États-Unis et elle dut faire de grands efforts pour s’y habituer, mais contre vents et marées, elle réussit à s’habituer au système. Elle rentra dans un club de théâtre pour améliorer son élocution et battre sa timidité, elle fit même des concours d'éloquence. Elle découvrit même pour la première fois ce qu’était les dissections et les observations chirurgicales. Elle fut fascinée par le corps humain et la douleur que pouvaient éprouver les sujets de test humain. Les secousses électriques, ce genre de choses…
Elle réussit à avoir son diplôme en 2006. Pour la première fois de sa vie elle n’était plus première mais troisième de sa promo. Elle eut droit tout de même à une bourse au mérite, et après l’obtention de son diplôme, elle retourna aux États-Unis où elle travailla dans un centre hospitalier pendant six ans avant d’entendre parler à la télévision de l’Institut Espoir en 2012. Rêvant de pouvoir s’adonner à ses activités peu légales en toute discrétion, elle postula.
Elle réussit à y entrer le 12 janvier 2012. Les trois mois de stage furent une insulte face à ses années d’expériences, mais lorsqu’elle vit qu’elle put faire presque n’importe quoi du moment qu’elle amenait des résultats, elle ne se gêna pas.
Petit Mot
Dîtes nous ce qui est nécessaire de savoir sur vous ♥️ co-fonda bitches (promis je m'occupe du graphisme )
Comment vous nous avez trouvé : je, hum...
Avez-vous bien lu le règlement ? Si oui, de quelle taille doit être l'avatar ?
ps : je viens te lire bientôt, demain inch'
Du coup d'un point de vue personnel, je tiens à te préciser que je n'ai toujours pas digéré le "les talons c'est pour les secrétaires cochonnes" - Agnès pas contente è.é - et j'ai peur pour mon petit Alex. M'enfin, qui vivra verra.
Du coup tu as mon approbation pour ta validation mais je laisse Dodo s'occuper de tout ça, des fois qu'elle y verrai des choses que j'ai pas vu. Des bises !
Coucou beauté... ;)
Je t'ajoute aux répertoires et je te laisse t'occuper du reste (profil, rp, nouveaux graphismes, tout ça tu connais).
La bise o/
Merci sistah ! Comme d'hab je suis à la bourre 8))