Béryl BrambasiMembre de la Famille
Mer 21 Juil - 21:22
Se déroule le 21 mai :
Est-ce que la vie de Béryl se résumait à faire de la randonnée ou un peu de grimpette dans les zones de l’île où il ne se faisait pas jeter dehors, cueillir des fleurs dès qu’il en apercevait des nouvelles, pêcher des poissons en sifflotant joyeusement et étendre la lessive qu’il parfumait désormais avec de la lavande sur les fils qu’il avait tiré avec soin dans le bunker ou encore croiser des connaissances avec qui il discutait joyeusement ? Oui. Et cela lui convenait très bien. Mais il n’était jamais contre un petit tour du côté des électrons libres pour soigner les bobos des uns et des autres. Cela lui rappelait que son métier était le plus beau du monde et au moins, il ne s’empoussiérait pas. Il aurait bien fait du bénévolat aussi du côté de l’Institut ou du Village, mais c’était déjà un peu plus compliqué. Ce n’était pas faute d’avoir essayé cela dit…
Bref, là il avait à nouveau réalisé une bonne pêche et serait content de partager son butin et d’enfin revoir la tête de flemmard de ce bon vieux Bae. Par contre, la dernière fois qu’il avait voulu se rendre chez les électrons libres, le dialogue avait été plus compliqué. Une histoire de frontières et de je ne sais quoi qu’il avait toujours du mal à contourner même quand il se trouvait dans son bon droit. Peut-être que son accent à hacher au couteau lorsqu’il était forcé de dialoguer en anglais n’aidait pas à la compréhension. Mais il ne se faisait pas tellement de mourons, les miliciens électrons libres étaient bien moins bougeons que ceux de l’institut qui s’acharnait bien souvent à arborer des mines sérieuses. Au pire, il les assommerait une nouvelle fois de conseils avisés et cette fois-ci, il n’oublierait pas de leur confier le poisson en surplus. Et il demanderait pour que l’un d’eux fasse un coucou à Bae.
Mais étonnement -ou pas car c’était là l’un des talents étranges de Béryl- il ne croisa personne alors qu’il marchait tranquillement sur le territoire des électrons. Peut-être qu’ils avaient abandonnés la surveillance des frontières finalement ? A moins qu’ils aient changés la frontière de place ? Pour ce que suivait Béryl des histoires politiques de l’île… Lui tant qu’il pouvait se promener tranquillement, tout lui allait. Il marchait en sifflotant en direction de la grotte quand il tomba sur un magnifique robinier qui semblait avoir fleurit avant ces confrères. Il dégageait une odeur subtile d’orange et possédait de magnifiques fleurs blanches qui retombait en grappes. C’était comme si le destin avait mis son tronc majestueux envahit de bosquet épineux sur le chemin de l’infirmier. Non seulement de telles odeurs seraient incroyable pour la lessive, mais en plus des fleurs pareils, c’était clair qu’il pouvait en faire une couronne de fleurs incroyables dont ces sœurs auraient été mortes de jalousie. Dommage qu’il n’y connaissait rien en apiculture, parce qu’il était persuadé que le miel d’acacia était l’un des meilleurs au monde.
Il déposa donc son sac de poisson, sa canne à pêche et sa veste sur le côté avant de s’enfoncer dans les buissons épineux jusqu’au tronc d’arbre. Il y grimpa un peu difficilement à cause des nombreuses épines qui ornait l’arbre mais fut ravis d’atteindre les premières branches -qui pliait un peu sous son poids bien évidemment- d’où il pouvait atteindre les jolies fleurs blanches. Il frotta quelques pétales entre ces doigts, les ramenant à son visage pour sentir l’odeur d’oranger qui se dégageait des fleurs et poussa un soupir de contentement. Quelle surprise incroyable !
Est-ce que la vie de Béryl se résumait à faire de la randonnée ou un peu de grimpette dans les zones de l’île où il ne se faisait pas jeter dehors, cueillir des fleurs dès qu’il en apercevait des nouvelles, pêcher des poissons en sifflotant joyeusement et étendre la lessive qu’il parfumait désormais avec de la lavande sur les fils qu’il avait tiré avec soin dans le bunker ou encore croiser des connaissances avec qui il discutait joyeusement ? Oui. Et cela lui convenait très bien. Mais il n’était jamais contre un petit tour du côté des électrons libres pour soigner les bobos des uns et des autres. Cela lui rappelait que son métier était le plus beau du monde et au moins, il ne s’empoussiérait pas. Il aurait bien fait du bénévolat aussi du côté de l’Institut ou du Village, mais c’était déjà un peu plus compliqué. Ce n’était pas faute d’avoir essayé cela dit…
Bref, là il avait à nouveau réalisé une bonne pêche et serait content de partager son butin et d’enfin revoir la tête de flemmard de ce bon vieux Bae. Par contre, la dernière fois qu’il avait voulu se rendre chez les électrons libres, le dialogue avait été plus compliqué. Une histoire de frontières et de je ne sais quoi qu’il avait toujours du mal à contourner même quand il se trouvait dans son bon droit. Peut-être que son accent à hacher au couteau lorsqu’il était forcé de dialoguer en anglais n’aidait pas à la compréhension. Mais il ne se faisait pas tellement de mourons, les miliciens électrons libres étaient bien moins bougeons que ceux de l’institut qui s’acharnait bien souvent à arborer des mines sérieuses. Au pire, il les assommerait une nouvelle fois de conseils avisés et cette fois-ci, il n’oublierait pas de leur confier le poisson en surplus. Et il demanderait pour que l’un d’eux fasse un coucou à Bae.
Mais étonnement -ou pas car c’était là l’un des talents étranges de Béryl- il ne croisa personne alors qu’il marchait tranquillement sur le territoire des électrons. Peut-être qu’ils avaient abandonnés la surveillance des frontières finalement ? A moins qu’ils aient changés la frontière de place ? Pour ce que suivait Béryl des histoires politiques de l’île… Lui tant qu’il pouvait se promener tranquillement, tout lui allait. Il marchait en sifflotant en direction de la grotte quand il tomba sur un magnifique robinier qui semblait avoir fleurit avant ces confrères. Il dégageait une odeur subtile d’orange et possédait de magnifiques fleurs blanches qui retombait en grappes. C’était comme si le destin avait mis son tronc majestueux envahit de bosquet épineux sur le chemin de l’infirmier. Non seulement de telles odeurs seraient incroyable pour la lessive, mais en plus des fleurs pareils, c’était clair qu’il pouvait en faire une couronne de fleurs incroyables dont ces sœurs auraient été mortes de jalousie. Dommage qu’il n’y connaissait rien en apiculture, parce qu’il était persuadé que le miel d’acacia était l’un des meilleurs au monde.
Il déposa donc son sac de poisson, sa canne à pêche et sa veste sur le côté avant de s’enfoncer dans les buissons épineux jusqu’au tronc d’arbre. Il y grimpa un peu difficilement à cause des nombreuses épines qui ornait l’arbre mais fut ravis d’atteindre les premières branches -qui pliait un peu sous son poids bien évidemment- d’où il pouvait atteindre les jolies fleurs blanches. Il frotta quelques pétales entre ces doigts, les ramenant à son visage pour sentir l’odeur d’oranger qui se dégageait des fleurs et poussa un soupir de contentement. Quelle surprise incroyable !
Image : 
Fiche personnage : Béryl le caillouEspace personnel : petit tas de caillouxGroupe : La FamilleDate d'arrivée à l'Institut : 04/06/2019Age : 33
Fiche personnage : Béryl le caillouEspace personnel : petit tas de caillouxGroupe : La FamilleDate d'arrivée à l'Institut : 04/06/2019Age : 33Sheila McElroyÉlectron libre
Jeu 9 Sep - 16:19
Bon, j’ai demandé à Jeremiah de m’aider dans le projet « apiculture » des électrons. Je sais que son bouquin possède un nombre incalculable de choses utiles, c’est d’ailleurs de là qu’on tire notre plan d’arbalète, et j’ai envie de le mettre encore une fois à profit. Ça fait depuis un sacré moment qu’on discute de ça pour tenter de le mettre en place mais les choses vont lentement. Disons que c’est pas la priorité première de la faction donc forcément ça prend plus de temps. Et on a pas encore de solution pour la récolte de miel. Bref. Déjà avoir des plans de ruche et ensuite penser au reste. Pour le moment, je dois surtout aider Virgil avec le bosquet de bambou pour déblayer les alentours. Quand ils auront plus de place, ils vont pousser beaucoup plus abondement ! J’ai tellement hâte de pouvoir les utiliser ! Pour le moment on en coupe pas trop pour qu’ils puissent se reproduire facilement mais on a déjà pu faire pleins de petits verre avec un large bambou et c’est beaucoup trop mignon. Quand on en aura plus, on pourra fabriquer de vrai douche voire même un système de canalisation ! Je suis toute excitée !
Je consacre donc une demie journée à faire de la place au alentour du bosquet en compagnie de Virgil. Il a l’air de vraiment aimer ces plantes et fait d’ailleurs très souvent ses patrouilles autour de cet endroit. Sûrement pour s’assurer qu’on ne nous les vole pas. Bref. Je le quitte aux alentours de midi, lorsque le soleil est haut dans le ciel pour aller manger l’une de mes portions de nourriture.
On est quel jour déjà ? Hmmm. Je crois bien que je n’ai pas de cours de langue avec Solveig donc j’ai l’après midi de libre. Je vais voir au niveau de la grotte pour m’accorder avec les vigiles de la faction. Apparemment il y a déjà quelques patrouilles sur le territoire mais pas énormément. Je prends donc la charge d’une partie entre les électrons et le bunker, me munissant de ma batte. Pas de visiteurs pour l’instant. Depuis qu’on a mit en place le système de garde, on a de moins en moins d’intrus sur nos terres et c’est vraiment très agréable. Honnêtement ça me soulage, j’ai vraiment l’impression qu’on devient une faction stable. Plus le temps passe, moins on souffre du manque de nourriture et de médicaments. Peut-être que, à force d’être au contact du soleil, de l’eau, de la terre et du vent en permanence, on devient plus résistants. De mon côté, ma peau et de moins en moins sensible au coup de soleil ! Hé hé j’adore ça ! C’était insupportable à force de sortir 30 minutes et de me retrouver à peler au moindre oublie de crème protectrice.
Un bruit dans les feuillages m’interpelle. Un oiseau ? Je lève les yeux pour observer le magnifique arbre en fleur qui me fait face. Oh… Il sent drôlement bon ! On pourrait l’utiliser pour laver le linge ou se parfumer, non ? J’ai un grand sourire alors que je remarque pour la première fois ce magnifique roi de la forêt. J’aurai dû venir ici plus tôt moi. Je m’approche un peu quand je vois un humain en pleins partie d’escalade. J’écarquille les yeux alors qu’une branche plie sous le poids de…
- Béryl ??
Je trottine pour me retrouver en dessous de lui et lève encore plus la tête. Mon dieu ! J’ai failli pas le reconnaître ! Ses cheveux on drôlement poussé ! Remarque les miens aussi… Je rigole un peu alors que je l’observe ses mains dans les fleurs.
- Je suis presque sûre que c’est pas le bon chemin pour le bunker !
Il me fait rire ce gars. Je l’aime bien. On a pas eu l’occasion de se croiser très souvent mais il nous apporte parfois du poisson et c’est franchement adorable. Je pose mes mains sur mes hanches après avoir déposé ma batte par terre.
- Tu t’es trouvé un nouveau perchoir ?
Je lui adresse un sourire alors que je le regarde tenir en équilibre sur sa branche. Je vais pas le chasser du territoire comme ça, il est vraiment pas une menace. Mais au moins je le surveille un peu dans ses bricoles. C’est quand même la règle.
Couronnes de fleurs
Bon, j’ai demandé à Jeremiah de m’aider dans le projet « apiculture » des électrons. Je sais que son bouquin possède un nombre incalculable de choses utiles, c’est d’ailleurs de là qu’on tire notre plan d’arbalète, et j’ai envie de le mettre encore une fois à profit. Ça fait depuis un sacré moment qu’on discute de ça pour tenter de le mettre en place mais les choses vont lentement. Disons que c’est pas la priorité première de la faction donc forcément ça prend plus de temps. Et on a pas encore de solution pour la récolte de miel. Bref. Déjà avoir des plans de ruche et ensuite penser au reste. Pour le moment, je dois surtout aider Virgil avec le bosquet de bambou pour déblayer les alentours. Quand ils auront plus de place, ils vont pousser beaucoup plus abondement ! J’ai tellement hâte de pouvoir les utiliser ! Pour le moment on en coupe pas trop pour qu’ils puissent se reproduire facilement mais on a déjà pu faire pleins de petits verre avec un large bambou et c’est beaucoup trop mignon. Quand on en aura plus, on pourra fabriquer de vrai douche voire même un système de canalisation ! Je suis toute excitée !
Je consacre donc une demie journée à faire de la place au alentour du bosquet en compagnie de Virgil. Il a l’air de vraiment aimer ces plantes et fait d’ailleurs très souvent ses patrouilles autour de cet endroit. Sûrement pour s’assurer qu’on ne nous les vole pas. Bref. Je le quitte aux alentours de midi, lorsque le soleil est haut dans le ciel pour aller manger l’une de mes portions de nourriture.
On est quel jour déjà ? Hmmm. Je crois bien que je n’ai pas de cours de langue avec Solveig donc j’ai l’après midi de libre. Je vais voir au niveau de la grotte pour m’accorder avec les vigiles de la faction. Apparemment il y a déjà quelques patrouilles sur le territoire mais pas énormément. Je prends donc la charge d’une partie entre les électrons et le bunker, me munissant de ma batte. Pas de visiteurs pour l’instant. Depuis qu’on a mit en place le système de garde, on a de moins en moins d’intrus sur nos terres et c’est vraiment très agréable. Honnêtement ça me soulage, j’ai vraiment l’impression qu’on devient une faction stable. Plus le temps passe, moins on souffre du manque de nourriture et de médicaments. Peut-être que, à force d’être au contact du soleil, de l’eau, de la terre et du vent en permanence, on devient plus résistants. De mon côté, ma peau et de moins en moins sensible au coup de soleil ! Hé hé j’adore ça ! C’était insupportable à force de sortir 30 minutes et de me retrouver à peler au moindre oublie de crème protectrice.
Un bruit dans les feuillages m’interpelle. Un oiseau ? Je lève les yeux pour observer le magnifique arbre en fleur qui me fait face. Oh… Il sent drôlement bon ! On pourrait l’utiliser pour laver le linge ou se parfumer, non ? J’ai un grand sourire alors que je remarque pour la première fois ce magnifique roi de la forêt. J’aurai dû venir ici plus tôt moi. Je m’approche un peu quand je vois un humain en pleins partie d’escalade. J’écarquille les yeux alors qu’une branche plie sous le poids de…
- Béryl ??
Je trottine pour me retrouver en dessous de lui et lève encore plus la tête. Mon dieu ! J’ai failli pas le reconnaître ! Ses cheveux on drôlement poussé ! Remarque les miens aussi… Je rigole un peu alors que je l’observe ses mains dans les fleurs.
- Je suis presque sûre que c’est pas le bon chemin pour le bunker !
Il me fait rire ce gars. Je l’aime bien. On a pas eu l’occasion de se croiser très souvent mais il nous apporte parfois du poisson et c’est franchement adorable. Je pose mes mains sur mes hanches après avoir déposé ma batte par terre.
- Tu t’es trouvé un nouveau perchoir ?
Je lui adresse un sourire alors que je le regarde tenir en équilibre sur sa branche. Je vais pas le chasser du territoire comme ça, il est vraiment pas une menace. Mais au moins je le surveille un peu dans ses bricoles. C’est quand même la règle.
Codage par Libella sur Graphiorum
Image : 
Fiche personnage : One upon a timeEspace personnel : [url=]espace personnel[/url]Groupe : Les Électrons LibresDate d'arrivée à l'Institut : 01/07/2018Age : 24
Fiche personnage : One upon a timeEspace personnel : [url=]espace personnel[/url]Groupe : Les Électrons LibresDate d'arrivée à l'Institut : 01/07/2018Age : 24
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