Membre de la Famille
Surnom [facultatif): Bébé
Date de naissance : 07/02/1991 (29 ans)
Taille : 1M77
Poids : 77kg
Origine : française
Nationalité : Française
Langues parlées : Anglais, français
Physique --------------------------------
Il n’est pas bien gros, ni musclé. Une brindille fine et élancée. Il a un petit accent du Sud de la France qui se retranscrit, même lorsqu’il parle en anglais.
D’un point de vue vestimentaire, Béryl s’habille sobrement, de manière plutôt décontractée. Il ne quitte presque jamais ces vêtements d’infirmier. Dieu sait pourtant l’influence très féminine qui aura toujours régné à la maison. Il lui est d’ailleurs déjà arrivé de servir de poupée à coiffer ou habiller à ces sœurs et ce à de nombreuses reprises durant son enfance. Il adore les chaussures de marche qu’il porte dès qu’il le peut et les sentiers escarpés.
Il s’égratigne souvent, sa maladresse naturelle ne faisant pas bon ménage avec son métier, ni son hobby qu’est le trek. Mais jamais rien de bien grave.
Psychologie -------------------------------------------------------
Serein, il apporte souvent une forme d’apaisement autour de lui. Il écoute plus qu’il ne s’exprime. Il sait se montrer d’une patience à toutes épreuves.
Foncièrement positif, il aura tendance à voir ce qu’il y a de mieux en chacun, négligeant parfois un peu trop les défauts des autres mais aussi les siens. Il prêtera difficilement de mauvaises intentions à quelqu’un, persuadé que tout le monde vit dans l’intérêt des autres et l’intérêt commun. A moins qu’il ne soit tout simplement d’une naïveté sans pareille.
Pareillement, il verra le côté positif des situations, même les plus désespérées. Il lui en faudra beaucoup avant de paniquer ou perdre son sang-froid.
Il est très sérieux en ce qui concerne son travail, et prend à cœur de soigner et aider tout le monde, sans émettre de jugement personnel qui pourrait entraver ou détériorer les soins qu’il prodigue.
La famille a pour lui une importance capitale. Il a d’ailleurs parfois un peu une attitude de papa-poule, avec des patients de longue date.
Il aime les orages d’été, la couleur bleu, l’amertume des pamplemousses, la douceur d’une feuille au contact de la peau et le chant des cigales.
Histoire ---------------------------------------------------------
Le garçon fait partie d’une grande famille, il a une grande sœur de trois ans son ainée Ambre, sa sœur jumelle Agathe, et pour finir la plus petite qui n’a qu’un an de moins qu’eux et probablement la plus pourrie gâtée, Ruby. Aucuns d’eux ne se ressemblent tout à fait. Ils s’entendent comme s’entendent des frères et sœurs, avec leurs lots de disputes mais aussi des moments plus complices. Bref, une famille qui fonctionne bien.
Pas un jour ne passa sans que des cris de joie, de colère ou de joli excès de rire ne retentissent dans la maison. C’était ce genre d’agitation qu’il recherchait lorsqu’il avait besoin de se rassurer. Mais lors de son adolescence, c’était cette même agitation qui l’avait poussé à entreprendre de nombreux trek où il pouvait se ressourcer, s’isoler du monde. Parfois, il partait seul, parfois avec Agathe. Ou plus rarement, pendant les grandes vacances avec l’un ou l’autre amis du lycée. C’est lors de ces treks qu’il s’attache à la pêche qu’il pratique aussi pour se détendre et se vider la tête.
Madame Brambasi donne cours à domicile à ces enfants jusqu’à l’âge de leurs dix ans, avant qu’ils ne soient scolarisés dans une école de la région. Béryl prend ensuite le chemin de l’école. Pour lui tout se passe bien. Il se fait quelques amis avec lesquels il s’amuse bien. Rien de bien exceptionnel. Il est un élève correct, sans plus.
Sa grande sœur Ambre fut la première à quitter le nid familial pour rejoindre Paris où elle entreprit des études de comptabilité et d’entreprenariat. Elle voulait travailler avec les parents et pérennisé l’entreprise familial, ce qu’elle fit très bien par la suite. Béryl n’était pas dupe, il savait à quel point elle était la fierté de la famille. Il était d’ailleurs aussi l’oncle de deux adorables marmots.
Agathe commença des études de médecine. Dans le même temps Béryl entreprit celles d’infirmier. Il était conscient de ne pas avoir les épaules ou la force de caractère nécessaire pour devenir médecin contrairement à sa sœur, et il n’en avait de toute manière pas l’ambition. Il avait cependant toujours eu un attrait pour les études du domaine médical, et infirmier lui semblait plus à sa portée. Il se spécialisa dans les soins bloc op’ et en santé mentale et psychiatrie.
Quant à Ruby, elle mit plusieurs années à se décider, passant de formations en formations sans vraiment trouver son bonheur. De ce qu’il en savait aujourd’hui, elle était coach de vie où un truc du genre. Elle vivait toujours chez ses parents. Sa vie sentimentale avait été plus ou moins aussi chaotique, avec une floppé de copains et même l’une ou l’autre copine ayant circulé sans jamais qu’elle ne se fixe.
Lui-même ne pouvait pas vraiment la juger. Contrairement à elle, il n’était jamais parvenu à conclure avec la moindre femme. Il ne manquait pas de charme, mais de virilité et d’assurance si, de ce qu’on lui en avait dit. Les filles le trouvaient trop timide ou indifférent, pas assez entreprenant. Puis elle disait qu’il était un peu « gentil » mais apparemment dans un sens relativement péjoratif. Il ne s’en souciait pas trop, contrairement à sa mère qui lui demandait souvent quand il allait présenter sa petite amie. En général, il finissait toujours par lui dire qu’il avait déjà les quatre plus belle femme à ces côtés, et que cela lui suffisait. Et alors qu’Agathe était sur la fin de ces études, une petite Alice dont il fut le parrain apparut dans sa vie pour la compléter définitivement.
Béryl aurait probablement passé son existence entière à travailler à l’hôpital du coin, retournant régulièrement voir sa famille qui habitait à moins d’une heure de son appart’, menant une vie paisible, peu agitée, plutôt insignifiante d’ailleurs, s’il n’y avait pas eu l’accident. Un accident stupide comme il y en a des tonnes. Un accident qui n’arrive qu’aux autres.
Après avoir appris qu’elle avait son diplôme de médecine, sa sœur était sortie avec des amis ainsi qu’avec son compagnon pour fêter ça. Béryl gardait Alice pour la soirée, il faisait ça souvent. Agathe avait toujours été plus sociable que son jumeau. Plus insouciante aussi. Elle avait repris le volant après avoir un peu trop bu. Elle et son copain avaient percuté un platane. Ils étaient tous les deux morts sur le coup.
Inattendu. Brutal. Cet évènement fut particulièrement difficile pour Béryl. Il avait alors 26 ans. Il essaya d’abord de vivre comme si de rien n’était, mais tout ce qu’il faisait, tout ce qu’il était, lui rappelait Agathe. Il la voyait partout. Vivre si prêt mais si loin d’elle devenait chaque jour plus dur pour le jeune homme. Ces parents prirent Alice sous leurs ailes, conscients que Béryl n’était pas forcément capable de la prendre en charge seul, il savait déjà à peine s’occuper de lui-même.
Il décida finalement de quitter la région pour remonter sur Paris. Il pratiqua un peu dans un hôpital de la capitale avant de travailler en Angleterre. Finalement, il fut engagé à l’institut en juin 2019.
Lorsqu’il prend ces congés ou lors des longs week-ends, il retourne en Ardèche visiter sa famille, à laquelle il reste particulièrement attaché. Il s’occupe alors d’Alice autant qu’il le peut, chérissant le regard violet de sa petite filleule, qu’elle n’a rien à envier à sa mère.
A l’institut, avec ces collègues, tout se passe bien. Béryl s’intéresse à eux et raconte des anecdotes familiales sans rechigner. Il n’est pas le plus volubile et laisse avec plaisir la parole aux autres mais il n’est pas non plus fermé à la conversation. Il prend son travail à cœur, se penchant sur les cas des patients qu’il rencontre avec beaucoup de soins. L’homme, très professionnel, a toujours pris son rôle très à cœur.
Il s’est très vite lié d’amitié avec certaines de ces collègues, comme Lilya qui possède le même besoin d’aider les patients avant toute chose ou encore Aimee qui lui fait penser à sa petite sœur Ruby, toujours à trainer avec des mecs pas assez bien pour elle. Il s’entend bien avec Eizenija même si elle semble parfois manqué d'un certain équilibre.
Lors de la Révolution, Béryl dormait tranquillement. Ce n’est que lors de l’annonce de l’incendie qu’il se décide à quitter son lit. Il tombera des nues face aux nouvelles données par les vigiles. Il avoue qu’il n’écoutait pas toutes ces histoires de Révolution car pour lui ce genre de truc, ça n’existait que dans les histoires. Puis, il n’avait pas vraiment eu l’occasion de voir les mauvais côtés de l’Institut, trop occupé à bien faire son boulot. Il se sera alors rendu utile autant que possible, pensant à amener du matériel médical au bunker, accompagnant certains membres du personnel et patients.
A la sortie du bunker, il s’était isolé dans l’une des pièces de l’endroit pour profiter de quelques heures de solitude, étouffé par la proximité de tous ce monde dans un si petit endroit et, après une sieste bien mérité, découvre qu’il a été enfermé après que Donatien Elpida ai décidé de fermer les portes pour s’isoler avec ces patients
Petit Mot 8D
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entourageGroupe : Institut GrahamDate d'arrivée à l'Institut : 10/02/2013Age : 26
Tu connais le chemin : espace perso, remplir le profil, t'annoncer dans les répertoires, tout ça tout ça
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