Hyppolite VodeniDisparu de l'Île
Mer 15 Juil - 12:09
21h20
Hyppolite avalait les marches des escaliers, son rythme cardiaque prenant une cadence musclée. Ses battements semblaient répéter dans son crâne le prénom d'Aida. A chaque étage franchi, il prenait un shot d'adrénaline. Il avait l'impression qu'il allait mourir parce que toute sa vie défilait devant ses yeux, et il ne voyait que Aida. Il avait eu le temps d'apprendre à la connaître depuis l'automne. Il avait eu le temps de s'attacher pour de vrai, sans se précipiter. Il avait eu le temps de lui faire confiance, et de se faire confiance à lui aussi.
Il n'avait plus peur d'être un fardeau pour elle parce qu'il ne voulait plus se laisser de côté. Elle réveillait chez lui ce qu'il y avait de meilleur. Maintenant il voulait un métier qui était à sa hauteur, il voulait s'épanouir dans ses passions, il voulait qu'Aida soit fière de le présenter à son entourage.
Il avait toujours trouvé les femmes splendides, les considérant toutes comme des sources d'inspirations. Pourtant, il n'avait jamais su tirer de bonnes photos. Parce qu'on n'avait qu'une muse dans sa vie, et la sienne était une danseuse à la peau couleur café. Maintenant il acceptait d'être un artiste, il acceptait de se reprendre en mains, il acceptait de pouvoir échouer parce qu'il savait qu'avec Aida à ses côtés, il saurait se relever.
Il était enfin devant la cuisine du troisième étage, essoufflé. Derrière cette porte il y avait sûrement cette femme qui le fascinait, qui cuisinait comme elle dansait, et dont les pas de danses étaient délicieux. Cette femme dont la beauté était si transcendante qu'Hyppolite se retrouvait abasourdi. Cette femme qui lui faisait perdre la tête et qui, paradoxalement, l'aidait à garder les pieds sur Terre.
Hyppolite prit une profonde inspiration, ouvrit la porte, prit le visage d'Aida entre ses mains et l'embrassa avec tellement d'émotions qu'il avait l'impression qu'Aida aurait pu les ressentir. Du soulagement, un peu de peur, de l'excitation, de l'envie. Il était prêt. Aida n'avait plus besoin de l'attendre.
 | Tu n'as plus besoin de m'attendre |
21h20
Je t'attendrais.
Hyppolite avalait les marches des escaliers, son rythme cardiaque prenant une cadence musclée. Ses battements semblaient répéter dans son crâne le prénom d'Aida. A chaque étage franchi, il prenait un shot d'adrénaline. Il avait l'impression qu'il allait mourir parce que toute sa vie défilait devant ses yeux, et il ne voyait que Aida. Il avait eu le temps d'apprendre à la connaître depuis l'automne. Il avait eu le temps de s'attacher pour de vrai, sans se précipiter. Il avait eu le temps de lui faire confiance, et de se faire confiance à lui aussi.
Il n'avait plus peur d'être un fardeau pour elle parce qu'il ne voulait plus se laisser de côté. Elle réveillait chez lui ce qu'il y avait de meilleur. Maintenant il voulait un métier qui était à sa hauteur, il voulait s'épanouir dans ses passions, il voulait qu'Aida soit fière de le présenter à son entourage.
Il avait toujours trouvé les femmes splendides, les considérant toutes comme des sources d'inspirations. Pourtant, il n'avait jamais su tirer de bonnes photos. Parce qu'on n'avait qu'une muse dans sa vie, et la sienne était une danseuse à la peau couleur café. Maintenant il acceptait d'être un artiste, il acceptait de se reprendre en mains, il acceptait de pouvoir échouer parce qu'il savait qu'avec Aida à ses côtés, il saurait se relever.
Il était enfin devant la cuisine du troisième étage, essoufflé. Derrière cette porte il y avait sûrement cette femme qui le fascinait, qui cuisinait comme elle dansait, et dont les pas de danses étaient délicieux. Cette femme dont la beauté était si transcendante qu'Hyppolite se retrouvait abasourdi. Cette femme qui lui faisait perdre la tête et qui, paradoxalement, l'aidait à garder les pieds sur Terre.
Hyppolite prit une profonde inspiration, ouvrit la porte, prit le visage d'Aida entre ses mains et l'embrassa avec tellement d'émotions qu'il avait l'impression qu'Aida aurait pu les ressentir. Du soulagement, un peu de peur, de l'excitation, de l'envie. Il était prêt. Aida n'avait plus besoin de l'attendre.
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Fiche personnage : fiche personnageEspace personnel : espace personnelGroupe : Les DisparusDate d'arrivée à l'Institut : 27/06/2013Age : 37
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Jeu 16 Juil - 15:50▲▼ Tu n'as plus besoin de m'attendre Son coeur était à la fois léger et lourd. A la fois heureuse, car ses sentiments étaient partagés, mais inquiète parce qu'elle ne savait pas ce qui allait se passer. Et si finalement Hyppolite ne venait pas ? S'il n'arrivait pas à régler ce différend avec Katerina ? Si cette révolution détruisait tout ? Elle avait besoin d'occuper ses mains pour arrêter le train infernal de son esprit. Mais, même dans sa cuisine, Aida ne savait pas quoi faire. Alors elle faisait des tâches futiles : ranger ses ustensiles par taille et par utilité, plier ses torchons, changer de place un ou deux aliments. Rapidement, il n'y eut plus rien à ranger. L'incertitude du lendemain la bouffait. Alors elle restait à l'affût de bruits dans le couloir. Mais rien ne venait. Ses mains faisaient nerveusement tourner un anneau doré autour de son poignet ou trituraient le bas de son chemisier.
Elle perçut enfin des foulées rapides dans l'escalier. Les battements de son coeur résonnaient avec la régularité des pas. Est-ce que c'était lui ? Ou est-ce qu'on venait la chercher pour une autre raison, parce qu'elle travaillait pour le fils Elpida ? Cette porte fermée entre le couloir et elle était la source de ses angoisses. Elle n'eut pas le temps de comprendre qui était là qu'une vive chaleur l'envahissait, accompagnée de paumes si douces sur ses joues et de lèvres passionnées sur les siennes. Elle était bien, collée contre ce torse. Aida se sentait à sa place. Répondant à son étreinte, elle accrocha ses mains derrière la nuque d'Hyppolite. Elle souhaitait que ce baiser ne se termine jamais. Le manque de respiration eut pourtant raison d'eux et leurs visages se détachèrent. Elle ne le lâcha pas de beaucoup, posant sa tête contre son épaule et entrelaçant leurs doigts.
-Qu'est-ce qu'on fait, maintenant ?
Le monde était étrange. Leur univers s'écroulait, les règles de l'Institut pliaient vers un futur inconnu et pourtant, ils arrivaient à s'en créer un nouveau. Ensemble. :copyright: 2981 12289 0
Elle perçut enfin des foulées rapides dans l'escalier. Les battements de son coeur résonnaient avec la régularité des pas. Est-ce que c'était lui ? Ou est-ce qu'on venait la chercher pour une autre raison, parce qu'elle travaillait pour le fils Elpida ? Cette porte fermée entre le couloir et elle était la source de ses angoisses. Elle n'eut pas le temps de comprendre qui était là qu'une vive chaleur l'envahissait, accompagnée de paumes si douces sur ses joues et de lèvres passionnées sur les siennes. Elle était bien, collée contre ce torse. Aida se sentait à sa place. Répondant à son étreinte, elle accrocha ses mains derrière la nuque d'Hyppolite. Elle souhaitait que ce baiser ne se termine jamais. Le manque de respiration eut pourtant raison d'eux et leurs visages se détachèrent. Elle ne le lâcha pas de beaucoup, posant sa tête contre son épaule et entrelaçant leurs doigts.
-Qu'est-ce qu'on fait, maintenant ?
Le monde était étrange. Leur univers s'écroulait, les règles de l'Institut pliaient vers un futur inconnu et pourtant, ils arrivaient à s'en créer un nouveau. Ensemble.
Hyppolite VodeniDisparu de l'Île
Ven 17 Juil - 12:35
C'était si beau comme baiser, si doux, si fantastique. C'était plus qu'un simple contact entre deux bouches, c'était tout le corps qui était impliqué. Il y avait la chaleur du visage d'Aida qui réchauffait les paumes de main d'Hyppolite, se diffusant directement jusqu'à son coeur et son ventre. Il y avait ses pieds si légers, comme s'ils étaient faits de coton et Hyppolite comprenait alors l'expression "être sur un nuage". Il y avait son bas-ventre, brûlant de désir pour Aida. Il y avait sa respiration qui se mêlait à la sienne. C'était un tout. Il aurait pu l'embrasser des heures et des heures sans jamais se lasser. Et quand elle sépara leurs lèvres pour poser sa tête contre son épaule, entrelaçant leur doigts, une bouffée d'émotions le déstabilisa. Il ressentait quelque chose de si fort envers elle qu'il ne pouvait même plus le décrire. Quand Aida était là, tout contre lui, il savait qu'il la voulait pour toujours. Il s'en voulait de ne pas l'avoir rencontré plus tôt, qu'elle soit intervenue si tard dans sa vie. Elle complétait ses vides avec simplement son odeur, elle donnait des solutions à ses problèmes par une étreinte, elle donnait du sens à son art par sa gestuelle.
-Qu'est-ce qu'on fait, maintenant ?
Il délaissa ses doigts pour enlacer Aida, la serrant contre lui. Ils ne devaient pas se détacher l'un de l'autre. Il ne le supporterait pas. Pas elle.
- Je t'aurai proposé une danse mais je n'ai pas l'impression que ce soit le moment.
Il embrassa le haut de son crâne, ses tempes, ses cheveux. Il avait envie de la couvrir de baisers.
- Je veux te protéger, je crois que tu es en danger ...
Il jeta un coup d’œil à la fenêtre, inquiet. Un éclair déchira le ciel. La situation était inquiétante et pourtant il se sentait en sécurité.
| Tu n'as plus besoin de m'attendre |
C'était si beau comme baiser, si doux, si fantastique. C'était plus qu'un simple contact entre deux bouches, c'était tout le corps qui était impliqué. Il y avait la chaleur du visage d'Aida qui réchauffait les paumes de main d'Hyppolite, se diffusant directement jusqu'à son coeur et son ventre. Il y avait ses pieds si légers, comme s'ils étaient faits de coton et Hyppolite comprenait alors l'expression "être sur un nuage". Il y avait son bas-ventre, brûlant de désir pour Aida. Il y avait sa respiration qui se mêlait à la sienne. C'était un tout. Il aurait pu l'embrasser des heures et des heures sans jamais se lasser. Et quand elle sépara leurs lèvres pour poser sa tête contre son épaule, entrelaçant leur doigts, une bouffée d'émotions le déstabilisa. Il ressentait quelque chose de si fort envers elle qu'il ne pouvait même plus le décrire. Quand Aida était là, tout contre lui, il savait qu'il la voulait pour toujours. Il s'en voulait de ne pas l'avoir rencontré plus tôt, qu'elle soit intervenue si tard dans sa vie. Elle complétait ses vides avec simplement son odeur, elle donnait des solutions à ses problèmes par une étreinte, elle donnait du sens à son art par sa gestuelle.
-Qu'est-ce qu'on fait, maintenant ?
Il délaissa ses doigts pour enlacer Aida, la serrant contre lui. Ils ne devaient pas se détacher l'un de l'autre. Il ne le supporterait pas. Pas elle.
- Je t'aurai proposé une danse mais je n'ai pas l'impression que ce soit le moment.
Il embrassa le haut de son crâne, ses tempes, ses cheveux. Il avait envie de la couvrir de baisers.
- Je veux te protéger, je crois que tu es en danger ...
Il jeta un coup d’œil à la fenêtre, inquiet. Un éclair déchira le ciel. La situation était inquiétante et pourtant il se sentait en sécurité.
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Mar 4 Aoû - 11:18▲▼ Tu n'as plus besoin de m'attendre C'était cliché mais le temps s'était comme arrêté autour de leurs deux corps enlacés. Une bulle de bonheur que rie ne pourrait briser. Pas même la révolution des patients ou la folie des médecins. Personne ne serait assez fort pour détruire leur idylle. Aida se lova contre le torse d'Hyppolite, tandis qu'une douce chaleur émanait des mains qu'il avait posées sur sa taille. Elle pourrait rester des heures contre lui, à parler de tout et de rien ou à profiter d'un silence calme. Malheureusement, ce n'était pas pour aujourd'hui. Un éclair illumina la pièce, comme un flash d'appareil photo prendrait un couple en train de poser.
-Je veux te protéger, je crois que tu es en danger...
-Me.. protéger ? Mais.... de quoi ?
Elle le regarda sans vraiment comprendre. Elle ne faisait pas partie du corps décisionnaire ni médial, elle n'y était pour rien dans les malheurs de ces patients ! Ils ne seraient pas, eux aussi, assez fous pour la tenir comme responsable, si ? A moins qu'il ne parle des médecins présents à la réunion et prêts à aller beaucoup trop loin pour calmer les ardeurs d'enfants et d'adolescents. Elle eu un sursaut de lucidité : il fallait aider les autres, ceux qui étaient contre la violence du clan Elpida et qui pouvaient être pris pour cible par les deux côtés !
-Où est Agnès ? Et la professeur qui était là avec nous ? Si je suis en danger, elles aussi !
La danseuse relativisa ses paroles. Que pouvait-elle faire pour réellement aider tous ces gens ? Elle n'était qu'une simple cuisinière. La seule chose qu'elle pouvait faire, c'était empoisonner la nourriture de Donatien. Et encore. Pour ce soir, l'heure du dîner était déjà passée et demain, ce serait trop tard. Sans compter que c'était le meilleur moyen pour devoir retourner en Iran. Elle frissonna. Hors de question. Le seul chez elle qui existera maintenant, ce sera celui qu'elle partagera avec Hyppolite.
-Enfin.... si on peut faire quelque chose. :copyright: 2981 12289 0
-Je veux te protéger, je crois que tu es en danger...
-Me.. protéger ? Mais.... de quoi ?
Elle le regarda sans vraiment comprendre. Elle ne faisait pas partie du corps décisionnaire ni médial, elle n'y était pour rien dans les malheurs de ces patients ! Ils ne seraient pas, eux aussi, assez fous pour la tenir comme responsable, si ? A moins qu'il ne parle des médecins présents à la réunion et prêts à aller beaucoup trop loin pour calmer les ardeurs d'enfants et d'adolescents. Elle eu un sursaut de lucidité : il fallait aider les autres, ceux qui étaient contre la violence du clan Elpida et qui pouvaient être pris pour cible par les deux côtés !
-Où est Agnès ? Et la professeur qui était là avec nous ? Si je suis en danger, elles aussi !
La danseuse relativisa ses paroles. Que pouvait-elle faire pour réellement aider tous ces gens ? Elle n'était qu'une simple cuisinière. La seule chose qu'elle pouvait faire, c'était empoisonner la nourriture de Donatien. Et encore. Pour ce soir, l'heure du dîner était déjà passée et demain, ce serait trop tard. Sans compter que c'était le meilleur moyen pour devoir retourner en Iran. Elle frissonna. Hors de question. Le seul chez elle qui existera maintenant, ce sera celui qu'elle partagera avec Hyppolite.
-Enfin.... si on peut faire quelque chose.
Hyppolite VodeniDisparu de l'Île
Ven 7 Aoû - 20:53
- Me.. protéger ? Mais.... de quoi ?
- Bah de ...
Il se sentit bien bête, Hyppolite. Il aurait toujours envie de protéger Aida. Il la prenait dans ses bras non seulement pour être proche d'elle, mais également parce qu'il voulait la mettre en sécurité. Il voulait la protéger de ses démons, de ses mauvaises pensées, des mauvaises journées, des coups durs. Il n'était pas un prince charmant avec une armure solide mais ses bras étaient assez puissants pour vaincre les démons d'Aida.
Heureusement qu'Aida était plus terre-à-terre qu'Hyppolite - il eut une bouffée d'émotions en se disant qu'ils se complétaient tous les deux - lorsque le terme "protéger" sembla la réveiller :
-Où est Agnès ? Et la professeur qui était là avec nous ? Si je suis en danger, elles aussi !
Hyppolite fronça les sourcils. Agnès ... Elle était en sécurité si elle était avec Ange. Quant à la professeur ... Quelle professeur ?
- Ne t'en fais pas, elle est avec Ange.
-Enfin.... si on peut faire quelque chose.
Il la serra encore plus fort dans ses bras. Est-ce qu'une cuisinière et un agent du réfectoire pouvaient être utiles dans cette atmosphère tendue ? Hyppolite se sentit égoïste. Il se fichait des autres, il voulait juste le bonheur d'Aida. Pourtant, quand un éclair déchira à nouveau le ciel, il eut un mauvais pressentiment. Agnès allait bien, n'est-ce pas ?
| Tu n'as plus besoin de m'attendre |
- Me.. protéger ? Mais.... de quoi ?
- Bah de ...
Il se sentit bien bête, Hyppolite. Il aurait toujours envie de protéger Aida. Il la prenait dans ses bras non seulement pour être proche d'elle, mais également parce qu'il voulait la mettre en sécurité. Il voulait la protéger de ses démons, de ses mauvaises pensées, des mauvaises journées, des coups durs. Il n'était pas un prince charmant avec une armure solide mais ses bras étaient assez puissants pour vaincre les démons d'Aida.
Heureusement qu'Aida était plus terre-à-terre qu'Hyppolite - il eut une bouffée d'émotions en se disant qu'ils se complétaient tous les deux - lorsque le terme "protéger" sembla la réveiller :
-Où est Agnès ? Et la professeur qui était là avec nous ? Si je suis en danger, elles aussi !
Hyppolite fronça les sourcils. Agnès ... Elle était en sécurité si elle était avec Ange. Quant à la professeur ... Quelle professeur ?
- Ne t'en fais pas, elle est avec Ange.
-Enfin.... si on peut faire quelque chose.
Il la serra encore plus fort dans ses bras. Est-ce qu'une cuisinière et un agent du réfectoire pouvaient être utiles dans cette atmosphère tendue ? Hyppolite se sentit égoïste. Il se fichait des autres, il voulait juste le bonheur d'Aida. Pourtant, quand un éclair déchira à nouveau le ciel, il eut un mauvais pressentiment. Agnès allait bien, n'est-ce pas ?
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Image : Fiche personnage : fiche personnageEspace personnel : espace personnelGroupe : Les DisparusDate d'arrivée à l'Institut : 27/06/2013Age : 37
Fiche personnage : fiche personnageEspace personnel : espace personnelGroupe : Les DisparusDate d'arrivée à l'Institut : 27/06/2013Age : 37Charlie JonatOuvrier
Ven 7 Aoû - 21:19
Le téléphone s’allume me signalant un nouveau message. La patiente qui m’avait contacté à suivi mon conseil et à envoyé une image du bunker. D’ailleurs avant même la réception un message de la direction avait résonné un peu partout.
Je regarde par la fenêtre, l’évacuation vers ce fameux bunker semble avoir débuté. D’abord une coupure de courant puis cet incendie et finalement l’appel. Cette soirée a pris un bien mauvais tournant déjà que j’avais sauté le repas à cause d’un lait un peu périmé…
Je refais mes lacets pour rejoindre l’évacuation quand le téléphone se fait de nouveau entendre. Patron s’affiche sur l’écran, encore la fille ?
Oui ?
Une voix rauque me répond entrecoupée de sanglots, je me concentre pour essayer de comprendre, cela ne semble pas être la même patiente.
"A-Allô...?" "J-Je suis dans la forêt, près du...bunker. Jessy, il...c'était un couteau et Edelweiss a...Elle...J-Je...Je vous en supplie, aidez-nous..."
Encore ce bunker ? Mon cerveau trébuche sur le couteau, les sanglots de la personne au bout du fil me fait comprendre que le temps presse. Puis plus rien.
Allô ? Es-tu encore là ?
J’entends la pluie et d’autres bruits indistincts, un souffle ? Un frisson me parcourut la colonne, une petite respiration à peine audible, je me rappelle le chat du voisin qui s’était fait rouler dessus, ce râle était similaire.
Sans prendre le temps de fermer derrière moi, je sors et grimpe les escaliers, pour voir si mon patron ne serait pas retourné à ses appartements.
Allô ? Ne raccroche pas, je vais te trouver de l’aide, es-tu encore consciente ?
Pas de réponse, je saute les dernières marches en courant du côté de sa chambre vide,
Hey! Y a un médecin quelque part!? Y a un problème des patientes sont blessées !
Hey ! Il y a un problème, une patiente en pleurs, elle a parlé de couteau, d’un Jessy et d’une fleur ou je ne sais pas quoi, elle est dans la forêt près du bunker.
Je reprends mon souffle, ma main sur le point de côté.
Je pense qu’elle est blessée, elle ne répond plus !
Mais bougez vos fesses, chopez une trousse ou un truc dans le genre et venez !
Révolution ?
Le téléphone s’allume me signalant un nouveau message. La patiente qui m’avait contacté à suivi mon conseil et à envoyé une image du bunker. D’ailleurs avant même la réception un message de la direction avait résonné un peu partout.
Je regarde par la fenêtre, l’évacuation vers ce fameux bunker semble avoir débuté. D’abord une coupure de courant puis cet incendie et finalement l’appel. Cette soirée a pris un bien mauvais tournant déjà que j’avais sauté le repas à cause d’un lait un peu périmé…
Je refais mes lacets pour rejoindre l’évacuation quand le téléphone se fait de nouveau entendre. Patron s’affiche sur l’écran, encore la fille ?
Oui ?
Une voix rauque me répond entrecoupée de sanglots, je me concentre pour essayer de comprendre, cela ne semble pas être la même patiente.
"A-Allô...?" "J-Je suis dans la forêt, près du...bunker. Jessy, il...c'était un couteau et Edelweiss a...Elle...J-Je...Je vous en supplie, aidez-nous..."
Encore ce bunker ? Mon cerveau trébuche sur le couteau, les sanglots de la personne au bout du fil me fait comprendre que le temps presse. Puis plus rien.
Allô ? Es-tu encore là ?
J’entends la pluie et d’autres bruits indistincts, un souffle ? Un frisson me parcourut la colonne, une petite respiration à peine audible, je me rappelle le chat du voisin qui s’était fait rouler dessus, ce râle était similaire.
Sans prendre le temps de fermer derrière moi, je sors et grimpe les escaliers, pour voir si mon patron ne serait pas retourné à ses appartements.
Allô ? Ne raccroche pas, je vais te trouver de l’aide, es-tu encore consciente ?
Pas de réponse, je saute les dernières marches en courant du côté de sa chambre vide,
Hey! Y a un médecin quelque part!? Y a un problème des patientes sont blessées !
Hey ! Il y a un problème, une patiente en pleurs, elle a parlé de couteau, d’un Jessy et d’une fleur ou je ne sais pas quoi, elle est dans la forêt près du bunker.
Je reprends mon souffle, ma main sur le point de côté.
Je pense qu’elle est blessée, elle ne répond plus !
Mais bougez vos fesses, chopez une trousse ou un truc dans le genre et venez !
Never-Utopia
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Hyppolite VodeniDisparu de l'Île
Mar 11 Aoû - 12:03
Il attendait une réponse d'Aida, ou plutôt s'était perdu dans sa contemplation. Il ne pourrait jamais vivre à ses côtés, sa beauté allait le tuer chaque jour. Il se fit la promesse, en pénétrant le regard de la femme, qu'il la protégerait jusqu'à ce que l'éternité se termine. Aida n'était pas juste une muse, elle était bien au-delà.
Puis il entendit du vacarme, quelqu'un semblait crier à l'aide dans le couloir. Il aurait bien laissé tomber mais la personne insistait tellement que ça gâchait son petit moment de magie. Il fronça les sourcils et ouvrit la porte, apercevant en face une tête verte relativement familière. Si sa mémoire était bonne c'était le nouvel agent d'entretien d'Elpida. Cet homme avait besoin que ceux qui fassent son ménage ait une belle couleur sur la tête.
- Une trousse de secours ? Que se passe-t-il ?
La situation était-elle plus critique que prévue ? Hyppolite était déjà dans les starting-blocks, prêts à partir là où il le fallait. Il se souvenait de sa rencontre avec "la tête blonde", comme il l'appelait si bien, qui avait été révélatrice. Avec Aida à ses côtés, il ne voulait plus être l'homme qui se faisait tout petit, à l'écart de tout. Il avait du potentiel, et il devait l'exploiter.
| Tu n'as plus besoin de m'attendre |
Il attendait une réponse d'Aida, ou plutôt s'était perdu dans sa contemplation. Il ne pourrait jamais vivre à ses côtés, sa beauté allait le tuer chaque jour. Il se fit la promesse, en pénétrant le regard de la femme, qu'il la protégerait jusqu'à ce que l'éternité se termine. Aida n'était pas juste une muse, elle était bien au-delà.
Puis il entendit du vacarme, quelqu'un semblait crier à l'aide dans le couloir. Il aurait bien laissé tomber mais la personne insistait tellement que ça gâchait son petit moment de magie. Il fronça les sourcils et ouvrit la porte, apercevant en face une tête verte relativement familière. Si sa mémoire était bonne c'était le nouvel agent d'entretien d'Elpida. Cet homme avait besoin que ceux qui fassent son ménage ait une belle couleur sur la tête.
- Une trousse de secours ? Que se passe-t-il ?
La situation était-elle plus critique que prévue ? Hyppolite était déjà dans les starting-blocks, prêts à partir là où il le fallait. Il se souvenait de sa rencontre avec "la tête blonde", comme il l'appelait si bien, qui avait été révélatrice. Avec Aida à ses côtés, il ne voulait plus être l'homme qui se faisait tout petit, à l'écart de tout. Il avait du potentiel, et il devait l'exploiter.
- Pour Lulu:
- Comme Aida et Hyppo sont dans la cuisine et non dans une chambre, j'en ai profité :p tu peux inventer qui tu veux qui étaient dans la chambre
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Image : Fiche personnage : fiche personnageEspace personnel : espace personnelGroupe : Les DisparusDate d'arrivée à l'Institut : 27/06/2013Age : 37
Fiche personnage : fiche personnageEspace personnel : espace personnelGroupe : Les DisparusDate d'arrivée à l'Institut : 27/06/2013Age : 37Charlie JonatOuvrier
Jeu 13 Aoû - 19:14
- Une trousse de secours ? Que se passe-t-il ?
Enfin! Une réponse. Et comme tous semblait enfin donner signe de vie le téléphone sonna affichant un message.
Le médecin avait rejoint les deux filles. 10 minutes la chambre, la porte, la trousse ok, ok!
Monsieur Elpida veut qu’on emmène le plus de matériel de soins possibles au bunker, des vies sont en jeu. Tu m’aideras à les porter suis-moi !
Je me glissai rapidement devant la porte et l’ouvris selon la méthode indiquée. Bingo, la chambre que j’avais nettoyée le matin était bien accessible.
Je récupérais tout ce qui semblait médical et potentiellement utile.
Repassant près de l’homme qui m’avait répondu lui plaquant du matériel dans les bras sans lui demander son avis.
C’est de l’autre côté de l'île, il faut se magner !
Je n'attendais pas de réponse et je me dirigeais déjà dans les escaliers. Chargée.
Révolution ?
- Une trousse de secours ? Que se passe-t-il ?
Enfin! Une réponse. Et comme tous semblait enfin donner signe de vie le téléphone sonna affichant un message.
Venez de l'autre côté de l'île, au bunker. Prenez le plus de matériel de soins possible. Vous en trouverez dans ma chambre. La porte a un défaut, si vous soulevez la poignée, puis tirez vers vous d'un coup sec, vous saurez l'ouvrir sans les clés.
Je vous attends. Vous avez dix minutes, des vies sont en jeu.
Dr. Elpida.
Je vous attends. Vous avez dix minutes, des vies sont en jeu.
Dr. Elpida.
Le médecin avait rejoint les deux filles. 10 minutes la chambre, la porte, la trousse ok, ok!
Monsieur Elpida veut qu’on emmène le plus de matériel de soins possibles au bunker, des vies sont en jeu. Tu m’aideras à les porter suis-moi !
Je me glissai rapidement devant la porte et l’ouvris selon la méthode indiquée. Bingo, la chambre que j’avais nettoyée le matin était bien accessible.
Je récupérais tout ce qui semblait médical et potentiellement utile.
Repassant près de l’homme qui m’avait répondu lui plaquant du matériel dans les bras sans lui demander son avis.
C’est de l’autre côté de l'île, il faut se magner !
Je n'attendais pas de réponse et je me dirigeais déjà dans les escaliers. Chargée.
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