- Costume:
- De Dracula, teint très pâle, yeux cernés, masque rouge, longue cape noire de velour, les cheveux plaqués à l'arrière.
Okééé, je sais pas tt-rop c'que j'dis, mais j'crois ça l'fait. Mais personne vient sur l'estrade, c'est chelou. Genre j'ai donén l'saint Graal aux pécheurs et c'est comme ça qu'ils m'remercient? Bande d'hypocrite... Hyppo... Hypocrite... Putain j'suis trop drôle.
Y'a la meuf bonne qui a tenté d'm'embrasser mais elle l'a pas fait jusqu'au bout. En plus elle m'a dit d'aller j'ter les déchets, mais j'l'ai fait cm'atin. Hé, faut pas m'prendre pour un con, j'suis propre à défaut d'être intelligent, t'vois.
Vu qu'elle est bonne, je vais faire c'qu'elle voulait faire. Je fais un mic-drop, j'recule le mec chelou qui dit qu'c'est l'autre qu'est l'auteure de ch'ai plus quoi, et j'plaque ma bouche sur celle de la blonde.
J'sais pas si j'sais encore m'y faire avec les femmes, mais j'suis sûr qu'elle est déjà sous mon charme vu comment elle m'a mâtée tout à l'heure. Ca fera une fille avec qui je couche en plus d'Opheliaaaaaaa. J'espère qu'elle sait s'y faire.
Fiche personnage : fiche personnageEspace personnel : espace personnelGroupe : Le VillageDate d'arrivée à l'Institut : 20/02/2015Age : 30- Le costume de Nev :
Nevrabriel regarda son cadet, perdant tout euphorie.
Bon ... tant pis ...
Mais comment ça "les adultes" ?! Lui aussi était un adulte non mais oh ! D'ailleurs, si il le voulait, il partirait d'ici, rentrerait en Ecosse pour dire à ses parents que ce sont des connards et à sa soeur qu'il s'en foutait, qu'il attendrait toute sa vie s'il le fallait, mais il attendrait qu'elle lui pardonne ! Puis il irait à Londres pour la retrouver, elle, et lui dire qu'il l'aime. Merde quoi !
L'écossais ouvrit la bouche, prêt à parler, mais une voix plus grave que les autres retentie. Il reconnu sans peine le timbre de son médecin et se retourna vers l'estrade pour savoir ce qu'il se passait.
Un "lot a gagner", oh un jeu ? C'est amusant ça les jeux !
Mais l'amusement du jeune homme se dissipa instantanément lorsqu'il entendit quel genre de jeu était-ce. Le sourire de Nevrabriel disparut lentement alors qu'il fixait l'estrade. Sa vision n'était pas très net mais il se fiait à ce qu'il entendait. Une voix masculine parlait de Loreleï.
Loreleï ... la petite sirène qui voulait devenir une légende ...
Nevrabriel ne savait pas comment réagir, ses yeux devinrent doucement absent derrière son masque et sa frange brune.
Elle serait morte pour un carnet ? ...
Il lui avait dis qu'il le ferait ... et il ne l'a pas fais. Il n'en a pas parlé. Il a simplement voulu oublier cette paire de lunette cassée dans son tiroir, ce sourire enfantin perdu dans la forêt et ce sang sur l'estrade de la cours.
Je n'ai pas été ton héraut et tu n'as pas réussis à avoir une belle fin ... Je suis désolé ...
Une autre personne monta sur l'estrade pour parler, mais l'écossais n'écoutait plus. Il avait arrêté d'écouter malgré l'agitation. Nevrabriel resta absent jusqu'à entendre que la porte s'ouvrir. Ses yeux vairons regardèrent derrière lui avant de tourner son fauteuil roulant, intima pour son cadet qui était avec lui :
_Je suis fatigué ... Je vais dans ma chambre. On se voit demain.
Comment Yuki pouvait-il croire qu'il pouvait aider les autres lorsqu'une enfant s'est faite tuée à quelques pas de lui ? Simplement parce qu'elle voulait partir ...
Fiche personnage : fiche personnageEspace personnel : espace personnelentourageGroupe : Institut GrahamDate d'arrivée à l'Institut : 10/02/2013Age : 26
- Costume:
Les cheveux plaqués en arrière, un masque de loup noir aux motifs dorés laissant sa bouche à découvert. Une chemise blanche accompagnée d'un nœud papillon parfaitement enfilé. Une ceinture à bretelles brunes décorées d'une fleur rouge. Un pantalon gris, des chaussures noirs, Hans était paré pour la soirée.
Evenement 6
Hans était bien heureux que ce type soit enfin parti de l'estrade. Il remerciait profondément l'idée des masques, car si il avait recroisé cette personne dans les couloirs, il était persuadé qu'une bousculade n'aurait pas été de trop.
Il ne sentait vraiment pas de bonne onde entourer ce jeune homme. Il avait beau avoir un carrure imposante et un charisme bien au dessus du radiologue, il ne le supportait pas rien que tu regard.
Le docteur soupira. Il essaya d'oublier tout ce cinéma qui venait d'avoir lieu en observant le reste de la salle. Tout le monde semblait de mauvaise humeur, maintenant.
Certains patients inconnus pleuraient, d'autre partaient, remplient de haine et de rage.
L'ambiance avait vraiment redescendu de plusieurs étages, même pire, elle s'était cassée la figure dans l'escalier.
"- Pff...Qu'elle ambiance. On pourrait même dire que la soirée se termine là."
Il se tourna alors vers la jeune femme qui lui tenait compagnie. C'est vrai, l'autre garçon était parti avec la dame de l'annonce. Hans était soudainement déçu. Il aurait voulu discuter un peu plus avec ce jeune homme, il semblait sympathique.
Une prochaine fois, peut être.
Alors que mon ami perdait son sourire et qu'il sembla vouloir me répondre quelque chose, une autre personne sur une estrade se mit à parler. Sa voix et ses habits n'étaient pas... cohérent. Pour moi, c'était trop bizarre et ça ne me donnait pas confiance. Puis, c'était quoi cette histoire de journal ? Pourquoi "offrir" une sortie pour ça ? Et pourquoi les gens venaient parler par la suite pour y répondre ? Pourquoi parlaient-ils à nouveau de ce qui s'était passé des mois plus tôt ? Voulaient-ils nous faire du mal ? En tous les cas, je sentis de l'oppression. Énormément d'oppression. Et ce dus être le cas de Nev-nii aussi puisqu'il fit part qu'il s'en allait, me laissant seul. Seul au milieu de tout le monde. Seul avec ma peine pour respirer tant l'angoisse me prenait. Plus personne ne faisait comme avant et c'était horrible. Que devais-je faire ? Pourquoi devait-on accuser les uns et les autres. C'était au point que j'avais envie de me dénoncer pour que tout s'arrête. Mais je ne connaissais rien de tout ça. ... Que devais-je faire ? Pourquoi devais-je être seul, encore ?
Doucement, comme pour tenter de ne pas me faire remarquer, je me déplaçai vers le mur. Comme on m'avait donné des vêtements pour être là, n'était-il pas normal que je reste là ? Je m'assis donc contre le mur, à même le sol, regardant mes pieds alors que mes genoux étaient ramenés sur mon torse, les bras ramenant la jupe de ma robe sous mes genoux. Je n'étais pas bien. J'avais envie de pleurer. Mais je me retenais. Je n'avais pas le droit alors que Nev-nii était rester très calme. Je n'avais pas le droit...
Du haut de sa trentaine, Roy aurait presque rougit d’un tel franc parlé. Il sourit, visiblement un peu gêné de ces compliments ingénus et répondit avec malice :
« C’est toujours bien d’avoir un retour sur ce qu’on renvoie quand on ne se voit pas dans une glace, je n’aurais pas perdu ma soirée. »
Roy réceptionna son verre. Le contact des doigts de la demoiselle sur les siens ne l’avait pas gêné outre mesure, car c’était un fait : les gens étaient bien plus tactiles avec lui qu’avec le commun des mortels. Il trouvait ça agréable, même si parfois c’était un peu compliqué lorsque quelqu’un se permettait de vous déplacer du passage comme si vous n’étiez qu’un meuble encombrant. Heureusement la plupart des badauds étaient bienveillants et agréables, comme cette jeune fille. Il allait lui proposer de trinquer lorsque la musique s’arrêta soudain. Le bruit de pas sur l’estrade laissa Roy deviner qu’il y allait avoir un discours. Et quel discours. Une histoire de récompenses, de sortie pour un patient ? L’institut n’aurait pas pu plus mal s’y prendre pour mettre la pression aux enfants. Il semblait évident que la communauté des patients était bien trop soudée pour qu’un tel stratagème porte ses fruits. Roy soupira par le nez devant une telle grossièreté d’exécution. A qui appartenait la voix de l’annonce ? Il ne saurait dire. Un jeune homme pris la parole, ensuite, et évoqua l’élève qui avait perdu la vie quelques temps avant son arrivée. Une histoire tragique et qui avait perturbé les patients au point que certains lui aient parlé d’un véritable assassinat.
Bientôt, Roy remercia Dieu d’être aveugle et de ne pas être le témoin direct de toute cette mascarade. Un collègue bien imbibé avait visiblement réussi à trouver les marches de l’estrade et se couvrait de ridicule en beuglant dans le micro des secrets plutôt inavouables. Contre le psychiatre, la jeune femme se rapprochait en enserrant son bras un peu plus fort. Visiblement, elle était bien secouée par tout ça. A la manière d’un chien, Roy sentait le malaise palpable qui s’était rependu dans la salle. L’atmosphère était presque étouffante. Au milieu des brouhahas, il libéra son bras de l’emprise de sa cavalière, changea son verre de main et lui entoura les épaules dans un geste qui se voulait réconfortant.
« Je… j’ai du mal à voir tu t’en doutes. Je ne sais pas qui s’est mis à crier mais ne t’inquiète pas, l’alcool fait raconter aux gens des tas de choses. Souvent des choses fausses. » …Bon ce n’était pas exactement vrai. Mais à la réaction de la jeune femme Roy avait désormais la certitude d'avoir affaire à une patiente et non une figure d’autorité. C’était de son devoir de ramasser un minimum la dignité de son collègue. « Ce n’est pas très grave. Demain je lui raconterai et on en rira, haha. » ou pas.
Le psychiatre mouilla ses lèvres de champagne et soupira dans son verre, lassé de la tournure de cette soirée. Malgré la musique qui avait repris, l’ambiance n’y était plus, et les rires avait été remplacés par des murmures scandalisés.
« Je peux te proposer une petite danse si tu n’as pas peur de te faire un peu marcher sur les pieds. » Il termina son verre d’une franche gorgée. « Ou alors te raccompagner. »
Roy avait bien compris les ordres de Donatien, qui avait voulu confiner les patients dans un espace restreint le temps de cette soirée. Mais s’il pouvait aider au moins l’un d’entre eux à prendre congés discrètement plus tôt, il n’allait pas s’en priver.
- Costume:
- Orgue porte une longue toge blanche avec un col doré. Sur ses épaules, il a un voile rouge translucide. Il porte un masque rouge surmonté d'une (fausse) pierre rouge et d'une fleur rouge à côté de son oeil droit. Il porte une couronne de fleur blanche sur ses cheveux blonds. Il ne porte pas sa couronne d'épine, ni son eau bénite, ni son chapelet.
Demain, c'est la Toussaint
Orgue te bénit en #59d0ff
Arthur, une fois ses épaules enlacées par l'adulte, se blottit bien contre lui. Une main se posait d'elle même sur le torse de son protecteur alors que les yeux bleus regardait la scène qui se finissait par la sortie des deux antagonistes... C'est vrai que cette position donnait l'impression que l'enfant était très vulnérable et féminin, à tel point qu'il oublierait presque lui-même qu'il était un garçon.
Alors, l'homme parlait. C'est vrai qu'il ne devait pas tout comprendre... Orgue avait l'impression d'être bête de ne pas avoir pensé à lui décrire la situation... mais maintenant c'était un peu trop tard. Le regard inquiet se déposait à nouveau sur l'homme et sa tête se hochait un peu. Il fit un petit sourire et baissait encore sa tête, regardant le verre de son compagnon. Bien que ce n'était qu'une phrase et quelques mots, l'ange rouge se sentait tout de suite rassuré par son camarade.
"- Je peux te proposer une petite danse si tu n’as pas peur de te faire un peu marcher sur les pieds." L'homme finissait prestement son verre. "Ou alors te raccompagner."
Orgue prit un moment pour y réfléchir. La musique était repartie, en plus grande pompe qu'avant, pour dire de remettre de l'ambiance, mais cette scène avait juste gâché toute la soirée. C'est vrai que le patient brûlait d'envie de danser, mais maintenant, il se sentirait juste mal de prétendre être à l'aise dans cette atmosphère où tout le monde était morne.
"- Non... Je n'ai pas peur pour mes pieds car je ne suis pas meilleure que vous en danse mais... L'idée d'être raccompagnée à mes "appartements" par un ami si aimable est une idée qui me plait."
Orgue fit un petit sourire lorsqu'il évoquait ses "appartements". Autant finir la soirée entre eux avec une bonne humeur, à détriment de l'avoir dans la salle. Tant pis pour la danse, cette fois. Il fera une valse pour la fête de Noël. Il s'assurerait d'avoir une danse avec cette personne inconnue, à Noël, il se le promettait à lui-même. Il s'assurerait de ne pas oublier ces petites lunettes rondes.
Je la sens un peu mal à l'aise. Déstabilisée par mon offre. Peut-être qu'elle n'a pas l'habitude de danser? Non, il me semble l'avoir vu sur la piste avec Mademoiselle Dessanges. Alors elle est sans doute timide. Mais elle accepte mon invitation. Je lui esquisse un sourire pour la mettre en confiance. Si elle est timide, autant se la jouer prévenante. Je passe ma main droite sous son omoplate, me mettant en position avant de commencer doucement sur la musique et, lorsque je la sens plus à l'aise, j'enchaîne avec plus de fluidité. Elle danse très bien! Pas autant qu'Amalia mais elle reste une partenaire très agréable. Depuis le début je ne tombe que sur des personnes adroites, mon âme de danseuse est comblée!
Je continue de sourire, heureuse de pouvoir profiter de la fête avant que la musique ne s'arrête. Une femme prend le micro pour parler d'un journal clandestin, faire des promesses et menaces. Et puis la suite s'enchaîna très vite. Un garçon prit la parole pour évoquer Loreleï avant qu'un homme bourré s'amuse avec le micro. Je perds mon sourire. Pourquoi avoir décidé de gâcher la fête maintenant? Franchement... Ça m'énerve. L'ambiance à du mal à repartir après ça d'autant plus que le jeune homme téméraire se fait emmener à l'écart.
- Voulez-vous... poursuivre la danse? demandai-je en me tournant vers ma partenaire.
J'exècre vraiment lorsque quelqu'un interrompt la danse de mon ou ma partenaire. Vraiment aucun respect. Enfin, je n'aime pas devoir reprendre en cours de route avec une coupure au milieu. D'autant plus que la demoiselle n'avait pas l'air très à l'aise de base. Je devrai peut-être proposer quelque chose?
- A moins que vous ne vouliez boire ou manger quelque chose? Au fait, je ne pense pas m'être présentée. Vous pouvez m'appeler Shei. Et vous? Comment dois-je vous appeler? J'ai conscience que nous sommes anonyme, un pseudonyme suffira.
Fiche personnage : One upon a timeEspace personnel : [url=]espace personnel[/url]Groupe : Les Électrons LibresDate d'arrivée à l'Institut : 01/07/2018Age : 24
Prank : ils organisent un bal d'Halloween, ça tourne mal
Aedensaisit enfin sa chance et dénonce un auteur factice : Loreleï Hexe - ce qui fera entraîner le garçon à l’extérieur pour en parler.
Ce nom réveille la noirceur de Cap, ce qui interpelle Lucy qui reste à ses côtés pour l’aider.
A côté de la plaque, Ange, beurré comme jamais, balance ses sombres secrets au micro … Mais son discours semble n’intéresser personne, contrairement à son attitude. Tout sera filmé par Hyppolite, excepté le baiser qu’Ange et Donatien auraient échangé ?!
Adélys, le dit auteur, ne cille pas et s’isole dans un coin, méprisante ; laissant une Cannibale bouche bée face au speech d’Ange, tandis que Zyra préfère se cacher sous une table.
Hans paraît attristé que la fête soit fichue, tout comme Orgue. Mais bon, le beau docteur Winchester le raccompagne à ses appartements -pensant toujours être avec une demoiselle.
L’annonce d’Aeden a soulevé tout de même un vent de panique, notamment chez sa médecin, Atsuka, qui hésite à lui venir en aide.
Nev, déprimé - dépressif peut-être - s’en va, la tête basse. Le nom de Loreleï ne le laisse pas indifférent également. Mais ce départ laisse Yuki dans une grande tristesse.
Mais toute cett agitation n’empêche pas ce Don Juan de Sheila de continuer de virevolter, désireuse d’être aux petits soins pour sa partenaire.
> l'event se termine le 25 Novembre à minuit !
Fiche personnage : [url=]fiche personnage[/url]Espace personnel : [url=]espace personnel[/url] | L'abus d'alcool est dangereux pour la santé |
Alors le photographe rangea son téléphone dans sa poche, saisit deux bouteilles de bières et se dirigea vers son collègue afin de lui venir en aide - l'alcool rapprochait donc vraiment ? -.
En allant vers lui il passa près d'une jeune femme à la chevelure bleue nuit, mais n'y prêta pas attention : il cherchait Katou du regard, espérant pouvoir encore la croiser.
Une fois à côté d'Ange , il mit une main sur son épaule.
- Mec, t'embrasses pas la bonne personne je crois.
En effet, la blonde portait une robe similaire - mais assez cheap - que celle de la femme de tout à l'heure. L'autre était partie depuis bien plus longtemps.
- Allez, j'te ramène. Tu t'es assez affiché comme ça.
Comment ça il se sentait coupable d'avoir un dossier sur lui ?
Fiche personnage : fiche personnageEspace personnel : espace personnelGroupe : Les DisparusDate d'arrivée à l'Institut : 27/06/2013Age : 37« Je comprends. De toute façon l’humeur n’est plus vraiment à la fête alors autant grappiller quelques heures de sommeil. » Roy posa son verre vide et se massa les paupières en passant la main sous ses lunettes. « …je te laisse me guider ? » demanda-t-il avec douceur en présentant de nouveau son bras.
Cette soirée avait au moins eu le mérite d’avoir engendré cette rencontre. Roy avait l’impression d’avoir quelque part côtoyé un ange pendant quelques minutes. Il espérait que, le voile de l’anonymat levé, cette patiente reviendrai lui parler un jour prochain quand elle s’en sentirait l’envie. Sur le chemin, il continua d’échanger des politesses et la remercia encore une fois pour sa bienveillance.
« Ne change pas de philosophie surtout, c’est rafraîchissant. Et n’hésite pas à me dire bonjour la prochaine fois que tu me croiseras, parce que moi… je risque de te snober sans le vouloir.» il lui offrit un sourire, lui souhaita une bonne nuit et lui promis de ne pas se perdre en rentrant.
Après avoir laissé la demoiselle devant la porte de l’aile W, (très vraisemblablement), Roy (qui avait fait le malin) mit encore trois bon quarts d’heure à retrouver le chemin de son lit. Il avait en effet oublié sa canne très chic à la soirée.
Au bout de longues minutes d’errance, quelqu’un pris pitié en le croisant en descente périlleuse dans un escalier et le raccompagna à son bâtiment. Une chose était sûre, le psychiatre eu ce soir-là grande matière à réflexion, avant de plonger dans le monde fascinant des rêves.
[Parti]
- Costume:
- Orgue porte une longue toge blanche avec un col doré. Sur ses épaules, il a un voile rouge translucide. Il porte un masque rouge surmonté d'une (fausse) pierre rouge et d'une fleur rouge à côté de son oeil droit. Il porte une couronne de fleur blanche sur ses cheveux blonds. Il ne porte pas sa couronne d'épine, ni son eau bénite, ni son chapelet.
Bonne nuit les petits
Orgue te bénit en #59d0ff
C'est vrai qu'un peu de sommeil, ça ne ferait jamais de mal. Après tout, W156 devait se lever tôt demain matin, il avait de nombreuses âmes à prier, demain. Après tout, le 1er Novembre était une date sacrée... La Toussaint.
Orgue regardait le bras de son cavalier et sourit, le prenant délicatement avant d'y mettre un peu plus de pression, pour être sûr ne pas le lâcher par inadvertance.
"- Je vais vous guider avec plaisir, monsieur."
L'ange marchait à travers la salle, évitant les fauteuils roulants et robes trop grosses afin de pousser la porte de la sortie. Il sortait et l'air frai du couloir lui fit un peu de bien. Il se sentait déjà plus libéré de cette fin de soirée étouffante.
Il marchait à petit pas et calmement, d'une part à cause de sa toge toujours trop grande et pour ne pas presser son compagnon. Il avait du temps avant qu'il ne soit minuit et que le couvre feu pour lui sonne. Après tout, une petite ballade en si bonne compagnie ne pouvait se refuser.
Arthur s'arrêtait devant la porte du dortoir de son aile. Il n'était pas certain que les docteurs pouvaient y entrer à une telle heure, alors se contenterai de faire quelques mètres seul.
« Ne change pas de philosophie surtout, c’est rafraîchissant. Et n’hésite pas à me dire bonjour la prochaine fois que tu me croiseras, parce que moi… je risque de te snober sans le vouloir.»
Le petit blond rougissait un peu sous son masque. Le premier compliment le touchait, puisqu'indirectement, le médecin complimentait sa religion par delà son propre être.
"- Ce sera fait, monsieur... Je viendrai vous saluer aussitôt que je reconnaîtrai ces petites lunettes rondes, soyez-en certain. ...Mais, dites... Vous êtes sûr de pouvoir rentrer seul?..."
L'ange avait oublié ce détail. S'il s'arrêtait là, le pauvre monsieur allait perdre son chemin! Mais le gaillard le rassurait et le réconfortait, alors il ne put pas insister d'avantage. Il lui faisait confiance. Il rentrait dans l'aile puis passait dans sa chambre. Sa croix en main, il se mit à genoux aux côtés de son lit et bénissait Dieu de lui avoir fait rencontré un tel personnage durant cette soirée.
[Parti]
- Costume:
Les cheveux plaqués en arrière, un masque de loup noir aux motifs dorés laissant sa bouche à découvert. Une chemise blanche accompagnée d'un nœud papillon parfaitement enfilé. Une ceinture à bretelles brunes décorées d'une fleur rouge. Un pantalon gris, des chaussures noirs, Hans était paré pour la soirée.
Evenement 6
Hans s'ennuyait. Sa voisine n'était pas très bavarde, et son regard se perdait dans la foule.
Il fixait un peu de le vide, prit par la fatigue. Ses cernes n'était pas là par hasard.
Il se reposait quelques questions sur le précédent discours avec l'intervention du petit Slenderman. Allait-il vite revenir?
Le docteur fixait la porte, pensif, avant que son coeur ne rate un battement.
La personne qu'il attendait tant. Elle était là.
Sa longue robe blanche qui trainait sur le sol, son tulle rouge qui volait à son passage.
Hans écarquilla les yeux. Il...Partait?
Pourtant, la soirée n'était pas terminée?!
Le médecin fit quelques pas en avant, prêt à crier le nom de son patient. Sauf qu'une boule se forma dans sa gorge.
Qui est cet homme avec lui? Pourquoi il lui tient le bras?! Ils vont où?!...C'est un médecin, non? Il semble plus âgé.
Hans serra les poings en fronçant les sourcils. Il commençait à imaginer tout les pires scénarios possible.
Il voulait les empêcher de partir, retenir Orgue pour enfin avoir la chance de passer une soirée tranquille avec la seule personne qu'il connaissait et appréciait bien dans cet institut.
Ou flanquer un pain à ce probable pervers qui ne pensait qu'à faire comme l'autre abrutie qui avait hurler toute son intimité dégueulasse.
Mais c'était trop tard, la porte se refermait, les espoirs de Hans aussi.
Il haïssait son corps pour ne pas avoir bougé. Il se haïssait tout court, en fait.
Il prit une profondent respiration avant de détendre ses muscles.
Un regard sombre se formait sur son visage.
Le grand charmant loup était redevenu Le grand méchant loup.
Qu'est ce qu't'a espéré aussi? Que le petit chaperon rouge allait te chercher? Non. Redescend sur terre, Hans. T'es vraiment con.
Il passa une main dans ses cheveux, tant pis si il les décoiffaient, il n'en avait plus rien à faire.
Il enfonça une main dans sa poche, silencieux.
T'es ici pour bosser. Pas pour t'amuser. Fallait pas t'attendre à mieux. Puis qu'est c'que je fous à cette fête, en plus? Présente obligatoire...Présente obligatoire mon cul ouais. C'est bien la première fête et dernière que je ferai.
Cette soirée était une catastrophe.
Il n'avait définitivement pas de chance.
Il n'avait plus qu'une seule envie: prendre son masque, l'éclater au sol et s'en aller. Pourtant, il ne bougeait toujours pas.
Je n'ai rien à cacher.
> Longue robe blanche type victorienne. Perruque blonde en chignon. Loup blanc. Châle qui couvre les épaules et le torse.
Le visage de son interlocuteur n'était pas familier à Donatien. Mais ce n'était pas surprenant, Donatien ne connaissait pas les patients. Ils n'étaient tous que des chanceux pour lui, chanceux d'être ici, pris en charge par des personnes d'un génie professionnel rares. Et qui s'intéressaient aux chanceux ?
D'accord, avec Donatien c'était plutôt, pourquoi s'intéresser aux autres ? Il avait Lys. Il avait Pavot. Il avait Edelweiss.
Sinon, il écouta avec attention le garçon. Il ne semblait pas mentir. Mais quelque chose le turlupinait ...
Qui était "Lore" ?
Il fronça les sourcils, tenta de se remémorer ce nom avant qu'un éclat de lumière lui illumina le cerveau. Mais oui, bien sûr, la gamine là ... Elle aurait été l'auteur ? Ce ne le surprenait pas. Mais s'il y avait d'autres auteurs, ils méritaient d'être punis. Surtout que cela ne disculpait pas Agnès. Elle pouvait aider cette bande de patients ...
- Comment tu sais tout ça ?
Etait-il un lecteur ? Un ancien auteur ? Pourquoi n'avait-il rien dit plus tôt ... ?
Fiche personnage : Sa fiche personnageEspace personnel : Son espace privéGroupe : La FamilleDate d'arrivée à l'Institut : 12/09/2008Age : 34
Ulysse ne voulait pas qu'Atsuka prenne toute la responsabilité de leur relation alors qu'ils sont tous les deux fautifs. Enfin, "fautifs". L'amour n'était en rien une faute, mais qu'importe.
Soudain, plusieurs voix venaient de s'élever les unes après les autres, sans vraiment perturber Ulysse. Il avait déjà entendu du Journal Clandestin mais n'y croyait pas vraiment. Il ne pensait pas vraiment que ce journal existe, que c'était une sorte de moyen de donner de l'espoir à ceux qui en avaient besoin. Et Ulysse avait l'impression d'être le seul à ne pas croire aux paroles du déguisé, ni même à celles du bourré.
Cependant, il crut en l'inquiétude d'Atsuka. Il lui prit la main tout en la serrant. Autant pour la rassurer que pour la garder près de lui.
- Je pense qu'y aller ne fera qu'aggraver la situation. Si tu vas l'aider, le docteur Elpida pensera que tu fais partie de cette révolte silencieuse, et s'intéressera à toi... Puis finalement à nous. La meilleure façon d'aider est de faire profil bas.
Fiche personnage : [url=]fiche personnage[/url]Espace personnel : [url=]espace personnel[/url]Groupe : Les DisparusDate d'arrivée à l'Institut : 01/12/2017Age : 26- Comment tu sais tout ça ?
Aeden avait la gorge sèche. Il n’aurait pas droit à l’erreur. Il devait s’assurer que, quoi qu’il dise, il ne mette en danger personne d’autres que lui.
-J’étais très proche de Lore. Au point que lorsqu’elle était patiente Z, elle a fini par me demander de rédiger le journal à sa place, elle est morte peu de temps après, et finalement je n’ai jamais rien écrit dans ce journal. Je suppose qu’à l’heure actuelle, il doit être à l’abandon.
Le jeune surdoué jouait avec le feu. Sa main qui tenait son masque en tissu était moite. Donatien était plus impressionnant qu’il ne l’aurait imaginé. Plus il parlait et moins il parvenait à trouver des réponses qui ne risque pas de le mettre, lui, sur la sellette. Si le Docteur Elpida interprétait n’importe laquelle de ces paroles de travers, il allait prendre le garçon pour le commanditaire du journal. Mais le haut-potentiel était doué. Il avait tout de même caché très longtemps ce qu’il était et avait si bien menti qu’il avait fini par croire ces propres mensonges. Il n’était pas très fier de cette facette de sa personnalité, mais elle lui rendait là un bien fier service.
Fiche personnage : fiche personnageEspace personnel : espace personnelGroupe : La FamilleDate d'arrivée à l'Institut : 06/06/2017Age : 23Katherina n’avait ni soif, ni faim. A vrai dire, depuis sa conversation avec Agnès, elle n’avait pas envie de grand-chose, si ce n’est de s’enfermer dans sa chambre. Son interlocuteur/trice était très sympathique et au petit soin aussi elle ne se voyait pas lui faire faux bond.
-Et bien, nous pouvons allez gouter aux petits fours.
Elle chercha donc un pseudonyme, pensa tout de suite à « Katou ». Mais elle ne savait pas trop si elle souhaitait vraiment que quelqu’une d’autre qu’Hyppolite l’appelle comme ça. Elle se décida donc pour un simple raccourci de son prénom :
-Vous pouvez m’appeler Kat’.
Fiche personnage : Le passé lointainEspace personnel : Le passé plus procheGroupe : Institut GrahamDate d'arrivée à l'Institut : 05/02/2018Age : 28
- Spoiler:
- Atsuka porte une longue robe noire bustier et fendue sur le côté droit, marquée par une ceinture blanche à la taille, des escarpins noirs, de longs gants noirs avec le dessin en blanc des os du bras et de la main, un masque de calavera sur la moitié supérieure et le dessin des dents et de la mâchoire sur la moitié inférieure, une longue perruque noire, un ras-de-cou noir et des anneaux argentés aux oreilles.
- Je pense qu'y aller ne fera qu'aggraver la situation. Si tu vas l'aider, le docteur Elpida pensera que tu fais partie de cette révolte silencieuse, et s'intéressera à toi... Puis finalement à nous. La meilleure façon d'aider est de faire profil bas.
Atsuka se mordilla légèrement la lèvre inférieure. Elle ne pouvait pas laisser son patient aux griffes de Donatien! Mais d'un autre côté, Ulysse avait raison : elle ne pouvait pas non plus risquer qu'il la surveille. Elle cacha leurs mains enlacées dans les plis de sa longue robe. La fête avait été gâchée par ces interventions, elle n'avait pas spécialement envie de rester. D'autant qu'il lui fallait profiter de l'agitation qui avait été créée et qui commençait à descendre. Elle sortit un petit bout de papier de derrière sa ceinture et le glissa dans la main qui tenait celle d'Ulysse. Elle la serra davantage, l'invitant à récupérer le mot puis lui fit un clin d'oeil et sépara leurs doigts. Elle frôla son bras puis s'éclipsa, passant les portes dans l'autre sens. Elle savait qu'elle le verrait plus tard : "Deuxième étage du Bâtiment, au fond à droite. Je t'attendrais."
Quand il parla, ses doutes sur l'efficacité de l'opération "qui est le rédacteur du journal clandestin" furent confirmés. Celui-ci était réduit à néant. En plus de ça, il n'y avait pas de paille suffisamment grande pour aller sous son masque, donc il ne pouvait rien boire... Mais Walter décida de faire contre mauvaise fortune bon cœur : il émietta quelques morceaux des apéritifs et les lança discrètement autour de lui et sur l'estrade quand personne ne regardait. Juste pour s'amuser un peu et mettre un peu d'ambiance.
Après tout, c'était déjà bien pourri, non ?
- Tu étais là, n’est-ce pas ? Tu étais là sur cette estrade, à côté de lui.
Il avait envie de hurler mais s’était retenu juste à temps. Le monde ne lui semblait plus aussi réel que tout à l’heure, ses limites étaient floues, mais il n’avait pas pour autant oublié qu’il était sous une table, le visage à découvert et que c’était une très mauvaise idée d’attirer l’attention sur eux. Mais cette violence verbale qu’il réfrénait contamina ses mouvements. Il saisit les poignets de la fille avec un geste brut, presque brutal, et lui demanda.
- Alors pourquoi tu n’as rien fait ? Pourquoi tu ne l’as pas protégée !
Alors même qu’il prononçait ces mots, il se rendit compte qu’il était injuste. Ce n’était pas parce qu’il n’avait pas été capable de sauver sa sœur qu’il avait le droit d’agresser une patiente, qui, comme lui, n’avait rien pu faire d’autre que d’assister à la scène. Il n’avait pas le droit de lui reprocher sa propre impuissance.
Alors après un moment, honteux, il la relâcha.
- Désolé. C’était injuste.
Et il rabattit son masque son visage, réajusta sa manche pour masquer les dégâts, et suivant le chemin que formaient les tables jusqu’à la sortie, il s’éloigna à quatre pattes.
- HRP:
- Pardon ma Lulu :'(. Si tu veux quand même rattraper Cap, envoie-moi un MP et on pourra continuer ça dans un autre RP !
Fiche personnage : [url=]fiche personnage[/url]Espace personnel : [url=]espace personnel[/url]Groupe : La FamilleDate d'arrivée à l'Institut : 21/05/2016Age : 22Hum, les petits fours, c'est une bonne idée. Y en a de supers bons que j'ai déjà goûté et comme je suis un estomac sur patte je ne dis jamais non à ce genre de proposition. Je délaisse donc la piste de danse, ma partenaire à mon bras, pour nous mener au buffet. J'aurai pu garder un semblant de calme après les récents événements mais... Non. Mon cerveau arrête de fonctionner. Bloque sur un mot. Son surnom. Kat. Kat... Exactement comme.. Je dois la dévisager comme si j'avais vu un fantôme. Rien que d'entendre ce mot me fait penser à ma petite amie. J'ai tellement envie de la voir tout d'un coup. Elle me manque. Pourquoi a-t-il fallut qu'elle choisisse ce pseudo? Ça va me perturber pour la fin de la soirée maintenant...
- Oh heu.. Excusez-moi, j'ai été surprise par votre surnom. Je donne le même à.. ma copine, lançai-je enfin en détournant la tête pour arrêter de la fixer.
Faut que j'arrête de penser à elle sinon je vais rougir et être triste en même temps. Un mélange bizarre donc. Pour détourner l'attention, je prends un petit four pour le manger.
Après quelques temps au buffet à discuter, je finis par observer l'assemblée. La musique et les activités ont repris mais je me sens mal dans cette ambiance. Les gens se sont assombris. Leurs couleurs me renvoient des goûts désagréables dans la bouche. Je me retourne vers la demoiselle, lui adressant un sourire.
- Voudriez-vous sortir un instant? L'ambiance me semble pesante...
Je voyais bien la couleur un peu fade de la jeune fille. J'imagine qu'elle aussi doit se sentir mal à l'aise ici. Et en tant que gentleman je ne peux pas la forcer à rester dans un endroit qui l'incommode. Donc, soit je passe un moment avec elle pour lui changer les idées mais loin de la foule, soit je la raccompagne à sa chambre. Dans les deux cas je pense que c'est mieux de la sortir d'ici.
Fiche personnage : One upon a timeEspace personnel : [url=]espace personnel[/url]Groupe : Les Électrons LibresDate d'arrivée à l'Institut : 01/07/2018Age : 24Event 6
- Une longue perruque lisse et noire à reflets violets, avec une frange.
Un loup blanc en dentelles. Une robe blanche, serrée au buste, bouffante au niveau des jupes ; type époque victorienne. Un fauteuil roulant
Si j'avais réussi à l’arrêter cela ne sembla pas lui plaire. Un regard douloureux posé sur moi une de mes mèches entre ses doigts, il prononça une phrase a la signification encore plus tranchante que sa voix.
Tu étais là, n’est-ce pas ? Tu étais là sur cette estrade, à côté de lui.
Figée comme un chevreuil avant l’impact, je n’osais confirmer son affirmation.
Alors pourquoi tu n’as rien fait ? Pourquoi tu ne l’as pas protégée !
Je voulais fermer les yeux, ne plus voir ce regard accusateur. « Casse-moi les poignets mais ne me regarde pas comme ça je t’en prie... » voilà ce que j’aurais voulu prononcer.
Désolé. C’était injuste.
Sans un mot de plus il m’avait lâché, reprenant son anonymat et quitta. Je l’observais s’éloigner sans un bruit, une fois hors de vue je me laissais glisser sur le dos. Étendue sous la table, ignorant les mouvements extérieurs. Une larme glissa sur ma joue se perdant dans mes cheveux, comme j’étais fatiguée…
(c) Never-Utopia
Fiche personnage : fiche personnageEspace personnel : espace personnelGroupe : La FamilleDate d'arrivée à l'Institut : 20/02/2018Age : 25
Je n'ai rien à cacher.
> Longue robe blanche type victorienne. Perruque blonde en chignon. Loup blanc. Châle qui couvre les épaules et le torse.
Donatien était à moitié convaincu par les propos du patient. D'un côté, il voyait de moins en moins Agnès comme coupable. Cependant, le Journal Clandestin, mort ? Plusieurs auteurs ? Lys n'avait pas parlé de tout cela ...
Toute cette histoire l'ennuyait. Pourquoi c'était à lui de s'en occuper ? Il allait sincèrement engager un espion un jour pour s'en occuper.
Il soupira, balaya l'air de la main avec nonchalance. Il était l'heure de partir de toute façon. Il remit son loup.
- Ton numéro.
Il attendit qu'il le lui donne avant de lui affirmer :
- Tu ré-entendras parler de moi.
Il s'en alla, digne. Il allait devoir arrêter de faire surveiller Agnès. Pourtant, s'il en savait plus, il avait un goût amer sur la langue. Celui de l'échec. Et il changerait ça.
Fiche personnage : Sa fiche personnageEspace personnel : Son espace privéGroupe : La FamilleDate d'arrivée à l'Institut : 12/09/2008Age : 34- Costume:
Les cheveux plaqués en arrière, un masque de loup noir aux motifs dorés laissant sa bouche à découvert. Une chemise blanche accompagnée d'un nœud papillon parfaitement enfilé. Une ceinture à bretelles brunes décorées d'une fleur rouge. Un pantalon gris, des chaussures noirs, Hans était paré pour la soirée.
Evenement 6
Finalement, il se décida enfin.
Il marcha jusqu'au bar ou sans même réfléchir, il ingurgita cul sec un verre de champagne.
Il fallait au moins qu'il y goûte avant de partir.
Il remit ses mains dans ses poches, parti d'un pas assuré vers la sortie. De toute façon, la soirée était presque finit...
Il avait passé le reste de son temps dans un coin, à penser à toute sorte de mauvaises choses. Les personnes autour de lui n'existaient plus. Ce n'était plus que de simple poussière à ses yeux...Il les détestaient tous.
Tous des égoïstes. Tous des hypocrites. Près à planter un couteau dans le dos.
Les années avaient beaux changer...Les personnes aussi, Hans avait toujours l'impression de croiser les mêmes.
Il arrivait vers la sorti. Même pas en dors qu'il arrachait violemment son masque de son visage.
Il marchait rapidement jusqu'à son bureau, y entra avant de cliquer la porte et de balancer le masque loup au sol.
Il serrait les poings, respirait vite, fixait le pauvre déguisement au sol.
Il leva le pied, et sans réfléchir, il écrasa le masque qui se brisa en deux.
Quelques minutes plus tard, sa colère était passée.
Il accrocha le masque au mur pour se rappeler de le réparer un jour au l'autre, dernièrement...Il n'avait pas envie de réparer cette soirée.
[Parti]
- Oh heu.. Excusez-moi, j'ai été surprise par votre surnom. Je donne le même à.. ma copine
Shei mange ces petits fours plus rapidement. Katerina est tout aussi perturbée. Est-elle une fille ? A-t-elle une copine ? Trouvait-elle ça normal ? La jeune russe pinça ces lèvres, perdue.
- Voudriez-vous sortir un instant? L'ambiance me semble pesante...
Katerina ne se le fit pas dire deux fois. Elle suivit Shei traversant la foule et fut soulagée de se retrouver dans les couloirs beaucoup moins bondé de l’institut. Le retour au calme allait lui faire un bien fou.
Shei insista pour la ramené, et Katerina ne se le fit pas dire deux fois. Une fois devant sa chambre, la jeune femme demanda, hésitante :
-Je…tu… Est-ce que… ça te dirait qu’on laisse tomber l’anonymat ? J’aurais voulu des conseils.
Elle n’y connaissait quasi rien en amour. Cette Shei qu’elle supposait de plus en plus être une fille, elle aurait même dit que c’était un espoir, devait comprendre. Elle voulait savoir si c’était normal. Normal qu’elle soit en train de découvrir une facette d’elle dont elle n’avait même pas connaissance. Normal qu’elle ressente des choses qu’elle n’aurait pas dû ressentir.
- HRP:
- Coucou, petite invitation de Katou à te faire entrer dans sa chambre, du coup petit rp en plus si ça te dit ? (désolé, j'ai fait interagir Sheila, mais comme y avait plus trop le time, je me suis permise
Fiche personnage : Le passé lointainEspace personnel : Le passé plus procheGroupe : Institut GrahamDate d'arrivée à l'Institut : 05/02/2018Age : 28C'est fini !
Vos costumes étaient sublimes
Le Journal Clandestin a été mis à jour : ICI
A la prochaine \o
Fiche personnage : [url=]fiche personnage[/url]Espace personnel : [url=]espace personnel[/url]
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