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HasardPNJ
Sam 4 Juil - 17:58
The Beginning
20h00
Quelques patients - une majorité d’adolescents avec quelques enfants - sont prostrés à l’entrée du bâtiment. On se questionne, on cherche des leaders pour des réponses. La tension est palpable : certains auraient vu Naito Prowler, le lanceur d’alerte, annoncer la Révolution. Mais elle est censée débuter dans deux jours...
Y15 arrive après quelque minutes, discret comme toujours et, quand tout le monde le remarque enfin, il annonce gravement sous sa capuche :
La grande bataille peut commencer.
EVENT
The Beginning
20h00
Quelques patients - une majorité d’adolescents avec quelques enfants - sont prostrés à l’entrée du bâtiment. On se questionne, on cherche des leaders pour des réponses. La tension est palpable : certains auraient vu Naito Prowler, le lanceur d’alerte, annoncer la Révolution. Mais elle est censée débuter dans deux jours...
Y15 arrive après quelque minutes, discret comme toujours et, quand tout le monde le remarque enfin, il annonce gravement sous sa capuche :
Jessy Frey et W82, se dirigent vers leur poste. Prenez le votre. Ce n’est pas une blague : quelqu’un nous a bel et bien trahi en révélant l’emplacement du Journal.
La grande bataille peut commencer.
Image : ![[EVENT]The Beginning Scmv](https://zupimages.net/up/20/40/scmv.png)
Fiche personnage : [url=]fiche personnage[/url]Espace personnel : [url=]espace personnel[/url]Groupe : PNJ
Fiche personnage : [url=]fiche personnage[/url]Espace personnel : [url=]espace personnel[/url]Groupe : PNJUlysseDisparu de l'Île
Sam 4 Juil - 19:51
Sortie après les cours
Ulysse & Atsuka
La chaleur qui régnait sur l'île était insupportable pour le blondinet. Il n'aimait pas les hautes températures, et le mois de juillet était connu sur l'Institut pour battre des records de canicule. Dans son lit, à moitié habillé pour contrer cette chaleur insoutenable, il feuilletait son roman que sa mère lui avait envoyé quelques jours plus tôt. Il l'avait déjà fini, mais il ne lui restait plus que ça à faire et avait besoin de se vider l'esprit. Deux jours avant le soulèvement. Deux jours avant sa fuite. Et plus les secondes avançaient, plus il n'avait que ça en tête. Toute une vie avec Atsuka, c'était à la fois terrifiant et excitant. Il n'avait jamais connu un autre foyer que celui de sa famille, et savoir qu'il en construira un de lui-même avec elle, ça lui faisait de drôles de frisson dans le ventre.
Et alors qu'il est plongé dans son livre, des bruits de pas se multiplient dans le couloir et des voix s'élèvent. Ulysse lève les yeux de ces pages et fronce les sourcils. Qu'est-ce qui vaut une telle agitation ?
Il posa son roman sur son bureau après s'être levé, enfila un tee-shirt pour éviter d'en dire trop sur son corps que seule Atsuka est autorisée à voir, et ouvrit timidement la porte de sa chambre. Quelques patients discutèrent en dehors de leur chambre, quand l'un d'eux remarqua le blondinet et lui dit avec effroi :
- Ils ont trouvé le Journal. Un traître leur a dit où il était.
Ulysse écarquilla les yeux, et ferma brusquement la porte de sa chambre. Oh non.
Il se tourna vivement vers son lit et s'accroupit à terre à la recherche de sa valise déjà prête pour s'enfuir. L'avantage dans cette histoire, c'est qu'il n'y aura pas un jour de plus où il angoissera à l'idée de subir ce soulèvement. Non, il le vivra maintenant.
Il enfila ses chaussures et attrapa un second sac où il enfourna tous ses effets personnels qu'il lui était encore utile. Puis, il ferma la porte de sa chambre en y sortant, les pieds chaussés maladroitement.
Il se mit à courir, les bras chargés, le coeur battant à tout rompre, les joues rougies par l'inquiétude. Il savait qu'en tant qu'ami, il devait être présent pour cette révolte. Pour Nevrabriel. Pour Ophelia aussi peut-être. Mais il mentirait si le plus important n'était pas Atsuka. Alors oui, il s'enfuyait. Oui, il se dérogeait de ses fonctions. Mais il n'était pas fait pour se battre. Il était une tête. Il n'était pas un corps, ni même des muscles. La preuve, il peinait à soulever ses bagages.
Une fois devant les portes, là où il devait rejoindre Nevrabriel, il s'arrêta. Il voulait au moins lui dire au revoir. Et même lui proposer de venir avec eux. Parce que Nevrabriel ne devrait plus jamais subir les folies de son médecin.
Alors il cria :
- Nevrabriel ?
Et alors qu'il est plongé dans son livre, des bruits de pas se multiplient dans le couloir et des voix s'élèvent. Ulysse lève les yeux de ces pages et fronce les sourcils. Qu'est-ce qui vaut une telle agitation ?
Il posa son roman sur son bureau après s'être levé, enfila un tee-shirt pour éviter d'en dire trop sur son corps que seule Atsuka est autorisée à voir, et ouvrit timidement la porte de sa chambre. Quelques patients discutèrent en dehors de leur chambre, quand l'un d'eux remarqua le blondinet et lui dit avec effroi :
- Ils ont trouvé le Journal. Un traître leur a dit où il était.
Ulysse écarquilla les yeux, et ferma brusquement la porte de sa chambre. Oh non.
Il se tourna vivement vers son lit et s'accroupit à terre à la recherche de sa valise déjà prête pour s'enfuir. L'avantage dans cette histoire, c'est qu'il n'y aura pas un jour de plus où il angoissera à l'idée de subir ce soulèvement. Non, il le vivra maintenant.
Il enfila ses chaussures et attrapa un second sac où il enfourna tous ses effets personnels qu'il lui était encore utile. Puis, il ferma la porte de sa chambre en y sortant, les pieds chaussés maladroitement.
Il se mit à courir, les bras chargés, le coeur battant à tout rompre, les joues rougies par l'inquiétude. Il savait qu'en tant qu'ami, il devait être présent pour cette révolte. Pour Nevrabriel. Pour Ophelia aussi peut-être. Mais il mentirait si le plus important n'était pas Atsuka. Alors oui, il s'enfuyait. Oui, il se dérogeait de ses fonctions. Mais il n'était pas fait pour se battre. Il était une tête. Il n'était pas un corps, ni même des muscles. La preuve, il peinait à soulever ses bagages.
Une fois devant les portes, là où il devait rejoindre Nevrabriel, il s'arrêta. Il voulait au moins lui dire au revoir. Et même lui proposer de venir avec eux. Parce que Nevrabriel ne devrait plus jamais subir les folies de son médecin.
Alors il cria :
- Nevrabriel ?
Image : ![[EVENT]The Beginning 5vbc](https://zupimages.net/up/19/35/5vbc.png)
Fiche personnage : [url=]fiche personnage[/url]Espace personnel : [url=]espace personnel[/url]Groupe : Les DisparusDate d'arrivée à l'Institut : 01/12/2017Age : 26
Fiche personnage : [url=]fiche personnage[/url]Espace personnel : [url=]espace personnel[/url]Groupe : Les DisparusDate d'arrivée à l'Institut : 01/12/2017Age : 26La CannibaleCo-dirigeante
Dim 5 Juil - 11:54
La douche froide est salvatrice. Les minutes s’égrènent, s'accumulent, et l'eau poursuit sa chute sur le corps nu d'Ophelia. L'air est moite mais la respiration de la blonde n'est pas différente des autres jours. Ce cœur fabriqué qui fait fonctionner son corps l'interroge chaque jour, en plus de la Révolution qui approche. L'angoisse et le stress engendré par ces pensées perdurent, cœur bionique ou non. Plus d'une semaine qu'elle peine à trouver le sommeil, que ses boyaux se tordent, que l’appétit a pris ses vacances. Elle a beau creuser elle ne sait pas comment s'en sortir avec ce casse-tête : comment éviter que le Génie et Ange se rencontrent ? Elle a tout essayé pour être en binôme avec Aeden seulement, lui qui a connaissance de son secret, mais impossible. A force de chercher des excuses, elle en devenait louche et confuse dans ses propos.
Un frisson lui hérisse le poil. Si Ange et le Génie se rencontrent ... Elle ne pourra pas choisir de camp. Elle doit parler à Ange seule à seul, lui expliquer la situation. Il les aidera sûrement et elle le laisserait partir comme il en a exprimé le souhait.
Elle finit par enfin couper l'eau et s'enroule dans une serviette. Elle s'approche du lavabo pour coiffer sa tignasse quand l'étrange silence de la salle de bain l'intrigue. A cette heure-ci, la salle de bain est bien plus peuplée.
Son instinct la pousse à ouvrir la porte. C'est alors qu'elle a l'impression d'avoir ouvert une brèche dans un monde de tension. Elle se prend en plein visage un jet d'adrénaline. Elle entend quelque mots dans les badauds, notamment celui de Révolution.
Enroulée dans sa serviette, elle attrape le poignet d'une adolescente qui passait par là.
« Excuse-moi mais ... il se passe quoi ? »
Encore Elpida qui veut lapider publiquement une patiente ?
« J'en sais trop rien. Apparemment on nous aurait trahi et il faut se mettre à son poste.»
Le sang d'Ophelia ne fait qu'un tour. Elle la remercie en coup de vent, remballe ses affaires et se précipite dans sa chambre. Elle sent que son corps est encore fatigué mais l'adrénaline lui permet de tenir. Elle s'habille rapidement de noir, dans un top et un pantalon confortable. Elle s'attache les cheveux en queue de cheval, hésitant presque à les couper pour avoir l'air plus discrète mais sa féminité lui supplie de ne rien faire. Elle laisse tomber et se saisit du sac en bandoulière qu'elle avait préparée. Au cas où, elle arrache son journal intime de sa cachette et, ouvrant le sac pour l'y engouffrer, se refroidit en voyant l'arme. Elle ne compte l'utiliser qu'en cas d'ultime défense. Elle n'a dit à personne qu'elle s'en était emparée.
Un éclair la réveille de sa torpeur. Elle glisse la lanière sur ses épaules, s'autorise un soupir de craquage puis sort de sa chambre. Elle traverse les couloirs pour rejoindre un point de rendez-vous, l'allure confiante. Menton levé, elle surpasse les patients pour montrer qu'on pouvait se reposer sur elle tout en s'arrêtant de temps à autre pour demander à des patients s'ils se sentent bien. Elle a eu le temps, depuis l'organisation du plan, d'accepter le rôle qu'on lui avait donné, et qu'elle avait façonné. Et maintenant qu'elle l'a accepté, elle doit l'assumer.
Ainsi, arrivant dans la cour elle cherche à tout prix Aeden du regard afin de commencer la mission avec lui mais ne l'aperçoit pas. Il y a Ulysse aussi, un peu un retrait. Il a l'air de tenir un sac lui aussi. Que peut-il bien contenir ? Une batte ?
Elle l'approcherait bien mais il est trop loin et surtout, sa priorité est de trouver Aeden au plus vite. Où peut bien être ce nigaud ? Dans sa chambre ? Et où était le lanceur d'alerte ? Et Nevrabriel qui est censé tenir son poste ici ?
Si ça continuait ainsi, elle devrait partir seule en expédition ...
And the only solution was to stand and fight
Event
La douche froide est salvatrice. Les minutes s’égrènent, s'accumulent, et l'eau poursuit sa chute sur le corps nu d'Ophelia. L'air est moite mais la respiration de la blonde n'est pas différente des autres jours. Ce cœur fabriqué qui fait fonctionner son corps l'interroge chaque jour, en plus de la Révolution qui approche. L'angoisse et le stress engendré par ces pensées perdurent, cœur bionique ou non. Plus d'une semaine qu'elle peine à trouver le sommeil, que ses boyaux se tordent, que l’appétit a pris ses vacances. Elle a beau creuser elle ne sait pas comment s'en sortir avec ce casse-tête : comment éviter que le Génie et Ange se rencontrent ? Elle a tout essayé pour être en binôme avec Aeden seulement, lui qui a connaissance de son secret, mais impossible. A force de chercher des excuses, elle en devenait louche et confuse dans ses propos.
Un frisson lui hérisse le poil. Si Ange et le Génie se rencontrent ... Elle ne pourra pas choisir de camp. Elle doit parler à Ange seule à seul, lui expliquer la situation. Il les aidera sûrement et elle le laisserait partir comme il en a exprimé le souhait.
Elle finit par enfin couper l'eau et s'enroule dans une serviette. Elle s'approche du lavabo pour coiffer sa tignasse quand l'étrange silence de la salle de bain l'intrigue. A cette heure-ci, la salle de bain est bien plus peuplée.
Son instinct la pousse à ouvrir la porte. C'est alors qu'elle a l'impression d'avoir ouvert une brèche dans un monde de tension. Elle se prend en plein visage un jet d'adrénaline. Elle entend quelque mots dans les badauds, notamment celui de Révolution.
Enroulée dans sa serviette, elle attrape le poignet d'une adolescente qui passait par là.
« Excuse-moi mais ... il se passe quoi ? »
Encore Elpida qui veut lapider publiquement une patiente ?
« J'en sais trop rien. Apparemment on nous aurait trahi et il faut se mettre à son poste.»
Le sang d'Ophelia ne fait qu'un tour. Elle la remercie en coup de vent, remballe ses affaires et se précipite dans sa chambre. Elle sent que son corps est encore fatigué mais l'adrénaline lui permet de tenir. Elle s'habille rapidement de noir, dans un top et un pantalon confortable. Elle s'attache les cheveux en queue de cheval, hésitant presque à les couper pour avoir l'air plus discrète mais sa féminité lui supplie de ne rien faire. Elle laisse tomber et se saisit du sac en bandoulière qu'elle avait préparée. Au cas où, elle arrache son journal intime de sa cachette et, ouvrant le sac pour l'y engouffrer, se refroidit en voyant l'arme. Elle ne compte l'utiliser qu'en cas d'ultime défense. Elle n'a dit à personne qu'elle s'en était emparée.
Un éclair la réveille de sa torpeur. Elle glisse la lanière sur ses épaules, s'autorise un soupir de craquage puis sort de sa chambre. Elle traverse les couloirs pour rejoindre un point de rendez-vous, l'allure confiante. Menton levé, elle surpasse les patients pour montrer qu'on pouvait se reposer sur elle tout en s'arrêtant de temps à autre pour demander à des patients s'ils se sentent bien. Elle a eu le temps, depuis l'organisation du plan, d'accepter le rôle qu'on lui avait donné, et qu'elle avait façonné. Et maintenant qu'elle l'a accepté, elle doit l'assumer.
Ainsi, arrivant dans la cour elle cherche à tout prix Aeden du regard afin de commencer la mission avec lui mais ne l'aperçoit pas. Il y a Ulysse aussi, un peu un retrait. Il a l'air de tenir un sac lui aussi. Que peut-il bien contenir ? Une batte ?
Elle l'approcherait bien mais il est trop loin et surtout, sa priorité est de trouver Aeden au plus vite. Où peut bien être ce nigaud ? Dans sa chambre ? Et où était le lanceur d'alerte ? Et Nevrabriel qui est censé tenir son poste ici ?
Si ça continuait ainsi, elle devrait partir seule en expédition ...
- INVENTAIRE:
-Le mot d'Adèlys
- Une carte maritime des alentours
- un plan des caméras de surveillance
- un revolver (6 balles)
made by black arrow
Image : ![[EVENT]The Beginning 3dk1](https://zupimages.net/up/20/18/3dk1.jpg)
Fiche personnage : Ophelia Lilith RosedburyEspace personnel : Un journal intime et des secretsGroupe : Le VillageDate d'arrivée à l'Institut : 12/04/2013Age : 24
Fiche personnage : Ophelia Lilith RosedburyEspace personnel : Un journal intime et des secretsGroupe : Le VillageDate d'arrivée à l'Institut : 12/04/2013Age : 24PROWLER NaitoMembre du Village
Dim 5 Juil - 21:54
Event – The beginning
Quelque chose clochait. C’est ce qu’il s’était dit il y a à peine quelques instants. L’atmosphère semblait… différente de d'habitude, plus lourde. Et ce fut malheureusement le cas. La rumeur enfla et Naito dût se rendre à l’évidence : la révolution devrait commencer plus tôt que prévu.
Se saisissant de la lampe qu’il avait acheté pour l’occasion et la rangeant dans le sac qu'il portait habituellement, il rejoignit rapidement l’extérieur du bâtiment. Ce n’était pas un jeu ou un exercice. Le journal avait été trouvé. S’ils ne se dépêchaient pas, une grande partie de leur plan tomberait à l’eau.
Le brun ne savait pas encore ce qu’il ferait après avoir lancé l’alerte. Il n’était pas un leadeur. Il improviserait sûrement. Pour le moment, le but était de prévenir pour que chacun rejoigne son poste.
Alors sur le chemin menant à l’extérieur, Nai prévint quelques personnes pour qu’elles fassent passer le mot à leur tour.
« Le journal a été découvert. La Révolution doit commencer. Vous devriez rejoindre votre poste ou l'extérieur du bâtiment. »disait-il parfois en croisant certains patients membres de la révolution
Parfois il s’agissait de variante. Mais il tenait son rôle. Il savait que l’information circulerait rapidement bien que des détails se perdraient en chemin. Il croisa plusieurs visages plus ou moins connu en chemin. Il ne chercha cependant pas à s'arrêter trop longtemps...Cette nouvelle était définitivement un coup de pieds dans leur fourmilière. Il se demandait comment le journal avait été découvert, ou plutôt qui avait donné l'emplacement de sa cachette...
Une fois dans la cour, il dût prévenir les autres à l’aide du morse cette fois-ci, répétant à nouveau les informations et les phrases de manière automatique. Son regard parcourut également l’endroit à la recherche de ceux qu’il connaissait. Tout risquait d’être plus compliqué que prévu…
C’est en voyant toute cette agitation qu’il décida qu’une fois que tout aura commencé, il circulerait un peu partout pour prendre et distribuer les nouvelles… Il fallait que tous restent liés et solidaire pour réussir. Avec un peu de chance, malgré cette précipitation, tout irait bien…
Se saisissant de la lampe qu’il avait acheté pour l’occasion et la rangeant dans le sac qu'il portait habituellement, il rejoignit rapidement l’extérieur du bâtiment. Ce n’était pas un jeu ou un exercice. Le journal avait été trouvé. S’ils ne se dépêchaient pas, une grande partie de leur plan tomberait à l’eau.
Le brun ne savait pas encore ce qu’il ferait après avoir lancé l’alerte. Il n’était pas un leadeur. Il improviserait sûrement. Pour le moment, le but était de prévenir pour que chacun rejoigne son poste.
Alors sur le chemin menant à l’extérieur, Nai prévint quelques personnes pour qu’elles fassent passer le mot à leur tour.
« Le journal a été découvert. La Révolution doit commencer. Vous devriez rejoindre votre poste ou l'extérieur du bâtiment. »disait-il parfois en croisant certains patients membres de la révolution
Parfois il s’agissait de variante. Mais il tenait son rôle. Il savait que l’information circulerait rapidement bien que des détails se perdraient en chemin. Il croisa plusieurs visages plus ou moins connu en chemin. Il ne chercha cependant pas à s'arrêter trop longtemps...Cette nouvelle était définitivement un coup de pieds dans leur fourmilière. Il se demandait comment le journal avait été découvert, ou plutôt qui avait donné l'emplacement de sa cachette...
Une fois dans la cour, il dût prévenir les autres à l’aide du morse cette fois-ci, répétant à nouveau les informations et les phrases de manière automatique. Son regard parcourut également l’endroit à la recherche de ceux qu’il connaissait. Tout risquait d’être plus compliqué que prévu…
C’est en voyant toute cette agitation qu’il décida qu’une fois que tout aura commencé, il circulerait un peu partout pour prendre et distribuer les nouvelles… Il fallait que tous restent liés et solidaire pour réussir. Avec un peu de chance, malgré cette précipitation, tout irait bien…
rp avec beaucoup de gens
Image : ![[EVENT]The Beginning Photo_10](https://i.servimg.com/u/f65/19/92/54/64/photo_10.png)
Fiche personnage : [url=]fiche personnage[/url]Espace personnel : [url=]espace personnel[/url]Groupe : Le VillageDate d'arrivée à l'Institut : 03/03/2016Age : 23
Fiche personnage : [url=]fiche personnage[/url]Espace personnel : [url=]espace personnel[/url]Groupe : Le VillageDate d'arrivée à l'Institut : 03/03/2016Age : 23Alexander HexeÉlectron libre
Dim 5 Juil - 22:59
Quelques gouttes de pluie roulaient le long de ses bras avant de se fondre dans la transpiration de ses mains. Elles étaient moites. Et pas seulement à cause de la chaleur humide produite par l’orage.
Pourtant il se tenait debout dans la cour au milieu des quelques personnes qui avaient les premiers entendu l’horrible rumeur. Le Journal était découvert. Tout allait se précipiter dorénavant.
Cap avait peur. Il était au courant de tout, bien sûr. Le Génie lui avait laissé en détail le plan d’action au cas où ce ne serait pas lui qui serait aux commandes le jour J. Ce qui était assez improbable puisque depuis quelques temps, leurs temps de conscience se succédaient de manière plus régulière, leur permettant de savoir avec une certitude relative qui se réveillerait quel jour. Ils partageaient même à nouveau des éveils communs sur certaines périodes, ce qui avait permis à Cap de prendre connaissance des événements de la réunion sans forcer le Génie à prendre le risque de laisser des traces écrites.
Mais voilà, ce qui n’était pas prévu, c’était que le jour J serait finalement aujourd’hui.
Si ces derniers temps, Cap s’était de nouveau investi dans la Révolution, il n’avait jamais envisagé remplir un rôle si important. Son naturel naïf avait préféré avoir confiance dans le cours des choses : le Génie se chargerait d’accomplir ce qui était en partie son plan et lui verrait bien à sa prochaine conscience comment les choses avaient tournées. Mais c’était sans compter la vie et son sens de l’humour douteux qui faisait que c’était lui, Cap, qui allait finalement devoir prendre les choses en main.
Il avait récupéré les plans du système électrique et les fusibles qu’il avait caché dans un buisson au cours d’une preuve, quelques mois auparavant. Il n’avait aucune idée de si ça leur servirait mais il n’aimait pas l’idée de les laisser derrière lui. Il avait aussi le couteau et la lampe torche que le Génie avait acheté aux deux gars de la grotte. Ce n’était pas ce qu’il aurait choisi mais il devrait faire avec. Au moins, il était mieux équipé que lorsqu’il était parti pour délivrer Lore…
Il leva les yeux au ciel. Là où elle était, elle devait être aux premières loges pour assister aux événements de cette nuit.
Un éclair illumina une silhouette blonde, ramenant son attention à des objets plus terrestres. Elle ne semblait pas l’avoir vu et il envisagea quelques secondes de faire comme si lui non plus. Leur relation était… compliquée. Dans d’autres circonstances, il était convaincu qu’il l’aurait apprécié pourtant. Enfin, le plan était de partir avec elle et Aeden pour interroger le docteur Barrabil et le temps pressait : il se dirigea vers elle.
- Euh… Salut. S’annonça-t-il maladroitement. Sale temps hein ?
Elle serait probablement déçue de constater que ce n’était que lui, et pas le Génie. Mais bon. Ce n’était pas comme si c’était sa faute après tout. Lui, il lui aurait très bien laissé la place pour le coup. Il fourragea dans ses cheveux alourdis par l’humidité ambiante. Avec ce geste, ce n’était plus la peine de décliner son identité. Quelqu’un lui avait dit une fois que cette manie était un peu sa signature.
Pourtant il se tenait debout dans la cour au milieu des quelques personnes qui avaient les premiers entendu l’horrible rumeur. Le Journal était découvert. Tout allait se précipiter dorénavant.
Cap avait peur. Il était au courant de tout, bien sûr. Le Génie lui avait laissé en détail le plan d’action au cas où ce ne serait pas lui qui serait aux commandes le jour J. Ce qui était assez improbable puisque depuis quelques temps, leurs temps de conscience se succédaient de manière plus régulière, leur permettant de savoir avec une certitude relative qui se réveillerait quel jour. Ils partageaient même à nouveau des éveils communs sur certaines périodes, ce qui avait permis à Cap de prendre connaissance des événements de la réunion sans forcer le Génie à prendre le risque de laisser des traces écrites.
Mais voilà, ce qui n’était pas prévu, c’était que le jour J serait finalement aujourd’hui.
Si ces derniers temps, Cap s’était de nouveau investi dans la Révolution, il n’avait jamais envisagé remplir un rôle si important. Son naturel naïf avait préféré avoir confiance dans le cours des choses : le Génie se chargerait d’accomplir ce qui était en partie son plan et lui verrait bien à sa prochaine conscience comment les choses avaient tournées. Mais c’était sans compter la vie et son sens de l’humour douteux qui faisait que c’était lui, Cap, qui allait finalement devoir prendre les choses en main.
Il avait récupéré les plans du système électrique et les fusibles qu’il avait caché dans un buisson au cours d’une preuve, quelques mois auparavant. Il n’avait aucune idée de si ça leur servirait mais il n’aimait pas l’idée de les laisser derrière lui. Il avait aussi le couteau et la lampe torche que le Génie avait acheté aux deux gars de la grotte. Ce n’était pas ce qu’il aurait choisi mais il devrait faire avec. Au moins, il était mieux équipé que lorsqu’il était parti pour délivrer Lore…
Il leva les yeux au ciel. Là où elle était, elle devait être aux premières loges pour assister aux événements de cette nuit.
Un éclair illumina une silhouette blonde, ramenant son attention à des objets plus terrestres. Elle ne semblait pas l’avoir vu et il envisagea quelques secondes de faire comme si lui non plus. Leur relation était… compliquée. Dans d’autres circonstances, il était convaincu qu’il l’aurait apprécié pourtant. Enfin, le plan était de partir avec elle et Aeden pour interroger le docteur Barrabil et le temps pressait : il se dirigea vers elle.
- Euh… Salut. S’annonça-t-il maladroitement. Sale temps hein ?
Elle serait probablement déçue de constater que ce n’était que lui, et pas le Génie. Mais bon. Ce n’était pas comme si c’était sa faute après tout. Lui, il lui aurait très bien laissé la place pour le coup. Il fourragea dans ses cheveux alourdis par l’humidité ambiante. Avec ce geste, ce n’était plus la peine de décliner son identité. Quelqu’un lui avait dit une fois que cette manie était un peu sa signature.
Image : ![[EVENT]The Beginning Cy0u](https://zupimages.net/up/19/35/cy0u.jpg)
Fiche personnage : [url=]fiche personnage[/url]Espace personnel : [url=]espace personnel[/url]Groupe : La FamilleDate d'arrivée à l'Institut : 21/05/2016Age : 23
Fiche personnage : [url=]fiche personnage[/url]Espace personnel : [url=]espace personnel[/url]Groupe : La FamilleDate d'arrivée à l'Institut : 21/05/2016Age : 23Aeden ZetharÉlectron libre
Dim 5 Juil - 23:50
Aeden avait passé la journée au jardinage. Il avait pris une bonne douche, mangé un bout. Il avait cueilli quelques fleurs pour Elizabeth. Elles étaient dans un bol en plastique qu’il avait rempli d’eau pour l’instant, histoire d’éviter qu’elles ne se dessèchent. Il voulait lui faire la surprise. Passer encore un bon moment avec elle avant la Révolution. Il adorait les moments qu’ils passaient tous les trois avec Wendy. Et il devait avouer qu’il avait peur de ce qui arriverait après. Alors il voulait encore voir son si joli sourire. Il se préparait à partir à sa rencontre quand Marco avait débarqué en catastrophe. Lui avait annoncé que Donatien avait trouvé le journal. Que la Révolution débutait.
Dans un premier temps, il sentit un sentiment de panique monter. Il fut rattraper par ces démons.
La dernière fois que les choses se sont précipités, c’était lors de la tentative d’évasion de Lore. Ici, aujourd’hui, une nouvelle fois, des vies seraient mises en danger. Il aurait sa part de responsabilité. Mais il était prêt. Il devait le croire. Il reposa à regret les fleurs, essuya la moiteur de ces mains avant de récupérer la lampe de poche qu’il avait planqué dans son pot de fleur synthétique. Et la poêle qu’il avait glissé dans ces vêtements la veille encore, il la passa à sa ceinture, ferma sa veste dessus. Ce n’était pas très discret mais c’était mieux que rien.
Il dévala les escaliers, passa par l’aile d’Ophélia et Alexander mais n’en trouva aucuns des deux. Evitant les zones où il risquait encore de croiser des vigiles, le surdoué se précipita dehors. Il se sentait nerveux, presque nauséeux. Il les aperçut alors qu'il arrivait dans la cour, ils semblaient un peu gêné d’être là, côte à côte. Merde. Le Génie ! C’était Cap aux commandes ce soir, pas le Génie. Réaliser cela le fit grincer des dents, il adorait Cap, mais ce n’était pas prévu. Pourquoi aucuns de leurs plans ne se déroulaient jamais comme prévu ?
- Salut ! Désolé du retard. Direction le bâtiment du personnel, il ne faut surtout pas qu’on traine où on risque de perdre l’effet de surprise. Pour l’instant, essayons de respecter le plan, il faut qu’on atteigne le bureau d’Ange.
Pas la peine de trainer là à se regarder de travers. Il valait mieux briser le malaise qui s’installait, et avancer en direction de l’objectif. Il serait toujours le temps de taper causette plus tard. Puis, si Cap était moins préparé que le Génie, il serait aussi plus facile de s’arranger pour qu’Ophélia soit celle qui interroge Ange, et qu’eux deux restent en retrait. Aeden savait combien cette dernière aurait plus facile de le faire changer de camp si c’était elle qui s’y prenait pour le faire parler et lui ouvrir les yeux. Il avait mal au ventre mais il tenta de faire abstraction. Il n'était vraiment pas temps de se dégonfler. Ils devaient aller au bout de leurs idées maintenant.
Dans un premier temps, il sentit un sentiment de panique monter. Il fut rattraper par ces démons.
La dernière fois que les choses se sont précipités, c’était lors de la tentative d’évasion de Lore. Ici, aujourd’hui, une nouvelle fois, des vies seraient mises en danger. Il aurait sa part de responsabilité. Mais il était prêt. Il devait le croire. Il reposa à regret les fleurs, essuya la moiteur de ces mains avant de récupérer la lampe de poche qu’il avait planqué dans son pot de fleur synthétique. Et la poêle qu’il avait glissé dans ces vêtements la veille encore, il la passa à sa ceinture, ferma sa veste dessus. Ce n’était pas très discret mais c’était mieux que rien.
Il dévala les escaliers, passa par l’aile d’Ophélia et Alexander mais n’en trouva aucuns des deux. Evitant les zones où il risquait encore de croiser des vigiles, le surdoué se précipita dehors. Il se sentait nerveux, presque nauséeux. Il les aperçut alors qu'il arrivait dans la cour, ils semblaient un peu gêné d’être là, côte à côte. Merde. Le Génie ! C’était Cap aux commandes ce soir, pas le Génie. Réaliser cela le fit grincer des dents, il adorait Cap, mais ce n’était pas prévu. Pourquoi aucuns de leurs plans ne se déroulaient jamais comme prévu ?
- Salut ! Désolé du retard. Direction le bâtiment du personnel, il ne faut surtout pas qu’on traine où on risque de perdre l’effet de surprise. Pour l’instant, essayons de respecter le plan, il faut qu’on atteigne le bureau d’Ange.
Pas la peine de trainer là à se regarder de travers. Il valait mieux briser le malaise qui s’installait, et avancer en direction de l’objectif. Il serait toujours le temps de taper causette plus tard. Puis, si Cap était moins préparé que le Génie, il serait aussi plus facile de s’arranger pour qu’Ophélia soit celle qui interroge Ange, et qu’eux deux restent en retrait. Aeden savait combien cette dernière aurait plus facile de le faire changer de camp si c’était elle qui s’y prenait pour le faire parler et lui ouvrir les yeux. Il avait mal au ventre mais il tenta de faire abstraction. Il n'était vraiment pas temps de se dégonfler. Ils devaient aller au bout de leurs idées maintenant.
Image : ![[EVENT]The Beginning 220x1110](https://i.servimg.com/u/f62/17/43/15/92/220x1110.jpg)
Fiche personnage : fiche personnageEspace personnel : espace personnelGroupe : La FamilleDate d'arrivée à l'Institut : 06/06/2017Age : 23
Fiche personnage : fiche personnageEspace personnel : espace personnelGroupe : La FamilleDate d'arrivée à l'Institut : 06/06/2017Age : 23La CannibaleCo-dirigeante
Lun 6 Juil - 18:50
Trempée par la pluie, c'est comme si elle n'est jamais sortie de la douche. Elle bat des cils pour chasser quelques gouttes et lève la tête vers le ciel. Il est sombre, si sombre ... Est-ce un mauvais présage ? Quelqu'un là-haut est-il en train de leur annoncer la couleur de leur destin ?
Elle ferme les yeux et s'éloigne mentalement de la foule, de la tension, de l'adrénaline. Elle s'autorise ces quelques secondes de flottement pour se calmer, pour rassurer son corps et son esprit. Pour se convaincre que tout se passerait bien. Elle a tant attendu ce jour qu'elle a construit sa personnalité autour. Elle s'est trouvée une vocation de Révolutionnaire pour maintenant, et seulement maintenant. Elle ne peut pas laisser la peur la paralyser. Es-tu prête à aller jusqu'au bout de tes convictions ?
Elle ouvre les yeux, interpellée par la voix de leur lanceur d'alerte. Il est vraiment discret comme garçon, ce rôle lui convient parfaitement. Avec son gabarit, il peut parfaitement se camoufler pour avertir leurs alliés. Elle ne prend pas trop le temps de réfléchir et ouvre son sac pour en sortir la carte maritime des alentours qu'elle a volé avec le petit Kan. Elle l'a tant mémorisé qu'elle la connaît par cœur désormais. Naito en aurait sûrement plus besoin qu'elle. Il pourrait aider les autres à s'en sortir quand eux ne seront pas là. Parce que c'était bien beau d'envoyer les leaders en expédition, mais il ne reste plus personne pour mener les patients restés ici. Naito a un rôle. Naito peut le faire.
Elle se dirige vers lui et lui fourre la carte dans les mains en prenant soin d'attraper son regard, sérieuse.
« Fais-en bon usage. Ne reste pas seul. Sois avec eux. On compte sur toi pour les protéger. »
Puis elle s'éloigne. Pas de Génie ou d'Aeden en vue, tant pis, elle ira trouver Ange seule. C'est mieux comme ça finalement. Elle ressert l'élastique qui tient tant bien que mal sa chevelure épaisse et se fait un passage entre les patients. Elle rassure quelques enfants alertés, puis réussit à se faufiler vers une zone moins peuplée. Son regard est aiguisé, son corps à l'affût. Plus rien ne peut l'arrêter.
« Euh… Salut. »
Elle se stoppe dans son élan. Cette voix ... ? Fais chier.
Apparaît dans son champ de vision un visage bien familier. Tendue, cherchant à tout prix un plan de secours, elle ne distingue pas à travers le rideau de pluie les nuances d'expressions dans le visage d'Alexander. Il faut justifier pourquoi elle ne l'embrasse pas. Il faut trouver une excuse pour s'éloigner de lui. Il faut...
C'est seulement lorsqu'il passe sa main dans ses cheveux, accompagnant le mouvement d'un parasite « Sale temps hein ? » qu'elle comprend à qui elle fait face. Ses épaules s'affaissent de soulagement. Si c'est Cap, elle peut encore s'en sortir. Si Ophelia pleure de ne pas avoir son amoureux près d'elle, la Cannibale sourit narquoisement de satisfaction.
« Salut ! Désolé du retard. Direction le bâtiment du personnel, il ne faut surtout pas qu’on traine où on risque de perdre l’effet de surprise. Pour l’instant, essayons de respecter le plan, il faut qu’on atteigne le bureau d’Ange. »
C'est finalement quand elle arrête des les chercher que ces idiots la trouve ? Elle ne devrait pas se plaindre, le destin lui accorde des alliés, des protecteurs, du soutien. Elle adresse alors Aeden un sourire et salue ses propos. Pour une fois il est clair et efficace.
« On passe où ? L'entrée du bâtiment ? ou par la conciergerie ? J'y suis déjà allée par le passé avec ... Adèlys. Je sais comment on pourrait faire effraction. En plus tu connais bien la concierge Aeden non ? »
De son souvenir, elle était impliquée dans l'opération Ptit Légume.
Parce qu'il n'y a pas de temps à perdre, elle parle tout en amorçant une marche accélérée vers le bâtiment du personnel. Elle adresse un regard à Cap, troublée. C'est la première fois qu'elle croise Alexander sans que ce ne soit son amoureux.
And the only solution was to stand and fight
Event
Trempée par la pluie, c'est comme si elle n'est jamais sortie de la douche. Elle bat des cils pour chasser quelques gouttes et lève la tête vers le ciel. Il est sombre, si sombre ... Est-ce un mauvais présage ? Quelqu'un là-haut est-il en train de leur annoncer la couleur de leur destin ?
Elle ferme les yeux et s'éloigne mentalement de la foule, de la tension, de l'adrénaline. Elle s'autorise ces quelques secondes de flottement pour se calmer, pour rassurer son corps et son esprit. Pour se convaincre que tout se passerait bien. Elle a tant attendu ce jour qu'elle a construit sa personnalité autour. Elle s'est trouvée une vocation de Révolutionnaire pour maintenant, et seulement maintenant. Elle ne peut pas laisser la peur la paralyser. Es-tu prête à aller jusqu'au bout de tes convictions ?
Elle ouvre les yeux, interpellée par la voix de leur lanceur d'alerte. Il est vraiment discret comme garçon, ce rôle lui convient parfaitement. Avec son gabarit, il peut parfaitement se camoufler pour avertir leurs alliés. Elle ne prend pas trop le temps de réfléchir et ouvre son sac pour en sortir la carte maritime des alentours qu'elle a volé avec le petit Kan. Elle l'a tant mémorisé qu'elle la connaît par cœur désormais. Naito en aurait sûrement plus besoin qu'elle. Il pourrait aider les autres à s'en sortir quand eux ne seront pas là. Parce que c'était bien beau d'envoyer les leaders en expédition, mais il ne reste plus personne pour mener les patients restés ici. Naito a un rôle. Naito peut le faire.
Elle se dirige vers lui et lui fourre la carte dans les mains en prenant soin d'attraper son regard, sérieuse.
« Fais-en bon usage. Ne reste pas seul. Sois avec eux. On compte sur toi pour les protéger. »
Puis elle s'éloigne. Pas de Génie ou d'Aeden en vue, tant pis, elle ira trouver Ange seule. C'est mieux comme ça finalement. Elle ressert l'élastique qui tient tant bien que mal sa chevelure épaisse et se fait un passage entre les patients. Elle rassure quelques enfants alertés, puis réussit à se faufiler vers une zone moins peuplée. Son regard est aiguisé, son corps à l'affût. Plus rien ne peut l'arrêter.
« Euh… Salut. »
Elle se stoppe dans son élan. Cette voix ... ? Fais chier.
Apparaît dans son champ de vision un visage bien familier. Tendue, cherchant à tout prix un plan de secours, elle ne distingue pas à travers le rideau de pluie les nuances d'expressions dans le visage d'Alexander. Il faut justifier pourquoi elle ne l'embrasse pas. Il faut trouver une excuse pour s'éloigner de lui. Il faut...
C'est seulement lorsqu'il passe sa main dans ses cheveux, accompagnant le mouvement d'un parasite « Sale temps hein ? » qu'elle comprend à qui elle fait face. Ses épaules s'affaissent de soulagement. Si c'est Cap, elle peut encore s'en sortir. Si Ophelia pleure de ne pas avoir son amoureux près d'elle, la Cannibale sourit narquoisement de satisfaction.
« Salut ! Désolé du retard. Direction le bâtiment du personnel, il ne faut surtout pas qu’on traine où on risque de perdre l’effet de surprise. Pour l’instant, essayons de respecter le plan, il faut qu’on atteigne le bureau d’Ange. »
C'est finalement quand elle arrête des les chercher que ces idiots la trouve ? Elle ne devrait pas se plaindre, le destin lui accorde des alliés, des protecteurs, du soutien. Elle adresse alors Aeden un sourire et salue ses propos. Pour une fois il est clair et efficace.
« On passe où ? L'entrée du bâtiment ? ou par la conciergerie ? J'y suis déjà allée par le passé avec ... Adèlys. Je sais comment on pourrait faire effraction. En plus tu connais bien la concierge Aeden non ? »
De son souvenir, elle était impliquée dans l'opération Ptit Légume.
Parce qu'il n'y a pas de temps à perdre, elle parle tout en amorçant une marche accélérée vers le bâtiment du personnel. Elle adresse un regard à Cap, troublée. C'est la première fois qu'elle croise Alexander sans que ce ne soit son amoureux.
- INVENTAIRE:
-Le mot d'Adèlys- Une carte maritime des alentours
- un plan des caméras de surveillance
- un revolver (6 balles)
made by black arrow
Image : Fiche personnage : Ophelia Lilith RosedburyEspace personnel : Un journal intime et des secretsGroupe : Le VillageDate d'arrivée à l'Institut : 12/04/2013Age : 24
Fiche personnage : Ophelia Lilith RosedburyEspace personnel : Un journal intime et des secretsGroupe : Le VillageDate d'arrivée à l'Institut : 12/04/2013Age : 24KheidraPatiente
Lun 6 Juil - 20:37
EVENT
ft. Nev & cie
Kheidra ne comprenait pas l'agitation qui régnait dans l'Institut. Elle observait certaines personnes courir silencieusement dans les couloirs, d'autres qui faisaient des messes basses avec tout autant de discrétion. Kheidra était sortie de sa chambre, perplexe, et s'était progressivement laissée gagner par la frénésie locale. Kora serrait la main de Heida, fort, et sa soeur le lui rendait bien. Elles n'aimaient pas ne pas comprendre, se sentir excluses. Est-ce que cela avait quelque chose à voir avec l'étrange regroupement qu'il y avait eu, l'autre jour ? Avec Cap qui les avait ignoré ? Nev qui leur avait dit de rester discrètes ? Elles n'auraient su le dire.
Elles décidèrent d'aller le retrouver, pour en avoir le coeur net.
Se faufilant dans les couloirs, les jumelles songeaient que le docteur Barrabil ne serait pas ravi de savoir qu'une fois encore, ses patientes ne suivaient pas les règles, mais elles ne pouvaient pas rester sans rien faire alors que le monde devenait fou ! Peut-être qu'il aurait des réponses, lui aussi. Mais Kheidra ne se voyait pas aller jusqu'au Bâtiment le retrouver. C'était trop loin et dangereux. Et puis, Nev était leur ami. Un peu comme le Saint-Esprit avant qu'il ne quitte l'Institut. Kheidra en était encore un peu triste, d'ailleurs.
Kheidra monta jusque dans sa chambre, mais lorsqu'elle frappa, personne ne lui ouvrit. Confuses et frustrées, les jumelles décidèrent d'aller voir dans la cour, où quelques patients se dirigeaient, mais avant d'atteindre les lieux elles aperçurent une grande silhouette, se dirigeant vers l'entrée du bâtiment des patients.
-Nev ! cria Kheidra de sa voix double, courant vers lui. Qu'est-ce qu'il se passe ?
Image : 
Fiche personnage : [url=]fiche personnage[/url]Espace personnel : [url=]espace personnel[/url]Groupe : La FamilleDate d'arrivée à l'Institut : 03/12/2018Age : 16
Fiche personnage : [url=]fiche personnage[/url]Espace personnel : [url=]espace personnel[/url]Groupe : La FamilleDate d'arrivée à l'Institut : 03/12/2018Age : 16Sheila McElroyÉlectron libre
Lun 6 Juil - 22:27
Ok, Eden a l'air tendue. Et presque impatiente vu le ton qu'elle emploie pour me demander de me dépêcher mais très honnêtement je préfère perdre quelques minutes à m'habiller en conséquence et être plus efficace sur le terrain. Bref. Je fais un inventaire de son look rapidement. Mouais, ça risque de pas trop être ça pour courir. Et elle a une batte de baseball. La vache, je viens de l'imagine en train de prendre la tête d'Elpida pour une balle.
...
On va éviter d'arriver à ces extrêmes, hein?
Elle me sourit en levant les yeux au ciel. Ah ben on dirait que j'ai réussi à la détendre un peu. Un tout petit petit peu. C'est déjà un bon début! Je sais que c'est pas évident pour tout le monde mais être trop stressé avant quelque chose d'important c'est vraiment pas bon. J'ai pu m'en rendre compte dans les concours de danse. Plus j'étais détendue, plus j'arrivais à bouger sans réfléchir. Enfin... Aujourd'hui c'est un peu différent. On est pas sur une scène. Et la représentation qu'on va donner sera peut-être la dernière. Je secoue la tête en soufflant. Faut pas que je pense à ça! Je sais que notre mission est dangereuse mais y a pas de raison que ça se passe mal!
- Je propose qu’on commence par son bureau…
- Bonne idée. On commence par le plus évident puis on avise.
En soit, c'est la piste la plus simple pour le moment. Si on peut le prendre de vitesse avant qu'il quitte son bureau ça serait chouette! Et dans le cas où il serait pas là, on pourra peut-être trouver quelque chose d'incriminant dedans.
- Par contre, on va avoir un soucis… Comment on va faire pour rapporter des preuves ? Il nous faudrait quelque chose pour l’enregistrer… Je ne crois pas que ma switch puisse faire ça… T’as quelque chose toi ?
Ah ouais mince... C'est vrai que ça va être un gros problème. D'où l'intérêt de passer par la case bureau avant toute chose.
- Heu... non. Mais du coup on a plutôt intérêt à rentrer dans son bureau. Si ça se trouve, on aura un preuve écrite ou bien on trouvera de quoi enregistrer.
J'étais tellement concentrée sur la conversation que je me rends compte que maintenant qu'on a traversé le dortoir et qu'on est devant la porte qui donne sur la cour. Je la pousse et me fait accueillir par des gouttes de pluie. Ah... Ça aussi ça va être un problème. Avec cet orage, je risque d'avoir du mal à escalader sans me casser la figure. Bon, on verra bien comment on s'organise directement sur place.
Il y a pas mal de gens qui se rassemblent. Au loin, j’aperçois la Cannibale, Alexander et Aeden. Mon recruteur. J'ai quand même un sacrée affection pour lui. Il a l'air concentré donc je n'ose pas m'approcher mais dès que sa tête se tourne un peu dans ma direction je lui offre mon plus beau sourire et un signe de main encourageant. C'est en quelque sorte ma façon de lui souhaiter bonne chance, sa tâche est importante à lui aussi et il doit être stressé. S'il me voit, tant mieux, s'il me voit pas, j'espère au moins que mes bonnes ondes seront parvenues jusqu'à lui.
Je continue de marcher à travers la cour. Il faut qu'on accède au bâtiment mais il risque d'être surprotégé.
- Faut qu'on trouve un moyen de s'approcher sans se faire repérer. Il y a trop de gardes à l'entrée. Mais il y a un lac pas trop loin qui dois donner sur l'arrière de bâtiment, on peut peut-être passer par là? J'espère que tu sais nager!
The Beginning
[ L'expédition Dodo vient de là! ]
Ok, Eden a l'air tendue. Et presque impatiente vu le ton qu'elle emploie pour me demander de me dépêcher mais très honnêtement je préfère perdre quelques minutes à m'habiller en conséquence et être plus efficace sur le terrain. Bref. Je fais un inventaire de son look rapidement. Mouais, ça risque de pas trop être ça pour courir. Et elle a une batte de baseball. La vache, je viens de l'imagine en train de prendre la tête d'Elpida pour une balle.
...
On va éviter d'arriver à ces extrêmes, hein?
Elle me sourit en levant les yeux au ciel. Ah ben on dirait que j'ai réussi à la détendre un peu. Un tout petit petit peu. C'est déjà un bon début! Je sais que c'est pas évident pour tout le monde mais être trop stressé avant quelque chose d'important c'est vraiment pas bon. J'ai pu m'en rendre compte dans les concours de danse. Plus j'étais détendue, plus j'arrivais à bouger sans réfléchir. Enfin... Aujourd'hui c'est un peu différent. On est pas sur une scène. Et la représentation qu'on va donner sera peut-être la dernière. Je secoue la tête en soufflant. Faut pas que je pense à ça! Je sais que notre mission est dangereuse mais y a pas de raison que ça se passe mal!
- Je propose qu’on commence par son bureau…
- Bonne idée. On commence par le plus évident puis on avise.
En soit, c'est la piste la plus simple pour le moment. Si on peut le prendre de vitesse avant qu'il quitte son bureau ça serait chouette! Et dans le cas où il serait pas là, on pourra peut-être trouver quelque chose d'incriminant dedans.
- Par contre, on va avoir un soucis… Comment on va faire pour rapporter des preuves ? Il nous faudrait quelque chose pour l’enregistrer… Je ne crois pas que ma switch puisse faire ça… T’as quelque chose toi ?
Ah ouais mince... C'est vrai que ça va être un gros problème. D'où l'intérêt de passer par la case bureau avant toute chose.
- Heu... non. Mais du coup on a plutôt intérêt à rentrer dans son bureau. Si ça se trouve, on aura un preuve écrite ou bien on trouvera de quoi enregistrer.
J'étais tellement concentrée sur la conversation que je me rends compte que maintenant qu'on a traversé le dortoir et qu'on est devant la porte qui donne sur la cour. Je la pousse et me fait accueillir par des gouttes de pluie. Ah... Ça aussi ça va être un problème. Avec cet orage, je risque d'avoir du mal à escalader sans me casser la figure. Bon, on verra bien comment on s'organise directement sur place.
Il y a pas mal de gens qui se rassemblent. Au loin, j’aperçois la Cannibale, Alexander et Aeden. Mon recruteur. J'ai quand même un sacrée affection pour lui. Il a l'air concentré donc je n'ose pas m'approcher mais dès que sa tête se tourne un peu dans ma direction je lui offre mon plus beau sourire et un signe de main encourageant. C'est en quelque sorte ma façon de lui souhaiter bonne chance, sa tâche est importante à lui aussi et il doit être stressé. S'il me voit, tant mieux, s'il me voit pas, j'espère au moins que mes bonnes ondes seront parvenues jusqu'à lui.
Je continue de marcher à travers la cour. Il faut qu'on accède au bâtiment mais il risque d'être surprotégé.
- Faut qu'on trouve un moyen de s'approcher sans se faire repérer. Il y a trop de gardes à l'entrée. Mais il y a un lac pas trop loin qui dois donner sur l'arrière de bâtiment, on peut peut-être passer par là? J'espère que tu sais nager!
Codage par Libella sur Graphiorum
Image : ![[EVENT]The Beginning F18y](https://www.zupimages.net/up/20/44/f18y.png)
Fiche personnage : One upon a timeEspace personnel : [url=]espace personnel[/url]Groupe : Les Électrons LibresDate d'arrivée à l'Institut : 01/07/2018Age : 24
Fiche personnage : One upon a timeEspace personnel : [url=]espace personnel[/url]Groupe : Les Électrons LibresDate d'arrivée à l'Institut : 01/07/2018Age : 24Aeden ZetharÉlectron libre
Lun 6 Juil - 22:54
La pluie commençait à avoir raison de ces cheveux, qui gouttaient déjà sur son visage. C’était toujours pareil quand il pleuvait. Au moins, avec la pluie, c’est main n’était plus moite à cause du stress mais juste mouillé par les gouttes. Il tourna la tête et aperçut Sheila qui lui faisait signe un peu plus loin. Son visage illuminé semblait redonner du courage à Aeden. Il lui fit signe à son tour, espérant lui faire passer autant d’énergie et de motivation qu’il fut possible, malgré qu’il ne se sente pas franchement de taille. Et puis, la voir partir à la recherche de Donatien, cela le rendait un peu malade. S’il arrivait quelque chose à Sheila, il s’en voudrait terriblement. Mais pas question de s’imaginer quoi que ce soit ! Et puis, Sheila était plutôt du genre coriace, il doutait qu’il puisse lui arriver quelque chose.
Il était au moins rassuré d’avoir trouvé ces deux partenaires. Surtout Alexander à vrai dire. Que ce soit Cap ou le Génie, ils avaient commencé ensemble, il était normal que, quelque soit la façon dont cela devait se finir, ils le fassent ensembles. La Cannibale n’était pas de trop par contre, maintenant qu’ils avaient partagés plusieurs secrets, Aeden se sentait plus proche d’elle. Et elle avait toujours cette force qui irradiait et donnait l’impression au surdoué que tout ne pouvait que bien se finir.
« On passe où ? L'entrée du bâtiment ? ou par la conciergerie ? J'y suis déjà allée par le passé avec ... Adèlys. Je sais comment on pourrait faire effraction. En plus tu connais bien la concierge Aeden non ? »
Il fallait qu’il pense ça pour qu’Ophélia décide de sortir un truc pareil… Aeden sentait soudainement son cœur se serrer très fort dans sa poitrine. Il balbutie quelques mots mais c’est déjà trop tard, Ophélia démarre comme une tornade direction la conciergerie. Pitié, faites que W05 n’y soit pas…
Il était au moins rassuré d’avoir trouvé ces deux partenaires. Surtout Alexander à vrai dire. Que ce soit Cap ou le Génie, ils avaient commencé ensemble, il était normal que, quelque soit la façon dont cela devait se finir, ils le fassent ensembles. La Cannibale n’était pas de trop par contre, maintenant qu’ils avaient partagés plusieurs secrets, Aeden se sentait plus proche d’elle. Et elle avait toujours cette force qui irradiait et donnait l’impression au surdoué que tout ne pouvait que bien se finir.
« On passe où ? L'entrée du bâtiment ? ou par la conciergerie ? J'y suis déjà allée par le passé avec ... Adèlys. Je sais comment on pourrait faire effraction. En plus tu connais bien la concierge Aeden non ? »
Il fallait qu’il pense ça pour qu’Ophélia décide de sortir un truc pareil… Aeden sentait soudainement son cœur se serrer très fort dans sa poitrine. Il balbutie quelques mots mais c’est déjà trop tard, Ophélia démarre comme une tornade direction la conciergerie. Pitié, faites que W05 n’y soit pas…
Image : Fiche personnage : fiche personnageEspace personnel : espace personnelGroupe : La FamilleDate d'arrivée à l'Institut : 06/06/2017Age : 23
Fiche personnage : fiche personnageEspace personnel : espace personnelGroupe : La FamilleDate d'arrivée à l'Institut : 06/06/2017Age : 23Alexander HexeÉlectron libre
Mar 7 Juil - 17:56
La Cannibale eut l’air de tiquer en le voyant. Oui, bon, il savait qu’elle aurait préféré voir le Génie mais cette expression de… d’angoisse ? n’était peut-être pas nécessaire. Puis elle eut l’air de se détendre, comme si elle acceptait la situation. Aeden arriva également à ce moment-là, et eut également l’air de planter en constatant qui était aux commandes. Bon d’accord, ce n’était pas prévu mais sérieusement, il allait finir par se vexer là ! Heureusement, il n’était pas le Génie et laissa facilement son ego de côté pour le bien du plan. Il acquiesça aux mots de son ami : il fallait faire vite.
Le bureau d’Ange… A vrai dire, Cap ignorait comment il allait réagir face à lui. Contrairement au Génie, il n’éprouvait pas – ou plus – de colère à son égard, mais il restait celui qui avait mis fin au temps passé avec sa sœur. Il verrait bien comment il se sentirait une fois face à lui.
- On passe où ? L'entrée du bâtiment ? ou par la conciergerie ? J'y suis déjà allée par le passé avec ... Adèlys. Je sais comment on pourrait faire effraction. En plus tu connais bien la concierge Aeden non ?
Il emboîta naturellement le pas à la Cannibale. En l’absence du Génie, il lui semblait légitime que ce soit elle qui prenne la direction de leur escouade. Lui s’était toujours plutôt vu dans le rôle de l’adjuvant que du héros de toute façon. Mais plus il l’écoutait parlait plus quelque chose le dérangeait sans qu’il puisse mettre le doigt dessus. Ce fut la mention d’Aeden qui fit la lumière sur ce qui causait son sentiment.
- La concierge ? W05 ? Oh non non, très mauvaise idée. On parle quand même de la fille qui réclame à ce qu’on l’appelle par son numéro plutôt que son prénom hein ? Elle est complètement endoctrinée !
Il s’interrompit, adressant une petite grimace à Aeden, façon de dire « sans offense, frère ». Il savait qu’effectivement, ils étaient assez proches. Le surdoué passait beaucoup de temps à la mère et sa petite.
- Si jamais elle voit Aeden essayer de rentrer avec toi et moi – et pour ta part je sais pas, mais moi, je suis sur la liste noire de l’Institut, hein ? – tu crois vraiment qu’elle va nous laisser passer ?
Le bureau d’Ange… A vrai dire, Cap ignorait comment il allait réagir face à lui. Contrairement au Génie, il n’éprouvait pas – ou plus – de colère à son égard, mais il restait celui qui avait mis fin au temps passé avec sa sœur. Il verrait bien comment il se sentirait une fois face à lui.
- On passe où ? L'entrée du bâtiment ? ou par la conciergerie ? J'y suis déjà allée par le passé avec ... Adèlys. Je sais comment on pourrait faire effraction. En plus tu connais bien la concierge Aeden non ?
Il emboîta naturellement le pas à la Cannibale. En l’absence du Génie, il lui semblait légitime que ce soit elle qui prenne la direction de leur escouade. Lui s’était toujours plutôt vu dans le rôle de l’adjuvant que du héros de toute façon. Mais plus il l’écoutait parlait plus quelque chose le dérangeait sans qu’il puisse mettre le doigt dessus. Ce fut la mention d’Aeden qui fit la lumière sur ce qui causait son sentiment.
- La concierge ? W05 ? Oh non non, très mauvaise idée. On parle quand même de la fille qui réclame à ce qu’on l’appelle par son numéro plutôt que son prénom hein ? Elle est complètement endoctrinée !
Il s’interrompit, adressant une petite grimace à Aeden, façon de dire « sans offense, frère ». Il savait qu’effectivement, ils étaient assez proches. Le surdoué passait beaucoup de temps à la mère et sa petite.
- Si jamais elle voit Aeden essayer de rentrer avec toi et moi – et pour ta part je sais pas, mais moi, je suis sur la liste noire de l’Institut, hein ? – tu crois vraiment qu’elle va nous laisser passer ?
Image : Fiche personnage : [url=]fiche personnage[/url]Espace personnel : [url=]espace personnel[/url]Groupe : La FamilleDate d'arrivée à l'Institut : 21/05/2016Age : 23
Fiche personnage : [url=]fiche personnage[/url]Espace personnel : [url=]espace personnel[/url]Groupe : La FamilleDate d'arrivée à l'Institut : 21/05/2016Age : 23Aeden ZetharÉlectron libre
Mar 7 Juil - 21:53
Il se sentait nauséeux quand Alexander souleva, venant d’une certaine manière à sa rescousse :
- La concierge ? W05 ? Oh non non, très mauvaise idée. On parle quand même de la fille qui réclame à ce qu’on l’appelle par son numéro plutôt que son prénom hein ? Elle est complètement endoctrinée !
Elizabeth… Peut-être aurait-il dû en dire plus à ces deux amis sur la jeune femme. Elle n’était pas complètement endoctrinée, elle avait juste besoin qu’on l’aide à trouver son propre chemin. Elle avait besoin de douceur et de temps. Et le temps, il commençait à manquer. Même si Cap manquait de tact et ne comprenait pas vraiment tous les tenants et les aboutissants, il avait au moins le mérite de sortir Aeden d’un sacré pétrin.
- Si jamais elle voit Aeden essayer de rentrer avec toi et moi – et pour ta part je sais pas, mais moi, je suis sur la liste noire de l’Institut, hein ? – tu crois vraiment qu’elle va nous laisser passer ?
Si Elizabeth les voyait tous les trois essayer de s’introduire dans le bâtiment du personnel… Honnêtement, il ne donnait pas cher de leurs peaux. Et il n’avait absolument pas envie de lire de la déception dans son regard. Putain, il s’était voilé la face en pensant qu’il pouvait gérer ces sentiments envers elle et endosser certaines responsabilités au sein de la révolution.
Mais alors quoi ? Passer par la porte principale ? C’était du suicide. Une autre idée traversa l’esprit du jeune garçon. Il se frappa le front tellement il se trouvait stupide de ne pas y avoir penser avant, faisant voler quelques gouttes d’eau dans ses yeux. S’adressant à ces deux comparses, il leur expliqua :
- Nev et moi, on a fracturé la fenêtre du bureau du directeur, on pourrait passer par là ! On éviterait les zones trop surveillées et on serait déjà plus loin dans le couloir pour parvenir à mettre la main sur Ange.
- La concierge ? W05 ? Oh non non, très mauvaise idée. On parle quand même de la fille qui réclame à ce qu’on l’appelle par son numéro plutôt que son prénom hein ? Elle est complètement endoctrinée !
Elizabeth… Peut-être aurait-il dû en dire plus à ces deux amis sur la jeune femme. Elle n’était pas complètement endoctrinée, elle avait juste besoin qu’on l’aide à trouver son propre chemin. Elle avait besoin de douceur et de temps. Et le temps, il commençait à manquer. Même si Cap manquait de tact et ne comprenait pas vraiment tous les tenants et les aboutissants, il avait au moins le mérite de sortir Aeden d’un sacré pétrin.
- Si jamais elle voit Aeden essayer de rentrer avec toi et moi – et pour ta part je sais pas, mais moi, je suis sur la liste noire de l’Institut, hein ? – tu crois vraiment qu’elle va nous laisser passer ?
Si Elizabeth les voyait tous les trois essayer de s’introduire dans le bâtiment du personnel… Honnêtement, il ne donnait pas cher de leurs peaux. Et il n’avait absolument pas envie de lire de la déception dans son regard. Putain, il s’était voilé la face en pensant qu’il pouvait gérer ces sentiments envers elle et endosser certaines responsabilités au sein de la révolution.
Mais alors quoi ? Passer par la porte principale ? C’était du suicide. Une autre idée traversa l’esprit du jeune garçon. Il se frappa le front tellement il se trouvait stupide de ne pas y avoir penser avant, faisant voler quelques gouttes d’eau dans ses yeux. S’adressant à ces deux comparses, il leur expliqua :
- Nev et moi, on a fracturé la fenêtre du bureau du directeur, on pourrait passer par là ! On éviterait les zones trop surveillées et on serait déjà plus loin dans le couloir pour parvenir à mettre la main sur Ange.
- Spoiler:
- On devrait peut-être ouvrir un nouveau sujet du côté du batiment du personnel ?
Image : Fiche personnage : fiche personnageEspace personnel : espace personnelGroupe : La FamilleDate d'arrivée à l'Institut : 06/06/2017Age : 23
Fiche personnage : fiche personnageEspace personnel : espace personnelGroupe : La FamilleDate d'arrivée à l'Institut : 06/06/2017Age : 23La CannibaleCo-dirigeante
Mar 7 Juil - 23:22
Marchant toujours d'un pas pressé vers le bâtiment du personnel, la foule de patients semblent déjà bien loin. La Cannibale se sent comme une mère qui laisserait ses enfants prendre leur indépendance. Elle espère sincèrement qu'ils s'en sortiront sans eux avant de se raisonner... Ils ne sont pas tous les trois les sauveurs envoyés par une divinité. Bien sûr qu'ils peuvent réussir malgré leur absence. Maintenant elle doit penser au plan.
Cap remet en question l'idée de la Cannibale qui, de toute façon, savait très bien que l'entrée dans la conciergerie n'est pas idéale. Mais, elle ignore pourquoi, elle a un mauvais pressentiment concernant l'entrée surveillée par Jessy et W82. Et les héros, ça ne fait jamais irruption par la porte principale, c'est bien connu. En tant qu'Iron Woman d'Aeden, elle doit rendre hommage à cette image.
- Nev et moi, on a fracturé la fenêtre du bureau du directeur, on pourrait passer par là ! On éviterait les zones trop surveillées et on serait déjà plus loin dans le couloir pour parvenir à mettre la main sur Ange.
La Cannibale aurait étranglé son ami pour réagir aussi tardivement ! Au lieu de le traiter de tous les noms pour être aussi lent, elle se surpris à être admirative. Aeden n'est plus le petit gars triste de la cantine avec lequel elle a trouvé une amitié. Il le cache bien mais finalement, il a bien sa place parmi les héros ...
Elle lui adresse un hochement de tête déterminé.
- Guide-nous.
Elle évite au maximum de regarder Cap, encore mal à l'aise avec le dédoublement de personnalité. Heureusement, la réussite de la mission est plus importante que ses troubles amoureux et elle arrive assez à se concentrer dessus pour oublier sa gêne.
Direction une fenêtre cassée, et une fois l'intérieur ... Ils aviseront.
And the only solution was to stand and fight
Event
Marchant toujours d'un pas pressé vers le bâtiment du personnel, la foule de patients semblent déjà bien loin. La Cannibale se sent comme une mère qui laisserait ses enfants prendre leur indépendance. Elle espère sincèrement qu'ils s'en sortiront sans eux avant de se raisonner... Ils ne sont pas tous les trois les sauveurs envoyés par une divinité. Bien sûr qu'ils peuvent réussir malgré leur absence. Maintenant elle doit penser au plan.
Cap remet en question l'idée de la Cannibale qui, de toute façon, savait très bien que l'entrée dans la conciergerie n'est pas idéale. Mais, elle ignore pourquoi, elle a un mauvais pressentiment concernant l'entrée surveillée par Jessy et W82. Et les héros, ça ne fait jamais irruption par la porte principale, c'est bien connu. En tant qu'Iron Woman d'Aeden, elle doit rendre hommage à cette image.
- Nev et moi, on a fracturé la fenêtre du bureau du directeur, on pourrait passer par là ! On éviterait les zones trop surveillées et on serait déjà plus loin dans le couloir pour parvenir à mettre la main sur Ange.
La Cannibale aurait étranglé son ami pour réagir aussi tardivement ! Au lieu de le traiter de tous les noms pour être aussi lent, elle se surpris à être admirative. Aeden n'est plus le petit gars triste de la cantine avec lequel elle a trouvé une amitié. Il le cache bien mais finalement, il a bien sa place parmi les héros ...
Elle lui adresse un hochement de tête déterminé.
- Guide-nous.
Elle évite au maximum de regarder Cap, encore mal à l'aise avec le dédoublement de personnalité. Heureusement, la réussite de la mission est plus importante que ses troubles amoureux et elle arrive assez à se concentrer dessus pour oublier sa gêne.
Direction une fenêtre cassée, et une fois l'intérieur ... Ils aviseront.
- hors rp:
- on te laisse ouvrir la suite Aeden ? Vu que tu maîtrises mieux cette fenêtre cassée que nous !
- INVENTAIRE:
-Le mot d'Adèlys- Une carte maritime des alentours
- un plan des caméras de surveillance
- un revolver (6 balles)
made by black arrow
Image : Fiche personnage : Ophelia Lilith RosedburyEspace personnel : Un journal intime et des secretsGroupe : Le VillageDate d'arrivée à l'Institut : 12/04/2013Age : 24
Fiche personnage : Ophelia Lilith RosedburyEspace personnel : Un journal intime et des secretsGroupe : Le VillageDate d'arrivée à l'Institut : 12/04/2013Age : 24Eden AtkinsDécédée
Mer 8 Juil - 13:40
code by PANICK!ATTACK
The Beginning
Event
Elle a raison, même s’il n’est pas dans son bureau, on pourra toujours chercher quelque chose qu’on pourra utiliser contre lui. Il faut qu’on réussisse cette mission ! Pour tout le monde ! Avec un peu de chance, on trouvera un téléphone… Ou autre chose du genre, il me semble qu’on n’a pas besoin de déverrouiller le téléphone pour prendre une vidéo, et ça, c’est plutôt une bonne nouvelle !
En sortant de notre bâtiment, la pluie me surprend légèrement et je plisse les yeux. Super… L’ambiance parfaite pour qu’il se passe un drame. C’est comme si on était les acteurs d’un mauvais film… Mes yeux se posent sur Sheila et je soupire légèrement. Il faut qu’on soit prudente. On traverse la cour, tout le monde est là à se préparer ou à se mettre au courant des procédures et quand je vois ma partenaire faire un signe à quelqu’un, je lève les yeux pour voir de qui il s’agit. Connais pas. Enfin si ! C’est le type de la réunion ! Il répond à son signe avec un sourire contrit, et je détourne le regard. Elle a pas mal d’amis en fait… S’il m’arrivait quelque chose, je suis sûre que personne ne regretterait ma mort. Je n’ai rien à perdre après tout. Mais elle… Il faudra que je la protège. Elle semble un peu casse-cou en plus.
On continue de marcher dans la cour en direction du bâtiment quand elle m’adresse la parole.
- Faut qu'on trouve un moyen de s'approcher sans se faire repérer. Il y a trop de gardes à l'entrée. Mais il y a un lac pas trop loin qui doit donner sur l'arrière de bâtiment, on peut peut-être passer par là ? J'espère que tu sais nager !
- Je sais nager. C’est pas un souci. Je pense que tu as raison, ne prenons pas de risques inutiles.
On continue de marcher, et je la suis en direction du lac. Mais il y a un truc que je ne comprends pas trop… Pourquoi on devrait nager ? On a juste à faire le tour par le lac, pas plonger dans le lac, si ? Je savais que c’était une casse-cou ! On va finir par tomber malade avec ses bêtises ! Je pousse un soupir et passe ma main sur mon visage, essayant de retirer l’eau de pluie qui commence à me gêner… On va vraiment faire une hypothermie…
- Mais… Euh… On a vraiment besoin de nager ? On peut faire le tour par la berge, non ?
Dis-moi qu’on n’a pas besoin de nager… Dis-moi qu’on n’a pas besoin de nager…
Après quelques minutes de marche, on arrive au niveau du lac… Il est 20h19…
En sortant de notre bâtiment, la pluie me surprend légèrement et je plisse les yeux. Super… L’ambiance parfaite pour qu’il se passe un drame. C’est comme si on était les acteurs d’un mauvais film… Mes yeux se posent sur Sheila et je soupire légèrement. Il faut qu’on soit prudente. On traverse la cour, tout le monde est là à se préparer ou à se mettre au courant des procédures et quand je vois ma partenaire faire un signe à quelqu’un, je lève les yeux pour voir de qui il s’agit. Connais pas. Enfin si ! C’est le type de la réunion ! Il répond à son signe avec un sourire contrit, et je détourne le regard. Elle a pas mal d’amis en fait… S’il m’arrivait quelque chose, je suis sûre que personne ne regretterait ma mort. Je n’ai rien à perdre après tout. Mais elle… Il faudra que je la protège. Elle semble un peu casse-cou en plus.
On continue de marcher dans la cour en direction du bâtiment quand elle m’adresse la parole.
- Faut qu'on trouve un moyen de s'approcher sans se faire repérer. Il y a trop de gardes à l'entrée. Mais il y a un lac pas trop loin qui doit donner sur l'arrière de bâtiment, on peut peut-être passer par là ? J'espère que tu sais nager !
- Je sais nager. C’est pas un souci. Je pense que tu as raison, ne prenons pas de risques inutiles.
On continue de marcher, et je la suis en direction du lac. Mais il y a un truc que je ne comprends pas trop… Pourquoi on devrait nager ? On a juste à faire le tour par le lac, pas plonger dans le lac, si ? Je savais que c’était une casse-cou ! On va finir par tomber malade avec ses bêtises ! Je pousse un soupir et passe ma main sur mon visage, essayant de retirer l’eau de pluie qui commence à me gêner… On va vraiment faire une hypothermie…
- Mais… Euh… On a vraiment besoin de nager ? On peut faire le tour par la berge, non ?
Dis-moi qu’on n’a pas besoin de nager… Dis-moi qu’on n’a pas besoin de nager…
Après quelques minutes de marche, on arrive au niveau du lac… Il est 20h19…
Image : ![[EVENT]The Beginning 6sng](https://zupimages.net/up/19/50/6sng.jpg)
Fiche personnage : fiche personnageEspace personnel : connaissancesGroupe : Les DisparusDate d'arrivée à l'Institut : 15/12/2019Age : 25
Fiche personnage : fiche personnageEspace personnel : connaissancesGroupe : Les DisparusDate d'arrivée à l'Institut : 15/12/2019Age : 25NevrabrielMembre de l'Institut Graham
Ven 10 Juil - 14:49
Nevrabriel se rendit dans sa chambre pour prendre sa batte et le canif qu’il avait prit dans la réserve peut de temps auparavant. Il ne savait pas s’il en aurait besoin. Après tout, ils avaient des révolvers de l’autre coté. Mais le roux ne se voyait pas prendre ce genre de chose, ça lui rappelait bien trop de mauvais souvenir …
La révolution avait commencé, c’était une évidence. Son ventre était noué, il était là, mais devait-il vraiment y être ?
Nevrabriel vola du regard une dernière fois sa chambre. Allait-il la revoir après ça ? Son violon, son journal, ses partitions ?
Dans le doute, le jeune homme prit un sac à dos pour y fourguer les cadeaux de sa mère de cœur, son journal et sa pochette de partitions. Pourquoi ? Aucune idée. Mais son instinct lui disait de le faire.
Fin prêt, Nevrabriel courut vers son post où le monde semblait déjà se disperser. Il avait sans doute trop trainé … A se poser milles questions, cherchant la solution là où personne ne pouvait lui répondre, évidemment que tout allait plus vite que lui.
En arrivant, il fut aussitôt intercepté par Ulysse puis les jumelles. Il ne savait plus donner de la tête mais en vu des sacs d’Ulysse, il ne fallait pas être un génie pour comprendre que ce dernier profiterait de l’agitation non pas pour se battre mais s’enfuir.
C’était à la fois un soulagement et un étonnement pour le roux.
_Tu pars ? demanda-t-il à Ulysse en prenant les jumelles pour les mettre près de lui avec une profonde bienveillance
Loyauté – Trahison
Courage – Peur
Conflit – Paix
Patients – Médecins
Amis – Famille
Mort – Vie
Solitude – Entourage
Espoir – Détresse
Des choix.
Encore des choix.
Des choix que nous avons tous fait.
Des choix que la vie nous a imposés.
Choisir c’est renoncer.
J’ai dû choisir. Etait-ce le bon choix ?
Mon cœur vacille.
Je peux encore faire marche arrière. Je peux encore changer de chemin, encore renoncer à cet autre choix.
Encore ?
Je ne sais pas … quelle est la bonne voie …
Courage – Peur
Conflit – Paix
Patients – Médecins
Amis – Famille
Mort – Vie
Solitude – Entourage
Espoir – Détresse
Des choix.
Encore des choix.
Des choix que nous avons tous fait.
Des choix que la vie nous a imposés.
Choisir c’est renoncer.
J’ai dû choisir. Etait-ce le bon choix ?
Mon cœur vacille.
Je peux encore faire marche arrière. Je peux encore changer de chemin, encore renoncer à cet autre choix.
Encore ?
Je ne sais pas … quelle est la bonne voie …
Nevrabriel se rendit dans sa chambre pour prendre sa batte et le canif qu’il avait prit dans la réserve peut de temps auparavant. Il ne savait pas s’il en aurait besoin. Après tout, ils avaient des révolvers de l’autre coté. Mais le roux ne se voyait pas prendre ce genre de chose, ça lui rappelait bien trop de mauvais souvenir …
La révolution avait commencé, c’était une évidence. Son ventre était noué, il était là, mais devait-il vraiment y être ?
Nevrabriel vola du regard une dernière fois sa chambre. Allait-il la revoir après ça ? Son violon, son journal, ses partitions ?
Dans le doute, le jeune homme prit un sac à dos pour y fourguer les cadeaux de sa mère de cœur, son journal et sa pochette de partitions. Pourquoi ? Aucune idée. Mais son instinct lui disait de le faire.
Fin prêt, Nevrabriel courut vers son post où le monde semblait déjà se disperser. Il avait sans doute trop trainé … A se poser milles questions, cherchant la solution là où personne ne pouvait lui répondre, évidemment que tout allait plus vite que lui.
En arrivant, il fut aussitôt intercepté par Ulysse puis les jumelles. Il ne savait plus donner de la tête mais en vu des sacs d’Ulysse, il ne fallait pas être un génie pour comprendre que ce dernier profiterait de l’agitation non pas pour se battre mais s’enfuir.
C’était à la fois un soulagement et un étonnement pour le roux.
_Tu pars ? demanda-t-il à Ulysse en prenant les jumelles pour les mettre près de lui avec une profonde bienveillance
Image : ![[EVENT]The Beginning Sans_t30](https://i.servimg.com/u/f92/15/74/26/69/sans_t30.jpg)
Fiche personnage : fiche personnageEspace personnel : espace personnel
entourageGroupe : Institut GrahamDate d'arrivée à l'Institut : 10/02/2013Age : 26
Fiche personnage : fiche personnageEspace personnel : espace personnelentourageGroupe : Institut GrahamDate d'arrivée à l'Institut : 10/02/2013Age : 26
UlysseDisparu de l'Île
Sam 11 Juil - 15:53
Je m'enfuis mais et toi ?
Ulysse & Nevrabriel
Ses bras commençaient à s'engourdir, ce qui l'obligea à mettre à terre ses sacs. Quand il disait qu'il n'était pas fait pour se battre, il n'exagèrait pas. Il connaissait suffisamment sa condition physique pour savoir que la révolution serait trop brutale pour lui, et il était conscient de son instinct de survie qui l'interdirait de se joindre à eux. Ou du moins se déplacer avec eux. Mentalement, il aurait pu les soutenir, peut-être même trouver des plans d'attaque. Mais il n'était pas un homme d'action. Il se savait suffisamment maladroit et faible pour être un boulet les empêchant d'avancer dans leur quête.
Mais il les soutenait. De tout son cœur.
Deux faibles voix se détachèrent des autres, appelant elles aussi Nevrabriel. C'était un garçon tellement sociable et amical, il n'était pas étonné de le voir lié à deux enfants. Il leur sourit, comme si c'était la chose à faire absolument.
Son ami ne tarda pas à se montrer, rapprochant les enfants de lui dans une aura protectrice :
_Tu pars ?
Ulysse jeta un œil à ses bagages, comme pour vérifier qu'elles étaient encore là. Puis il leva la tête vers lui, l'air désolé. Il savait qu'il l'abandonnait, lui et tous les autres, mais qu'avait-il comme choix ? C'était l'opportunité pour lui de se construire avec la seule femme qu'il aimait.
Il s'avança d'un pas, les mains jointes :
- Hum... Oui, en l'occurrence. Je suis désolé, mais je ne suis pas fait pour ça. Mais je vous soutiens à 100%.
Les deux enfants se détachèrent de son camarade de chambre et s'échappèrent de la foule, sans dire un au revoir. Ce n'était pas dangereux de les laisser seules ?
Il reporta son regard vers Nevrabriel, et hésita. Il devait bien pourtant se lancer.
- Je pars avec Atsuka. Et je voulais savoir si tu voulais venir avec nous ? Je sais que je serai plus rassuré de te savoir en sécurité, loin de tout ça.
Mais il les soutenait. De tout son cœur.
Deux faibles voix se détachèrent des autres, appelant elles aussi Nevrabriel. C'était un garçon tellement sociable et amical, il n'était pas étonné de le voir lié à deux enfants. Il leur sourit, comme si c'était la chose à faire absolument.
Son ami ne tarda pas à se montrer, rapprochant les enfants de lui dans une aura protectrice :
_Tu pars ?
Ulysse jeta un œil à ses bagages, comme pour vérifier qu'elles étaient encore là. Puis il leva la tête vers lui, l'air désolé. Il savait qu'il l'abandonnait, lui et tous les autres, mais qu'avait-il comme choix ? C'était l'opportunité pour lui de se construire avec la seule femme qu'il aimait.
Il s'avança d'un pas, les mains jointes :
- Hum... Oui, en l'occurrence. Je suis désolé, mais je ne suis pas fait pour ça. Mais je vous soutiens à 100%.
Les deux enfants se détachèrent de son camarade de chambre et s'échappèrent de la foule, sans dire un au revoir. Ce n'était pas dangereux de les laisser seules ?
Il reporta son regard vers Nevrabriel, et hésita. Il devait bien pourtant se lancer.
- Je pars avec Atsuka. Et je voulais savoir si tu voulais venir avec nous ? Je sais que je serai plus rassuré de te savoir en sécurité, loin de tout ça.
Image : Fiche personnage : [url=]fiche personnage[/url]Espace personnel : [url=]espace personnel[/url]Groupe : Les DisparusDate d'arrivée à l'Institut : 01/12/2017Age : 26
Fiche personnage : [url=]fiche personnage[/url]Espace personnel : [url=]espace personnel[/url]Groupe : Les DisparusDate d'arrivée à l'Institut : 01/12/2017Age : 26ElizabethCuisinière de la Famille
Sam 11 Juil - 16:07
Partner in crimes
Accompagnée de son amie au regard foudroyant, elle marcha aussi rapidement qu'elle le put sur le sentier jusqu'au bâtiment des patients qu'elle vit au loin se hisser à mesure qu'elle avançait. Sa main droite se mit à trembler légèrement, prête à dégainer son arme au cas où un patient fou surgirrait des fougères pour les assommer ou pire : les égorger. Tout était possible, et l'ambiance orageuse contribuait à rendre Elizabeth encore plus prudente. La pluie étouffait les bruits alentours et les trombes d'eau floutaient sa vision, incapable de voir autour d'elle. Seules les grosses bâtisses étaient suffisamment imposantes pour refléter leur image jusqu'aux yeux de l'ex-patiente.
Un orage se mit à tomber dans la mer, se rapprochant toujours plus de la terre. Le son du tonnerre se faisait entendre plus rapidement après le flash de l'éclair à chaque fois qu'un nouveau tombait.
Elle jeta un coup d'oeil à Amalia, un peu inquiète. Rien n'était rassurant, mais sa rage la faisait tenir. Les patients n'étaient que des pourris gâtés en quête de sensations fortes. Typique des crises d'adolescence.
Elle se planta devant les quelques patients devant le bâtiment. Il y avait un rouquin, un blondinet et quelques autres dispersés.
Elle tenta de lire les matricules mais elle n'y arrivait pas à cause de la pluie. Elle grogna :
- On fait quoi ? On les plaque au sol et on les attache ?
ft. Amalia tmtc
Image : ![[EVENT]The Beginning Vi27](https://zupimages.net/up/19/47/vi27.png)
Fiche personnage : fiche personnageEspace personnel : espace personnelGroupe : La FamilleDate d'arrivée à l'Institut : 17/07/1996Age : 28
Fiche personnage : fiche personnageEspace personnel : espace personnelGroupe : La FamilleDate d'arrivée à l'Institut : 17/07/1996Age : 28Amalia ReanoBras-droit de Victor
Sam 11 Juil - 16:46
ft.
des insectes
et W05
des insectes
et W05
The Beginning
W05 avait opiné à la proposition de la brune et avait imposé un rythme rapide, tandis qu'elle cherchait son téléphone.
-Je vais d'abord voir dans le bâtiment des patients. S'il y en a qui sont en dehors de leur chambre, on peut les considérer coupables.
Ce fut au tour d'Amalia d'acquiescer vivement. Son propre portable était prêt à être déverrouiller pour envoyer la moindre information au Marquis. D'ailleurs, dans le petit attroupement de patients et, malgré la pluie, elle reconnaît quelques silhouettes dont elle a déjà donné les noms : les cheveux roses de Sheila, accompagnée d'une autre ombre longiligne inconnue, qui semblent aller vers le lac. Elle a beau s'être déjà occupée de la rose une fois, elle lui reconnaît tout de même une certaine force et, ne connaissant pas la deuxième personne, elle ne veut pas embarquer son amie là-bas. Elle lui pointe tout de même la direction, lui indiquant avoir vu deux patientes partir. Pour plus tard.
Luminosité au minimum et écran caché par le pan de sa veste, elle rapporta ses observations à Victor Graham d'un message courtois mais succinct : elle confirma la présence d'Alexander et Nevabriel, rajouta celle de Sheila vers le lac ou le Bâtiment et enfin celle d'un blondinet qu'elle croyait avoir vu dans l'aile X, ami avec le rouquin. Par contre, une silhouette plus menue que les autres et isolée l'interpella. En voilà une cible de choix...
-On fait quoi ? On les plaque au sol et on les attache ?
-Il y a un insecte seul juste là. On va le faire parler. Tu voudras bien l'immobiliser ? chuchota-t-elle.
Dans le doute, elle lui tendit le couteau qu'elle avait récupéré précédemment, ne sachant pas si Elisabeth était armée.
-Je vais d'abord voir dans le bâtiment des patients. S'il y en a qui sont en dehors de leur chambre, on peut les considérer coupables.
Ce fut au tour d'Amalia d'acquiescer vivement. Son propre portable était prêt à être déverrouiller pour envoyer la moindre information au Marquis. D'ailleurs, dans le petit attroupement de patients et, malgré la pluie, elle reconnaît quelques silhouettes dont elle a déjà donné les noms : les cheveux roses de Sheila, accompagnée d'une autre ombre longiligne inconnue, qui semblent aller vers le lac. Elle a beau s'être déjà occupée de la rose une fois, elle lui reconnaît tout de même une certaine force et, ne connaissant pas la deuxième personne, elle ne veut pas embarquer son amie là-bas. Elle lui pointe tout de même la direction, lui indiquant avoir vu deux patientes partir. Pour plus tard.
Luminosité au minimum et écran caché par le pan de sa veste, elle rapporta ses observations à Victor Graham d'un message courtois mais succinct : elle confirma la présence d'Alexander et Nevabriel, rajouta celle de Sheila vers le lac ou le Bâtiment et enfin celle d'un blondinet qu'elle croyait avoir vu dans l'aile X, ami avec le rouquin. Par contre, une silhouette plus menue que les autres et isolée l'interpella. En voilà une cible de choix...
-On fait quoi ? On les plaque au sol et on les attache ?
-Il y a un insecte seul juste là. On va le faire parler. Tu voudras bien l'immobiliser ? chuchota-t-elle.
Dans le doute, elle lui tendit le couteau qu'elle avait récupéré précédemment, ne sachant pas si Elisabeth était armée.
Image : Fiche personnage : Qui est-ce ?Espace personnel : Dossiers et rapportsGroupe : Institut GrahamDate d'arrivée à l'Institut : 13/07/2015Age : 27
Fiche personnage : Qui est-ce ?Espace personnel : Dossiers et rapportsGroupe : Institut GrahamDate d'arrivée à l'Institut : 13/07/2015Age : 27PROWLER NaitoMembre du Village
Sam 11 Juil - 20:35
The beginning
Nai devait avouer qu’il s’ennuyatit un peu. Il n’était pas un grand combattant alors il n’avait pas cherché à prendre part à des combats. Cependant cela signifiait qu’il se retrouvait à présent sans rien faire dans la cour. Maintenant que la révolution avait commencée et qu’il avait transmis le message, il ne lui restait qu’à patienter…
Un peu à l’écart des autres, il scrutait le vide sans vraiment y faire attention. Cette révolution… Il espérait sincèrement que ça se passerait bien.
Sa vision périphérique lui renvoya l’image d’ombres mouvantes. L’obscurité pouvant lui jouer des tours, il n’y prêta au départ pas vraiment attention… Cependant, un sentiment d’insécurité le tenaillait. Et lorsque cet instinct persista il douta.Cela pouvait être deux patients certes… Mais nous n’étions jamais trop prudents et il préférait ne pas prendre de risque en restant seul. En fait cela l'inquiétait un peu de rester seul
Jouant distraitement avec sa lampe torche tout en la gardant éteinte, il s’éloigna de son ancien poste, rejoignant petit à petit les autres patients. Le premier qu’il atteignit avec soulagement fut un patient avec le matricule Y15.
« Désolé… C’est peut-être idiot mais j’ai croisé deux personnes qui me semblent étranges pas loin. Je cherche un ami. Tu pourrais m’accompagner jusqu’à ce que je trouve Nev ? » demanda le brun
Un peu à l’écart des autres, il scrutait le vide sans vraiment y faire attention. Cette révolution… Il espérait sincèrement que ça se passerait bien.
Sa vision périphérique lui renvoya l’image d’ombres mouvantes. L’obscurité pouvant lui jouer des tours, il n’y prêta au départ pas vraiment attention… Cependant, un sentiment d’insécurité le tenaillait. Et lorsque cet instinct persista il douta.Cela pouvait être deux patients certes… Mais nous n’étions jamais trop prudents et il préférait ne pas prendre de risque en restant seul. En fait cela l'inquiétait un peu de rester seul
Jouant distraitement avec sa lampe torche tout en la gardant éteinte, il s’éloigna de son ancien poste, rejoignant petit à petit les autres patients. Le premier qu’il atteignit avec soulagement fut un patient avec le matricule Y15.
« Désolé… C’est peut-être idiot mais j’ai croisé deux personnes qui me semblent étranges pas loin. Je cherche un ami. Tu pourrais m’accompagner jusqu’à ce que je trouve Nev ? » demanda le brun
rp avec beaucoup de gens
Image : Fiche personnage : [url=]fiche personnage[/url]Espace personnel : [url=]espace personnel[/url]Groupe : Le VillageDate d'arrivée à l'Institut : 03/03/2016Age : 23
Fiche personnage : [url=]fiche personnage[/url]Espace personnel : [url=]espace personnel[/url]Groupe : Le VillageDate d'arrivée à l'Institut : 03/03/2016Age : 23HasardPNJ
Dim 12 Juil - 13:08
The Beginning
Y15 restait en retrait, s'inquiétant de la tournure des événements. Il voyait au loin que les lumières étaient éteintes et espéra que c'était un coup joué par leur camp. Il savait qu'Alexander avait à de nombreuses reprises jouer avec l'électricité et son instinct lui souffla que c'était lui. Il n'avait pas de nouvelles des expéditions mais cela ne faisait même pas une heure qu'ils avaient commencé. Maintenant ils devaient protéger leur bâtiment, et plus particulièrement les plus vulnérables.
Quand leur lanceur d'alerte - Naito si ses souvenirs étaient bons - se dirigea vers lui, lui désignant deux personnes qui l'inquiétait, il le prit immédiatement au sérieux.
- Evidemment, ces deux personnes ne sont pas des patientes.
C'était la concierge, bien connue pour avoir été endoctriné par l'Institut depuis sa naissance et Amalia Reano, une terreur qui avait rejoint le personnel. Elle était le petit chien de Victor Graham désormais, un ophtalmologue bien connu pour sa méprise envers les patients.
Il tapota l'épaule de Naito et lui indiqua un banc pour qui pourrait lui servir de promontoire.
- Va là-bas et interpelle-les calmement tout en te méfiant. Demande leur par exemple ce qu'elles font ici. Tu seras entouré, ne t'inquiète pas. Je couvre vos arrières.
Il toucha par réflexe son flan où il avait dissimulé une arme. Il ne voulait pas l'utiliser, pas devant les patients mais en cas de dernier recours, il n'aurait pas le choix.
EVENT
The Beginning
Y15 restait en retrait, s'inquiétant de la tournure des événements. Il voyait au loin que les lumières étaient éteintes et espéra que c'était un coup joué par leur camp. Il savait qu'Alexander avait à de nombreuses reprises jouer avec l'électricité et son instinct lui souffla que c'était lui. Il n'avait pas de nouvelles des expéditions mais cela ne faisait même pas une heure qu'ils avaient commencé. Maintenant ils devaient protéger leur bâtiment, et plus particulièrement les plus vulnérables.
Quand leur lanceur d'alerte - Naito si ses souvenirs étaient bons - se dirigea vers lui, lui désignant deux personnes qui l'inquiétait, il le prit immédiatement au sérieux.
- Evidemment, ces deux personnes ne sont pas des patientes.
C'était la concierge, bien connue pour avoir été endoctriné par l'Institut depuis sa naissance et Amalia Reano, une terreur qui avait rejoint le personnel. Elle était le petit chien de Victor Graham désormais, un ophtalmologue bien connu pour sa méprise envers les patients.
Il tapota l'épaule de Naito et lui indiqua un banc pour qui pourrait lui servir de promontoire.
- Va là-bas et interpelle-les calmement tout en te méfiant. Demande leur par exemple ce qu'elles font ici. Tu seras entouré, ne t'inquiète pas. Je couvre vos arrières.
Il toucha par réflexe son flan où il avait dissimulé une arme. Il ne voulait pas l'utiliser, pas devant les patients mais en cas de dernier recours, il n'aurait pas le choix.
Image : Fiche personnage : [url=]fiche personnage[/url]Espace personnel : [url=]espace personnel[/url]Groupe : PNJ
Fiche personnage : [url=]fiche personnage[/url]Espace personnel : [url=]espace personnel[/url]Groupe : PNJPROWLER NaitoMembre du Village
Dim 12 Juil - 22:02
The beginning
« Evidemment, ces deux personnes ne sont pas des patientes »
Eh bien cela ne le rassurait pas vraiment… Mais au moins ça confortait Naito dans sa prise de décision. Il avait bien fait de s’éloigner. Il ne pensait pas que la présence de membre du personnel en ce temps de révolution était positif… C’était plutôt l’inverse. En tout cas pour la majorité des membres du personnel.
Alors que le brun replongeait dans ses réflexions de moins en moins sympathique, Y15 lui tapota l’épaule, le ramenant à la réalité avant de lui désigner un banc.
« Va là-bas et interpelle-les calmement tout en te méfiant. Demande-leur par exemple ce qu'elles font ici. Tu seras entouré, ne t'inquiète pas. Je couvre vos arrières. »
Il hésita. Il n’était vraiment pas rassuré… Mais la présence d’autres personnes le rassurait un peu. Alors après un soupir, le vampire acquiesça.
« Okay… Je comptes sur toi ! »
Y74 marcha jusqu’au banc et y grimpa. Il laissa son regard parcourir la cour, en profitant pour tenter de repérer son ami roux, avant de se poser sur les deux personnes.
Il se racla la gorge avant de commencer à parler calmement.
« Hum… Excusez-moi ? Pouvez-vous décliner votre identité et me dire la raison de votre présence ici ? Il s’agit du bâtiment des patients après tout, la présence de membres du personnel est assez étrange. »
Nai avait tenté de rester poli. Au moins il était rassuré car son inquiétude n’était pas parue dans sa voix. Cependant il espérait que tout se passerait bien. La révolution avait tendance à le rendre encore plus nerveux que d’habitude, ce qui n’était pas peu dire !
Eh bien cela ne le rassurait pas vraiment… Mais au moins ça confortait Naito dans sa prise de décision. Il avait bien fait de s’éloigner. Il ne pensait pas que la présence de membre du personnel en ce temps de révolution était positif… C’était plutôt l’inverse. En tout cas pour la majorité des membres du personnel.
Alors que le brun replongeait dans ses réflexions de moins en moins sympathique, Y15 lui tapota l’épaule, le ramenant à la réalité avant de lui désigner un banc.
« Va là-bas et interpelle-les calmement tout en te méfiant. Demande-leur par exemple ce qu'elles font ici. Tu seras entouré, ne t'inquiète pas. Je couvre vos arrières. »
Il hésita. Il n’était vraiment pas rassuré… Mais la présence d’autres personnes le rassurait un peu. Alors après un soupir, le vampire acquiesça.
« Okay… Je comptes sur toi ! »
Y74 marcha jusqu’au banc et y grimpa. Il laissa son regard parcourir la cour, en profitant pour tenter de repérer son ami roux, avant de se poser sur les deux personnes.
Il se racla la gorge avant de commencer à parler calmement.
« Hum… Excusez-moi ? Pouvez-vous décliner votre identité et me dire la raison de votre présence ici ? Il s’agit du bâtiment des patients après tout, la présence de membres du personnel est assez étrange. »
Nai avait tenté de rester poli. Au moins il était rassuré car son inquiétude n’était pas parue dans sa voix. Cependant il espérait que tout se passerait bien. La révolution avait tendance à le rendre encore plus nerveux que d’habitude, ce qui n’était pas peu dire !
rp avec beaucoup de monde
Image : Fiche personnage : [url=]fiche personnage[/url]Espace personnel : [url=]espace personnel[/url]Groupe : Le VillageDate d'arrivée à l'Institut : 03/03/2016Age : 23
Fiche personnage : [url=]fiche personnage[/url]Espace personnel : [url=]espace personnel[/url]Groupe : Le VillageDate d'arrivée à l'Institut : 03/03/2016Age : 23NevrabrielMembre de l'Institut Graham
Mar 14 Juil - 0:13
_Tu pars ?
_Hum... Oui, en l'occurrence. Je suis désolé, mais je ne suis pas fait pour ça. Mais je vous soutiens à 100%.
Les jumelles se détachèrent du roux sans qu’il ne puisse les retenir. Il allait les arrêter par peur de leur sécurité mais les mots de son ami l’intriguaient et Ulysse avait traversé tout le bâtiment pour lui parler au lieu d’aller rejoindre sa bien-aimée.
_ Je pars avec Atsuka. Et je voulais savoir si tu voulais venir avec nous ? Je sais que je serai plus rassuré de te savoir en sécurité, loin de tout ça.
Un léger flottement. Une part de bonheur encré dans son cœur.
Ulysse offrait au roux ce qu’il attendait de la révolution : partir d’ici. Il pensait l’obtenir de la part d’Ophélia. De la part de ma révolution. Il ne s’attendait pas à ce que son camarade, son ami, son voisin de chambre, lui fasse une telle proposition.
Pour la première fois depuis des années, Nevrabriel sentait qu’il avait une place quelque part dans ce monde, et elle était avec Ulysse.
Le blond diminuait les chances de s’enfuir pour le faire avec lui. De loin qu’il s’en souvienne, Nevrabriel n’avait jamais reçu un tel acte d’amitié, si puissant et si touchant.
C’était une sensation tellement étrange et nouvelle pour le roux que ses yeux vairons se mirent à se remplir de larmes alors qu’un sourire d’émotion venait adopter ses lèvres.
_Ulysse … je …
Il n’y avait pas de mot pour exprimer un tel sentiment et l’émotion le submerger tant et si bien que ses larmes prisonnières se mirent à perler sur son visage blanc.
Nevrabriel était rongé par tant d’amertumes et de doutes depuis tellement de temps que la proposition du blond lui faisait un bien fou, comme si toute la pression, tout l’assaut de la révolution était terminée, retombée, que tout allait bien.
Larmoyant, Nevrabriel tendit les bras pour enlacer son ami.
_C’est certainement le plus beau cadeau qu’on ait pu me faire depuis des années. Merci …
Nevrabriel ne pouvait pas exprimer ses sentiments et il savait qu’Ulysse avait encore du mal à les comprendre. Il avait beaucoup progressé avec Atsuka, peut-être pourrait-il arriver a déchiffrer les larmes roulant sur les joues de son camarade ?
_Je ne peux pas partir, ils ont besoin de moi, mais savoir que j’ai une place, même infime, quelque part dans ce mode, me fait chaud au cœur.
C’était la première raison pour laquelle Nevrabriel ne partait pas : personne ne l’attendait ailleurs. Mais maintenant que ça avait changé, maintenant qu’il savait que sa sœur et qu’Ulysse lui accordait une place près d’eux, il se sentait beaucoup plus léger et beaucoup plus vivant, comme si on avait retiré un poids immense dans son cœur.
Le roux se détacha de son ami pour ne pas le retarder plus longtemps. Il essuya vigoureusement ses larmes, ne pouvant s’empêcher de sourire avec une joie particulière.
_Promet moi d’être heureux et je viendrais vous voir dès que je le pourrais, promis.
Nevrabriel fouilla dans son sac. Ce n’était pas son idée de départ mais finalement, c’était peut-être ainsi que s’achevait son histoire. Il tendit son journal et sa pochette de partitions à Ulysse. Là était son histoire, là était ce qu’il était, ce qu’il avait vécu, ressentit, mais également, là était le seul souvenir qu’il avait de la femme qu’il aimait. Mais il savait qu’après ce soir, tout serait différent, il fallait qu’il tourne la page et avance. Astrid est le plus beau de ses souvenirs, mais s’il survie, il était temps qu’il s’en créer d’autres. Un livre se termine, un autre commence.
_Je vais te demander un service. Lorsque tu seras loin d’ici et en sécurité avec Atsuka, peux-tu envoyer ça pour moi ?
Nevrabriel n’avait rien pour écrire, il répéta alors deux fois à Ulysse l’adresse d’Astrid pour les partitions et celle de sa sœur pour le journal. Ulysse avait une mémoire parfaite, il s’en souviendrait.
Le roux avait promis à Astrid de lui offrir ses partitions le jour venu. Le journal … était certainement la seule chose qu’il pouvait offrir à sa sœur. Elle pourrait ainsi savoir tout ce qu’il avait vécu en deux ans, ses joies, ses peines, ses espoirs. Tout ce qu’il ne lui a pas dit, elle pourrait le lire, et ça serait comme s’ils ne s’étaient jamais quittés …
Nevrabriel prit la main du blond en ce qui ressemblait à une poignée de main masculine assez fraternel. Et, toujours très ému, avoua :
_Ulysse ... Je suis très heureux d’être ton ami.
C’était leur dernier échange avant la nouvelle vie d’Ulysse et le roux voulait que ces derniers mots expriment toute l’affection qu’il avait pour lui.
_Hum... Oui, en l'occurrence. Je suis désolé, mais je ne suis pas fait pour ça. Mais je vous soutiens à 100%.
Les jumelles se détachèrent du roux sans qu’il ne puisse les retenir. Il allait les arrêter par peur de leur sécurité mais les mots de son ami l’intriguaient et Ulysse avait traversé tout le bâtiment pour lui parler au lieu d’aller rejoindre sa bien-aimée.
_ Je pars avec Atsuka. Et je voulais savoir si tu voulais venir avec nous ? Je sais que je serai plus rassuré de te savoir en sécurité, loin de tout ça.
Un léger flottement. Une part de bonheur encré dans son cœur.
Ulysse offrait au roux ce qu’il attendait de la révolution : partir d’ici. Il pensait l’obtenir de la part d’Ophélia. De la part de ma révolution. Il ne s’attendait pas à ce que son camarade, son ami, son voisin de chambre, lui fasse une telle proposition.
Pour la première fois depuis des années, Nevrabriel sentait qu’il avait une place quelque part dans ce monde, et elle était avec Ulysse.
Le blond diminuait les chances de s’enfuir pour le faire avec lui. De loin qu’il s’en souvienne, Nevrabriel n’avait jamais reçu un tel acte d’amitié, si puissant et si touchant.
C’était une sensation tellement étrange et nouvelle pour le roux que ses yeux vairons se mirent à se remplir de larmes alors qu’un sourire d’émotion venait adopter ses lèvres.
_Ulysse … je …
Il n’y avait pas de mot pour exprimer un tel sentiment et l’émotion le submerger tant et si bien que ses larmes prisonnières se mirent à perler sur son visage blanc.
Nevrabriel était rongé par tant d’amertumes et de doutes depuis tellement de temps que la proposition du blond lui faisait un bien fou, comme si toute la pression, tout l’assaut de la révolution était terminée, retombée, que tout allait bien.
Larmoyant, Nevrabriel tendit les bras pour enlacer son ami.
_C’est certainement le plus beau cadeau qu’on ait pu me faire depuis des années. Merci …
Nevrabriel ne pouvait pas exprimer ses sentiments et il savait qu’Ulysse avait encore du mal à les comprendre. Il avait beaucoup progressé avec Atsuka, peut-être pourrait-il arriver a déchiffrer les larmes roulant sur les joues de son camarade ?
_Je ne peux pas partir, ils ont besoin de moi, mais savoir que j’ai une place, même infime, quelque part dans ce mode, me fait chaud au cœur.
C’était la première raison pour laquelle Nevrabriel ne partait pas : personne ne l’attendait ailleurs. Mais maintenant que ça avait changé, maintenant qu’il savait que sa sœur et qu’Ulysse lui accordait une place près d’eux, il se sentait beaucoup plus léger et beaucoup plus vivant, comme si on avait retiré un poids immense dans son cœur.
Le roux se détacha de son ami pour ne pas le retarder plus longtemps. Il essuya vigoureusement ses larmes, ne pouvant s’empêcher de sourire avec une joie particulière.
_Promet moi d’être heureux et je viendrais vous voir dès que je le pourrais, promis.
Nevrabriel fouilla dans son sac. Ce n’était pas son idée de départ mais finalement, c’était peut-être ainsi que s’achevait son histoire. Il tendit son journal et sa pochette de partitions à Ulysse. Là était son histoire, là était ce qu’il était, ce qu’il avait vécu, ressentit, mais également, là était le seul souvenir qu’il avait de la femme qu’il aimait. Mais il savait qu’après ce soir, tout serait différent, il fallait qu’il tourne la page et avance. Astrid est le plus beau de ses souvenirs, mais s’il survie, il était temps qu’il s’en créer d’autres. Un livre se termine, un autre commence.
_Je vais te demander un service. Lorsque tu seras loin d’ici et en sécurité avec Atsuka, peux-tu envoyer ça pour moi ?
Nevrabriel n’avait rien pour écrire, il répéta alors deux fois à Ulysse l’adresse d’Astrid pour les partitions et celle de sa sœur pour le journal. Ulysse avait une mémoire parfaite, il s’en souviendrait.
Le roux avait promis à Astrid de lui offrir ses partitions le jour venu. Le journal … était certainement la seule chose qu’il pouvait offrir à sa sœur. Elle pourrait ainsi savoir tout ce qu’il avait vécu en deux ans, ses joies, ses peines, ses espoirs. Tout ce qu’il ne lui a pas dit, elle pourrait le lire, et ça serait comme s’ils ne s’étaient jamais quittés …
Nevrabriel prit la main du blond en ce qui ressemblait à une poignée de main masculine assez fraternel. Et, toujours très ému, avoua :
_Ulysse ... Je suis très heureux d’être ton ami.
C’était leur dernier échange avant la nouvelle vie d’Ulysse et le roux voulait que ces derniers mots expriment toute l’affection qu’il avait pour lui.
Image : Fiche personnage : fiche personnageEspace personnel : espace personnel
entourageGroupe : Institut GrahamDate d'arrivée à l'Institut : 10/02/2013Age : 26
Fiche personnage : fiche personnageEspace personnel : espace personnelentourageGroupe : Institut GrahamDate d'arrivée à l'Institut : 10/02/2013Age : 26
ElizabethCuisinière de la Famille
Mar 14 Juil - 20:09
Partner in crimes
La réponse de sa partenaire ne tarda pas, répondant du tac-o-tac comme si leurs vies en dépendait :
-Il y a un insecte seul juste là. On va le faire parler. Tu voudras bien l'immobiliser ?
Elizabeth opina, l'air déterminée. Ses yeux se baissirent sur l'arme que son amie lui tendait, et elle lui adressa un sourire. Elles avaient eu la même idée. Dans un geste, elle attrapa son canif et le lui montra. Toutes les deux étaient armées. De la même arme qui plus est. Deux cerveaux, une personne.
Elle tourna son visage vers le garçon qu'Amalia lui montra. Effectivement, il n'avait pas l'air très résistant de loin, sous la pluie. Le surnom "insecte" lui allait comme un gant avec sa taille fine et son teint pâle.
Malheureusement, il partit discuter avec un autre insecte. Elizabeth resta sur ses gardes tout en observant Amalia. Elle n'avait jamais été aussi prête à bondir sur un dégénéré. Tous à l'asile, il n'y avait que cette solution pour les sauver de leur démence.
Ses veines cognaient avec rage ses tempes quand son regard fusillait et accusait les patients indisciplinés.
Soudainement, il se dirigea vers elles. Elizabeth adressa un dernier regard à sa comparse à qui elle désigna du menton le dégénéré vers qui l'insecte s'était dirigé plus tôt avant de venir vers elle leur dire :
- Hum… Excusez-moi ? Pouvez-vous décliner votre identité et me dire la raison de votre présence ici ? Il s’agit du bâtiment des patients après tout, la présence de membres du personnel est assez étrange.
Elizabeth haussa un sourcil quand son sourire s'élargissait d'une étrange façon, comme si sa folie s'était dessinée dans un sourire peu chaleureux.
Le regard froid et meurtrier, elle tapa rapidement quelque chose sur son téléphone et lui présenta, les doigts tremblant de rage :
- Je suis concierge, je vais où je veux. C'est la présence de patients à l'heure du coucher qui est étrange.
À peine eut-elle levé son téléphone pour faire diversion qu'elle plongea sur le lui, tentant de le renverser sur le sol, son canif dans son poche.
Les insectes, ils devaient être éliminés. Surtout ces mouches inutiles et bruyantes.
ft. Amalia tmtc
Image : Fiche personnage : fiche personnageEspace personnel : espace personnelGroupe : La FamilleDate d'arrivée à l'Institut : 17/07/1996Age : 28
Fiche personnage : fiche personnageEspace personnel : espace personnelGroupe : La FamilleDate d'arrivée à l'Institut : 17/07/1996Age : 28UlysseDisparu de l'Île
Mar 14 Juil - 22:06
Je m'enfuis mais et toi ?
Ulysse & Nevrabriel
Ulysse avait la sensation de faire ce qu'il fallait quand il lui demandait s'il voulait se joindre à eux. S'enfuir loin de cette île qui n'a pas fait que du mal puisqu'elle lui a permis de rencontrer Atsuka. Mais il ne pouvait pas ignorer la souffrance des autres, des lubies sadiques des médecins. Il se fit la promesse qu'une fois le doctorat en poche, il fera tout pour faire en sorte que ses patients soient les plus heureux de la Terre.
L'émotion qui prit d'assaut le visage de son ami le laissa dubitatif. Était-il triste de le voir partir ou ému d'avoir une occasion de fuite entre ses mains ? Il resta attentif, scrutant avec attention la moindre de ses réactions.
_Ulysse … je …
Ses larmes qui se libérèrent inquiétèrent le blondinet. Avait-il dit quelque chose qu'il ne fallait pas ? Il se mit à légèrement paniquer, ignorant le chahut à côté d'eux. Seules les émotions de Nevrabriel comptaient en cet instant. Il n'avait aucunement l'objectif d'attrister son ami. Parce qu'il était son ami. Et c'était tellement un exploit pour lui qu'il ne voulait en aucun cas lui faire du mal.
Le rouquin tendit les bras à Ulysse, l'invitant à une embrassade peu virile mais forte en émotions. Il accepta, s'avançant vers lui et le serrant contre lui dans l'espoir de faire taire ses larmes. Ulysse ne comprenait pas ce qu'il le mettait dans cet état et ses pensées se bousculèrent, tentant de trouver une explication à cet état submergé par les émotions.
_C’est certainement le plus beau cadeau qu’on ait pu me faire depuis des années. Merci …
Le cœur d'Ulysse fut soudain plus léger. Soulagé de savoir que c'était une chose positive, il se mit à sourire timidement. Nevrabriel méritait de partir. Il méritait de s'en aller loin de son médecin étrange et sadique, de se reconstruire plus sainement, de vivre une vie sans drames et heureuse.
Ce cadeau, il semblait naturel pour Ulysse de lui offrir. Nevrabriel faisait partie des personnes les plus sincères et émotives qu'il ait jamais connu, et il avait contribué au développement du blond. Un développement envers la compréhension des autres.
_Je ne peux pas partir, ils ont besoin de moi, mais savoir que j’ai une place, même infime, quelque part dans ce mode, me fait chaud au cœur.
Il appuya ses paroles en se séparant de Ulysse. C'est grâce à ce geste qu'il sut qu'il était sérieux et qu'il ne devrait pas insister. Il n'exprima pas sa déception quant à son refus puisqu'il comprenait son combat, et qu'il ne pourrait l'en défaire.
Il le laissa également s'exprimer, sentant que Nevrabriel avait encore des choses à dire.
_Promet moi d’être heureux et je viendrais vous voir dès que je le pourrais, promis.
- Je te le promets.
Il ne pensait pas que cet au revoir serait si douloureux. Il sentait son ventre se tordre et ses yeux s'humidifier. C'était comme lorsqu'il avait quitté sa famille pour rejoindre l'Institut, à la différence qu'il avait la certitude qu'il les reverrait. Nevrabriel, il n'en savait rien. Et cette perspective lui était terrifiante.
Il inspira et le regarda fouiller dans ses affaires. Il en sortit une pochette et un carnet. Perplexe, il jeta un oeil vers son ami, la gorge serrée, en prenant les objets qu'il lui confiait.
_Je vais te demander un service. Lorsque tu seras loin d’ici et en sécurité avec Atsuka, peux-tu envoyer ça pour moi ?
- Bien sûr, articula-t-il, ému.
Nevrabriel lui indiqua où les envoyer, adresses gravées à jamais dans la mémoire d'Ulysse. Plus cette conversation avançait, plus le blond avait du mal à retenir ses larmes qui se mirent à couler toutes seules. C'était une des rares fois où elles osaient sortir, lui qui avait du mal avec ses propres émotions.
Cet au revoir ressemblait tellement à des adieux qu'il ne voulait pas y croire. Et pourtant, c'était le cas. Ils étaient l'un devant l'autre, à se regarder, les yeux larmoyants. Tout changeait si soudainement, c'était trop dur à croire.
Dans un dernier geste de tendresse, Nevrabriel lui prit la main et lui avoua :
_Ulysse ... Je suis très heureux d’être ton ami.
Il déglutit, un peu dans les vapes. Il savait que ce qui l'attendait allait le remplir de bonheur, des jours et des jours aux côtés d'Atsuka Nozomi. Mais laisser son ami derrière lui, ses compagnons, lui laissait un goût amer.
- Je vais continuer mes études à Harvard. Si jamais tu veux me trouver, j'y serai.
La poignée de main se transforma en une dernière étreinte, les joues humides et rougies par le chemin tracé par ses larmes. Il avait besoin de ce dernier contact avec lui, se souvenir en détail de cet instant.
Puis il se détacha et lui dit à son tour, prenant de nouveau ses affaires :
- Merci, Nevrabriel. Pour tout. Et désolé de ne pas pouvoir être avec vous ce soir. Excuse moi auprès de Ophelia.
Il amorça un pas, avant de se retourner, l'air reconnaissant :
- Si jamais tu changes d'avis, je serais au port. Je ne t'oublierai jamais, Nev.
Il lui adressa un sourire et se mit à marcher rapidement vers le bâtiment du personnel, me.visage ravagé par la tristesse. Il n'avait aucun regret, mais il ne put s'empêcher de se sentir coupable de la souffrance des autres sans pouvoir les aider.
Mais lui et Atsuka en avait parlé.
Ils s'enfuieraient ensemble.
Pardon Nevrabriel. Pardon Ophelia. Pardon à tous.
L'émotion qui prit d'assaut le visage de son ami le laissa dubitatif. Était-il triste de le voir partir ou ému d'avoir une occasion de fuite entre ses mains ? Il resta attentif, scrutant avec attention la moindre de ses réactions.
_Ulysse … je …
Ses larmes qui se libérèrent inquiétèrent le blondinet. Avait-il dit quelque chose qu'il ne fallait pas ? Il se mit à légèrement paniquer, ignorant le chahut à côté d'eux. Seules les émotions de Nevrabriel comptaient en cet instant. Il n'avait aucunement l'objectif d'attrister son ami. Parce qu'il était son ami. Et c'était tellement un exploit pour lui qu'il ne voulait en aucun cas lui faire du mal.
Le rouquin tendit les bras à Ulysse, l'invitant à une embrassade peu virile mais forte en émotions. Il accepta, s'avançant vers lui et le serrant contre lui dans l'espoir de faire taire ses larmes. Ulysse ne comprenait pas ce qu'il le mettait dans cet état et ses pensées se bousculèrent, tentant de trouver une explication à cet état submergé par les émotions.
_C’est certainement le plus beau cadeau qu’on ait pu me faire depuis des années. Merci …
Le cœur d'Ulysse fut soudain plus léger. Soulagé de savoir que c'était une chose positive, il se mit à sourire timidement. Nevrabriel méritait de partir. Il méritait de s'en aller loin de son médecin étrange et sadique, de se reconstruire plus sainement, de vivre une vie sans drames et heureuse.
Ce cadeau, il semblait naturel pour Ulysse de lui offrir. Nevrabriel faisait partie des personnes les plus sincères et émotives qu'il ait jamais connu, et il avait contribué au développement du blond. Un développement envers la compréhension des autres.
_Je ne peux pas partir, ils ont besoin de moi, mais savoir que j’ai une place, même infime, quelque part dans ce mode, me fait chaud au cœur.
Il appuya ses paroles en se séparant de Ulysse. C'est grâce à ce geste qu'il sut qu'il était sérieux et qu'il ne devrait pas insister. Il n'exprima pas sa déception quant à son refus puisqu'il comprenait son combat, et qu'il ne pourrait l'en défaire.
Il le laissa également s'exprimer, sentant que Nevrabriel avait encore des choses à dire.
_Promet moi d’être heureux et je viendrais vous voir dès que je le pourrais, promis.
- Je te le promets.
Il ne pensait pas que cet au revoir serait si douloureux. Il sentait son ventre se tordre et ses yeux s'humidifier. C'était comme lorsqu'il avait quitté sa famille pour rejoindre l'Institut, à la différence qu'il avait la certitude qu'il les reverrait. Nevrabriel, il n'en savait rien. Et cette perspective lui était terrifiante.
Il inspira et le regarda fouiller dans ses affaires. Il en sortit une pochette et un carnet. Perplexe, il jeta un oeil vers son ami, la gorge serrée, en prenant les objets qu'il lui confiait.
_Je vais te demander un service. Lorsque tu seras loin d’ici et en sécurité avec Atsuka, peux-tu envoyer ça pour moi ?
- Bien sûr, articula-t-il, ému.
Nevrabriel lui indiqua où les envoyer, adresses gravées à jamais dans la mémoire d'Ulysse. Plus cette conversation avançait, plus le blond avait du mal à retenir ses larmes qui se mirent à couler toutes seules. C'était une des rares fois où elles osaient sortir, lui qui avait du mal avec ses propres émotions.
Cet au revoir ressemblait tellement à des adieux qu'il ne voulait pas y croire. Et pourtant, c'était le cas. Ils étaient l'un devant l'autre, à se regarder, les yeux larmoyants. Tout changeait si soudainement, c'était trop dur à croire.
Dans un dernier geste de tendresse, Nevrabriel lui prit la main et lui avoua :
_Ulysse ... Je suis très heureux d’être ton ami.
Il déglutit, un peu dans les vapes. Il savait que ce qui l'attendait allait le remplir de bonheur, des jours et des jours aux côtés d'Atsuka Nozomi. Mais laisser son ami derrière lui, ses compagnons, lui laissait un goût amer.
- Je vais continuer mes études à Harvard. Si jamais tu veux me trouver, j'y serai.
La poignée de main se transforma en une dernière étreinte, les joues humides et rougies par le chemin tracé par ses larmes. Il avait besoin de ce dernier contact avec lui, se souvenir en détail de cet instant.
Puis il se détacha et lui dit à son tour, prenant de nouveau ses affaires :
- Merci, Nevrabriel. Pour tout. Et désolé de ne pas pouvoir être avec vous ce soir. Excuse moi auprès de Ophelia.
Il amorça un pas, avant de se retourner, l'air reconnaissant :
- Si jamais tu changes d'avis, je serais au port. Je ne t'oublierai jamais, Nev.
Il lui adressa un sourire et se mit à marcher rapidement vers le bâtiment du personnel, me.visage ravagé par la tristesse. Il n'avait aucun regret, mais il ne put s'empêcher de se sentir coupable de la souffrance des autres sans pouvoir les aider.
Mais lui et Atsuka en avait parlé.
Ils s'enfuieraient ensemble.
Pardon Nevrabriel. Pardon Ophelia. Pardon à tous.
Image : Fiche personnage : [url=]fiche personnage[/url]Espace personnel : [url=]espace personnel[/url]Groupe : Les DisparusDate d'arrivée à l'Institut : 01/12/2017Age : 26
Fiche personnage : [url=]fiche personnage[/url]Espace personnel : [url=]espace personnel[/url]Groupe : Les DisparusDate d'arrivée à l'Institut : 01/12/2017Age : 26Amalia ReanoBras-droit de Victor
Mer 15 Juil - 16:24
ft.
des insectes
et W05
des insectes
et W05
The Beginning
Son amie était aussi armée d'une lame. Son sourire s'agrandit en guise de réponse et elle rangea la sienne dans sa poche. Néanmoins, ses doigts étaient toujours serrés sur le manche. Tendues comme deux panthères pendant une chasse, les deux femmes guettaient les mouvements de leur proie. Elles avaient certainement été repérées, puisque l'insecte en question s'était réfugié auprès d'un autre. Vu qu'il revenait avec une attitude qu'il voulait assurée, ils étaient peut-être même plus nombreux derrière. Amalia plissa les yeux et, alors que la frêle silhouette se dirigeait vers le duo, elle observait les mouvements aux alentours. Notamment de la part de l'inconnu derrière.
-Hum… Excusez-moi ? Pouvez-vous décliner votre identité et me dire la raison de votre présence ici ? Il s’agit du bâtiment des patients après tout, la présence de membres du personnel est assez étrange.
L'Italienne ne répondit pas, se contentant d'un regard bref mais désintéressé. Elles n'avaient pas de comptes à lui rendre, elles étaient dans leur droit. Contrairement à des patients dans la cour à l'heure du dîner, alors que le couvre-feu allait bientôt tomber. Bon sang qu'il était ridicule sur ce banc... qui croyait-il intimider ? Un grognement de mécontentement s'échappa de sa gorge. Elizabeth paraissait partager son avis, tapant rageusement un message sur son téléphone.
-Je suis concierge, je vais où je veux. C'est la présence de patients à l'heure du coucher qui est étrange.
L'assistante de Victor Graham ricana en voyant la chute du patient. Elle dépassa la scène de quelques centimètres, toisant du regard la silhouette en retrait. Elle laissa briller l'acier du canif en guise d'avertissement, avant de retourner auprès de l'ex-W05 et de se pencher au-dessus du visage du patient.
-Tu vas nous dire tout ce que l'on veut savoir. Et sans mentir, asséna-t-elle durement.
Ses sens restaient en alerte et elle jetait de temps en temps un regard autour. D'un mouvement de doigt, elle avait enclenché l'application "microphone" de son portable.
-Hum… Excusez-moi ? Pouvez-vous décliner votre identité et me dire la raison de votre présence ici ? Il s’agit du bâtiment des patients après tout, la présence de membres du personnel est assez étrange.
L'Italienne ne répondit pas, se contentant d'un regard bref mais désintéressé. Elles n'avaient pas de comptes à lui rendre, elles étaient dans leur droit. Contrairement à des patients dans la cour à l'heure du dîner, alors que le couvre-feu allait bientôt tomber. Bon sang qu'il était ridicule sur ce banc... qui croyait-il intimider ? Un grognement de mécontentement s'échappa de sa gorge. Elizabeth paraissait partager son avis, tapant rageusement un message sur son téléphone.
-Je suis concierge, je vais où je veux. C'est la présence de patients à l'heure du coucher qui est étrange.
L'assistante de Victor Graham ricana en voyant la chute du patient. Elle dépassa la scène de quelques centimètres, toisant du regard la silhouette en retrait. Elle laissa briller l'acier du canif en guise d'avertissement, avant de retourner auprès de l'ex-W05 et de se pencher au-dessus du visage du patient.
-Tu vas nous dire tout ce que l'on veut savoir. Et sans mentir, asséna-t-elle durement.
Ses sens restaient en alerte et elle jetait de temps en temps un regard autour. D'un mouvement de doigt, elle avait enclenché l'application "microphone" de son portable.
Image : Fiche personnage : Qui est-ce ?Espace personnel : Dossiers et rapportsGroupe : Institut GrahamDate d'arrivée à l'Institut : 13/07/2015Age : 27
Fiche personnage : Qui est-ce ?Espace personnel : Dossiers et rapportsGroupe : Institut GrahamDate d'arrivée à l'Institut : 13/07/2015Age : 27
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