-Je suis d'accord avec lui. Elle a quand même balancé le téléphone à travers la moitié de la pièce et ne partage pas ses découvertes. Sans dire qu'il y a volonté de nuire, même si j'en doute de plus en plus, c'est étrange. Puis, c'était la première à demander de relativiser le meurtre avant d'en reparler, alors que nous n'avions même pas encore déchiffré le papier du piano.
Elle écoute d'une oreille distraite le groupe du téléphone, à l'ouest. De toute façon, ils la détestent tous pour avoir cassé le téléphone. Elle marmonne de nouvelles excuses à l'intention de la rouquine aux traits juvéniles, ainsi qu'auprès de l'albinos. En effet, repérant que les supers-nanas (rejointes par un mec assez grand) lui jettent de temps en temps des coups d'oeil tout en parlant assez bas. Se doutant qu'on parle d'elle, elle approche doucement, entendant la fin de la phrase de la brune ténébreuse.
« ... balancé le téléphone à travers la moitié de la pièce et ne partage pas ses découvertes. Sans dire qu'il y a volonté de nuire, même si j'en doute de plus en plus, c'est étrange. Puis, c'était la première à demander de relativiser le meurtre avant d'en reparler, alors que nous n'avions même pas encore déchiffré le papier du piano.»
« Si j'étais véritablement l'assassin, je n'aurai pas été la première à dire qu'il y en a un. Au contraire, j'aurais essayé de justifier le sang par autre chose que le meurtre. Et pas besoin de déchiffrer un code pour comprendre qu'il y eu un meurtre. Nous sommes en huits clos, enfermés. Si ce sang venait de l'un d'entre nous, on l'aurait déjà dit. On se réveille dans un lieu inconnu, on ne se connaît pas, alors oui, je pense en premier à un assassinat. Excusez-moi d'avoir eu peur pour ma vie. »
Elle serre dans sa main (main qui est dans sa poche) ce qu'elle a trouvé, se doutant qu'elle devrait le montrer à un moment ou un autre mais ... va-t-on le trouver utile ? Est-ce vraiment une découverte ? Peut-elle vraiment montrer quelque chose qu'elle a remarqué sans avoir aucun allié ?
Halloween
J'ai trouvé un code morse avec la lampe qui grésille là, le code c'est ... 118 218 .... mais le fou derrière ne m'a pas répondu ! ça doit être le code d'autre chose, je ne sais pas. Pourtant je suis assez sûr de moi.
Le grand jeune homme me répondait! Et il semblait intelligent en plus, il avait découvert un code en morse. Pourquoi la voix ne lui avait pas répondu? Il l’avait tapé ou simplement dis ? Je voulais lui demander quand il ajoutait...
Et ta copine blonde elle est suspect quand même, je l'ai vu ramasser quelque chose sous le tapis, pourquoi est-ce qu'elle ne le partage pas comme elle,
Oui, s’il était vrai qu’elle avait caché quelque chose, ça pouvait être suspect, mais elle avait eu du bol de trouver quelque chose peut-être que cela l’avait angoissé, peut-être n’était-ce même pas un indice. La jeune femme aux cheveux noirs semblait elle aussi méfiante
Je suis d'accord avec lui. Elle a quand même balancé le téléphone à travers la moitié de la pièce et ne partage pas ses découvertes. Sans dire qu'il y a volonté de nuire, même si j'en doute de plus en plus, c'est étrange. Puis, c'était la première à demander de relativiser le meurtre avant d'en reparler, alors que nous n'avions même pas encore déchiffré le papier du piano.
« Si j'étais véritablement l'assassin, je n'aurai pas été la première à dire qu'il y en a un. Au contraire, j'aurais essayé de justifier le sang par autre chose que le meurtre. Et pas besoin de déchiffrer un code pour comprendre qu'il y eu un meurtre. Nous sommes en huits clos, enfermés. Si ce sang venait de l'un d'entre nous, on l'aurait déjà dit. On se réveille dans un lieu inconnu, on ne se connaît pas, alors oui, je pense en premier à un assassinat. Excusez-moi d'avoir eu peur pour ma vie. »
Je n’avais rien eu le temps de dire, la blonde nous avait rejoint et se défendait comme elle le pouvait. Les deux filles ne faisaient clairement pas bon ménage. Le grand garçon lui semblait plus poser malgré la situation.
Je n’avais pas l’habitude d’élever la voix ni de prendre position, mais calmer le jeu était primordial.
Il ne faut pas s’embrouiller, si on ne reste pas calme on ne va jamais s’en sortir! Euh... vous deux (Nevrabriel & Amalia) vous aviez commencé l’énigme de l’ordinateur pouvez-vous essayer de voir si une des idées pourrait aider à quelque chose? Vous avez déjà résolu deux énigmes à vous deux, vous semblez douée pour ça.
Je me tournais vers la blonde (Ophélia).
Veux-tu bien venir avec moi ? Ce.. eu.. jeune homme a trouvé un code qui n’a pas fonctionné pour le téléphone, mais je sais qu’il n’est pas brisé. On pourrait essayer de nouveau.
Je fis signe à mon nouvel ami aux cheveux si jolis. Je reviendrais le voir rapidement, je voulais juste parler un moment avec la pauvre fille qui se faisait regarder de travers pour sa... maladresse.
Groupe : La FamilleDate d'arrivée à l'Institut : 20/02/2018Age : 25
-Calme-toi, on a juste dit que tu étais étrange, pas que tu étais le meurtrier. Tu as dit au départ que ce pouvait être un suicide, et même que ce n'était pas forcément un mort car on ne voyait pas de cadavre. Puis tu as soudainement changé d'avis, alors que la situation n'avait en rien évolué. Tout le monde a peur pour sa vie, mais tout le monde ne cache pas sa découverte.
Elle tendit la main.
-Alors, tu montres ton indice ou tu préfères le garder pour toi et aggraver ton cas ? Car pour l'instant, pour ta possible maladresse et tes secrets, on fait le jeu de l'assassin.
Si elle essayait encore de se défendre sans agir, alors Amalia la placerait directement en suspect numéro 1.
Ou alors elle étai bien plus intelligente que tout le monde ici et avait repéré cette fille dès le début et dès le début la suivait pour justement surveiller ses gestes.
Maline ou naïve ?
Il posa sa main que l'épaule de sa camarade pour attirer son attention et se pencha pour lui confier :
_Je crains que si on la brusque trop elle ne se mette à vraiment cacher tout les indices qu'elle va trouver et si on veut sortir c'est vraiment la dernière chose qui peut nous arriver.
La petite dame aux cheveux blanc (Lucy) avait l'air d'être limite collé à elle et elle semblait assez sincère comparé aux autres. S'il ne pouvait rien obtenir de l'autre blonde, peut-être qu'il pourrait faire en sorte de prendre l'info de cette personne ?
_Soit on l'assomme on lui prend ce qu'elle a ramassé, soit on l'oblige jusqu'à ce qu'elle craque mais c'est un coup à ce qu'elle casse tout ou nous tue pour avoir trouvé la vérité si elle est derrière tout ça, ou alors on laisse les deux se rapprocher et je vais cuisiner la fille aux cheveux blancs, elle a l'air plus abordable.
Nev ne savait pas s'il pouvait faire confiance à cette fille (Amalia) mais parmi toute la populace, elle semblait être la plus logique et cherchait réellement à sortir d'ici. Mais elle était un peu impulsive et il ne voulait pas se faire tuer à cause de ça.
_Je serais plus pour la dernière option. Si on l'assomme et qu'elle n'a rien de spéciale alors ça va se retourner contre nous. Si on l'oblige et qu'elle est coupable ça va aussi se retourner contre nous. Allons résoudre l'indice de l'ordinateur mais ne la quittons pas des yeux, ça te va ?
entourageGroupe : Institut GrahamDate d'arrivée à l'Institut : 10/02/2013Age : 26
« Alors, tu montres ton indice ou tu préfères le garder pour toi et aggraver ton cas ? Car pour l'instant, pour ta possible maladresse et tes secrets, on fait le jeu de l'assassin. »
Ophelia fait une moue de mécontentement. Hésitante. La main moite tenant ce qu'elle avait trouvé. Si elle leur montre, ils iront dans leur coin essayer de résoudre le truc en l'ignorant. Mais si elle ne leur montre pas, et que l'un d'eux est l'assassin, il pourrait facilement la menacer. Surtout que le grand là, Ophelia n'a pas envie de l'affronter dans un désaccord physique.
Dans tous les cas, elle est perdante.
Bien qu'elle ne soit pas fan de la manière dont ils souhaitent coopérer, étant contre la violence (et en l'occurrence, ici, elle est dans les mots et comment ils sont employer), elle abdique.
« Très bien, tenez. »
C'est à contrecœur qu'elle ouvre la main et dévoile le papier plié en deux. Elle le tend à la ténébreuse (Amalia), lui laissant le soin de la déplier.
« Je n'ai pas pris le temps de lire », avoue-t-elle.
Parce que même si elle fait quelque chose de discret, tout le monde a l'air de la remarquer. Alors lire ça tranquillement c'était impossible. Elle avait eu trop peur qu'on vienne le lui arracher des mains, alors autant le donner. Depuis tout à l'heure ça lui causait plus de mal que de bien.
- l'indice:
Halloween
Si le grand semblait avoir trouvé mon intervention pertinente, les deux autres semblaient trop occupés pour entendre ce que j’essayais de dire. Découragée je haussais les épaules, qu’elles se tapent dessus j’avais faits ce que je pouvais pour la blonde et pour calmer le jeu. Je n’étais définitivement pas douée pour m’imposer. J’étais au moins heureuse d’avoir rencontré le jeune homme aux cheveux rouges avant de mourir découpé ou autre par un fou. Il y avait au moins ça de positif. Je lui fis un petit signe de la main avant de me retirer du groupe. Je retournais au téléphone, je n’étais pas folle j’avais entendu parler, il n’était pas cassé... enfin pas complètement. Je le pris et m’installais tranquille.
Toujours les bruits étranges.
Heu...allo, c’est Lucy... le code serait 118 218
...
Je me relève et lance un merci. Pourquoi je remercie ce mec moi? Je garde le téléphone avec moi, direction le projecteur.
Je regarde attentivement la projection. La gamine a hurlé un quatre... oui en effet c’est bien un quatre retourné en miroir qu’il manque. Mais que voulait-il dire... Je regardais, je ne voyais pas où entrer de code, ni ce qu’il voulait. Il n’avait rien dis à la fille qui avait trouvé la solution...
Le code serait inscrit sur le projecteur... ça ne pouvait pas être aussi idiot...
Je me faufilais jusqu’au garçon. (Nev)Je pris sa main, personne n’écoutait de toute façon, lui oui. Je l’emmenais derrière moi jusqu’à l’armoire encore verrouillée.
Ton code il marchait... le téléphone il m’a dit que nous avions déjà le code, que c’était le projecteur.
Deux personnes étaient déjà sur le cadenas (Ryota & Soren)
Pardon, je me permets d’essayer une fois si ça ne vous embête pas...
Je glissais le code idiot... 1 2 3 4 et tirais le cadenas.
- Spoiler:
NB: Nev merci pour ton génie... on cherchait tellement trop loins jpp
artemis | www
Groupe : La FamilleDate d'arrivée à l'Institut : 20/02/2018Age : 25
-On va terminer de s'occuper de l'ordinateur puis on réfléchira au papier, tu nous accompagnes ou pas ?
Le ton était cinglant. Elle n'allait pas être patiente longtemps et, pour elle, cette proposition était comme un cessez-le-feu. A l'autre de saisir l'occasion, sinon les soupçons qui pesaient sur elle n'allaient pas forcément réduire. L'italienne se dirigea à nouveau vers l'ordinateur. Où en étaient-ils ? Ah oui, le point de fuite...
- Aussi, ça ne te dérange pas que je la récupère le temps des recherches? Ce n'est pas contre toi mais je préfère être trop prudente plutôt que pas assez...
Je m'arrête un instant, méfiante. Si elle est l'assassin et qu'elle a caché les balles sur elle, ça risque d'être problématique. Je me mets face à elle. J'ai envie de lui faire confiance - elle est très mignonne en plus, tout à fait mon style - mais je n'arriverai pas à bien inspecter la pièce si je crains qu'on me tire une balle dans la nuque.
- Est-ce je peux vérifier que tu n'as pas les balles sur toi ? Si j'en ai la certitude, alors oui, je te le donne.
Je préfère le faire, plutôt qu'elle ne le fasse. Elle pourrait facilement éviter l'endroit où elle aurait potentiellement dissimulé une balle. Et à mon plus grand désarroi, si elle accepte que je la fouille, je n'en profiterai pas. Je resterai professionnelle, et surtout fidèle à Angie.
Mon interlocutrice du moment glissent ses doigts sur le mur, cherchant déjà un impact de balle. Puis elle me regarde, méfiante sur ma demande.
- Est-ce je peux vérifier que tu n'as pas les balles sur toi ? Si j'en ai la certitude, alors oui, je te le donne.
Légitime. Et honnêtement si elle n'avait pas demandé, je l'aurai proposé. De toute façon j'ai rien à cacher. J'ouvre légèrement les bras pour lui montrer qu'elle a l'autorisation.
Nev attendit que la fille aux cheveux noirs déplit le papier pour l'examiner. C'était une page de "Roméo et Juliette", il ne savait pas pourquoi mais cela le faisait sourire ...
Il voulut approfondir mais la brune semblait vouloir rendre le papier.
Hop hop hop.
Nev prit le papier pour le scruter tout en suivant la demoiselle vers l’ordinateur.
- Partie pour Amalia et Ophelia ;):
- Cellule, quelques minutes avant son réveil, sépulture, bruit alarmant, sacrifiée, e i x e n i j a.
Cellule ? Sacrifiée ? ... un prénom ? Eixenija ? Hm … ça sonne plutôt comme Eizenija. Eizenija ça lui disait quelque chose.
_C'est qui Eizenija ?
Est-ce que c'est la personne qui a été ou va être tué ?
Etait-ce un sacrifice ? Est-ce que le meurtrier comptait la tuer elle, seulement elle ? Pourquoi un sacrifice ? Etait-ce à eux de la tuer pour pouvoir sortir d’ici ? Est-ce que le meurtrier avait pris la place de cette Eizenija ? ... Il semblait assez tordu pour ça. Peut-être que le meurtrier se faisait vraiment passer pour l'un d'entre eux et qu'il avait déjà prit la place de cette Eizenija.
Il devait repérer Eizenija, elle devenait suspect n°1 devant la blonde et espérait que ce n’est pas elle qui ait l’arme à feu, vu que c'était un prénom féminin et que c'était un groupe de filles qui l’a trouvé.
Il n'eut pas le temps de parler de ses hypothèses à ses camarades que la jolie fille toute blanche lui prit la main pour l'emmener. Il était surpris mais se laissa faire. Juste avant de partir, il ajouta pour sa camarade (Amalia) assez bas pour que seule elle entende :
_Ne laisse pas le gun à Eizenija.
Il ne savait pas, il était totalement perdu. Elle était la victime ou le meurtrier ? De toute évidence il avait bien vu le caractère trempé de la fille aux cheveux noirs, elle ferait en sorte de bien faire les choses.
Il suivit la demoiselle qui était venue le chercher, cela lui permettrait de réfléchir sur ces mots.
Il fut assez surpris de savoir que "son code" avait fonctionné. Pourquoi l'autre taré ne lui avait-il pas répondu ?
Le code de ce cadenas était 1234, sérieux ? Nev zyeuta les garçons à cotés, le regard remplis de jugement. Ils étaient là-dessus depuis leur réveil et n'avaient même pas tenté le code le plus basique du monde ? Ils ne servaient à rien, surtout l’autre débile qui avait dormi sur lui, vraiment inutile. En même temps ils avaient l'air de se regarder avec des yeux remplis d'amour ces deux là. Au moins ils étaient plus discret que le couple malaisant, d'ailleurs ils faisaient quoi ces deux inutiles ? Des bébés derrières les canapés ?
entourageGroupe : Institut GrahamDate d'arrivée à l'Institut : 10/02/2013Age : 26
-Je vais essayer de trouver cette Eizenija. Au fait, moi c'est Amalia.
Et, voyant que l'arme était de nouveau de sortie, elle fila vers le duo formé par une autre femme et son acolyte de toute à l'heure. Elle prit prestement l'arme des mains.
-Désolée, je voulais l'examiner rapidement, peut-être que ça peut nous aider pour l'ordinateur...
Elle pointa l'écran du doigt avant de regarder l'arme sous toutes les coutures. Un point sur le canon peut-être ? Bien évidemment, c'était un mensonge et elle ne vit rien. innocemment, elle regarda les deux jeunes femmes :
-Non, rien... Je m'excuse encore... J'ai juste besoin de savoir vos noms s'il vous plaît. Je m'appelle Amalia.
En le faisait la première, elle espérait les encourager à lui donner les leurs.
L'armoire s'ouvre sous l'impulsion de Lucy. Le code est en effet le bon...
Les quatre comparses présents face à l'armoire (Soren, Ryota, Lucy et Nev) l'ouvrent. Voilà ce qu'il y trouve :
- indice de l'armoire:
Quand la porte s'ouvrit enfin, l'esprit de Soren passa par une ribambelle d'émotion. Joie que la porte soit ENFIN ouverte, parce que ça faisait un petit moment qu'ils étaient devant en train d'essayer des codes. Déprime que les tentatives se soit révélées être totalement inutile, mais bon en tentant des codes au hasard fallait s'y attendre. Rage, que le vrai code soit un simple 1234. Le meurtrier devait bien se marrer tiens, c'était clairement du troll. Ou peut-être qu'il les jugait très très fort, après tout, qui ne tente pas le code le plus simpliste du monde en premier, hein ? Soren était dépité.
L'intérieur de l'armoire était simple, quelques affaires de toilette sur l'étagère du haut et une pile de serviette avec un objet mystère en dépassant. La main de Soren s'approcha machinalement de l'objet en question et s'en saisit.
"- Une clé USB ?"
Il recula de quelques pas, observant la clé dans sa main, la tournant dans tous les sens pour être sûr que rien n'était inscrit dessus. Il jeta un coup d'œil rapide à l'ordinateur. Oh mon dieu, pourquoi étaient-ils tous en train de se toiser comme ça ?
Soren reporta son regard sur l'armoire et sur les personnes autour de lui. Vu l'ambiance dans la pièce, le meilleur choix qui s'offrait à lui était d'aller essayer la clé USB et laisser les autres continuer de fouiller l'armoire. Il s'approcha alors du groupe vers l'ordinateur, anxieux et montra l'objet dans ses mains.
"- Euh, excusez-moi ? Si vous avez fini avec l'ordinateur, on a trouvé ça."
Il jeta un œil à l'écran déjà allumé. Ah, c'était peut-être pas le bon moment au final, le groupe bossait déjà sur une énigme.
Halloween
Miracle le code était le bon. Le mystère était pourquoi personne ne l’avait testé alors qu’il était affiché en géant par le projecteur...
L’un des garçons qui étaient déjà près de l’armoire à mon arrivée s’occupa de fouiller parmi les serviettes, je me concentrais donc sur le haut. Il n’y avait rien de vraiment intéressant sauf... un cellulaire. Je le gardais bien dans ma main, celui-là personne ne le balancerait contre un mur.
Le garçon (Soren) avait trouvé une clé USB, sans doute son compagnon allait-il l’accompagner pour découvrir son contenu.
Je me retournais vers mon nouvel ami (Nevrabriel).
J’ai trouvé un cellulaire... la voix elle a ri la dernière fois quand j’ai dit ton code, je crois qu’il sert plutôt à ce téléphone-ci.
Je lui montrais ma trouvaille, me rapprochant du jeune homme.
Testons encore une fois.
Sur le clavier je tapais les numéros 118 218...
Je tenais le téléphone entre nous deux, je voulais qu’il puisse entendre si quelque chose se produisait.
Groupe : La FamilleDate d'arrivée à l'Institut : 20/02/2018Age : 25
Du téléphone que Lucy tient s'échappe une voix toute guillerette :
- Alloo, service d'informations en ligne bonjouuur, que puis-je faire pour vous ?
Vous pourriez croire que ce code est une vaste blague en entendant cela. Sauf que la voix qui répond n'est pas celle d'un standardiste lambda mais bien la grosse voix modifiée du psychopathe.
Il ne s'y attendait pas vraiment mais l'armoire s'ouvrit avec le code 1234 ... ce code qui était en gros projeté sur le mur, et ces deux guignols n'y avaient pas pensés ? Entres eux et la nana qui cachait des indices, à croire que personne ne voulait sortir d'ici !
Mais pour encourager la petite, il lui ébouriffa les cheveux en ajoutant :
_T’es futée toi.
Plus futée que ces deux là en tout cas. Mais il devrait peut-être l'écouter, elle semblait avoir des ressources même si clairement les gens ne semblaient pas lui prêter attention.
Nev croisa les bras et laissa la fille et l'un des mec (Soren) fouiller dans le placard. Il commençait à avoir soif mais avait peur que l'eau ne soit empoisonné. Le gars commença a aller vers l'ordinateur tandis que la fille revint vers Nev avec un téléphone portable.
Un autre téléphone ?
Nev ne s'attendait pas réellement à grand chose mais lorsqu'une voix retendit à l'autre bout du fil il retient un puissant "Ecoute moi petit enculé, je vais te retrouver et de faire regretter le jour de ta naissance."
Oh oui il se retenait.
Une question vite.
Une question intelligente.
Le taré n'allait certainement pas leur dire si facilement comment sortir d'ici.
Et s'il ne répondait que par oui ou pas non ?
Et s'il voulait une question précise ?
Bon sang vite, une question !
_A .... A qui ne doit on pas faire confiance ?
Nev ne savait pas si c'était la bonne question à poser, mais il espérait que ce taré lui réponde et que la réponse ne serait pas "à tout le monde" parce que là clairement il allait vraiment lui faire manger ses grands morts.
entourageGroupe : Institut GrahamDate d'arrivée à l'Institut : 10/02/2013Age : 26
Il hésita puis plongea son regard dans celui de son protecteur. Avec lui à ses côtés, Donatien était en sécurité. Il pouvait se permettre de le dire. Il pouvait s'exprimer sans craindre pour sa vie. C'était la première fois qu'il ressentait un tel sentiment d'assurance, lui qui pourtant s'était déjà montré sûr et affirmé.
Il constata l'ensemble des personnes et retrouva sa posture de leader. S'il avait un physique questionnant et une démarche décharnée, on ne pouvait pas lui ôter le charisme dont il savait faire preuve. D'une voix forte - quoique comme ralentie -, il interpella l'assemblée.
- Arrêtez de lui donner des indices.
Il laissa planer un suspens. Il aimait marquer des pauses entre ses phrases. Les silences étaient une technique pour vérifier si on avait bel et bien l'attention.
- J'ai vu l'assassin commettre son meurtre.
Il en resta là, anticipant sa réponse à quelqu'un qui l'accuserait de ne pas en avoir parlé plus tôt. Il prépara un jeu de questions-réponses tout en attendant de voir les réactions de chacun, et plus particulièrement d'une personne...
Le psychopathe réfléchit quelques secondes à l'autre bout du fil, puis finalement :
- A votre place ? Je n'aurais pas confiance en Ryota.
Une voix pré-enregistrée déclare : votre forfait téléphonique est de 0 euros. Le téléphone se coupe.
Halloween ne dure qu'une nuit
★ UA Halloween
Finalement, l'armoire au triangle fini par s'ouvrir et un petit groupe le fouille. Ryota reste du côté du bel étranger pour tester les codes sur l'autre armoire. Rien ne semble marcher et le violet ne peut s'empêcher de grommoler.
« Mais quel bordel, je déteste cette journée. »
Ce n'est pas dans son habitude de se plaindre comme ça, mais il a comme la sensation que personne n'est lui-même, aujourd'hui. C'était bien sa veine. Non seulement il s'était levé du mauvais pied, mais en plus, il était enfermé dans une pièce avec des inconnus, et sa soeur n'était nulle part dans les parages. Il espérait qu'elle allait bien.
De l'autre côté de la pièce, il se retourna en entendant une dispute. Le téléphone avait été lancé. « Ah bah bravo » lança-t-il, mais il reporta vite son attention sur autre chose, quand il fut révélé qu'une arme à feu avait été découverte. Ryota trembla légèrement. La journée était de pire en pire.
De leur côté, les tentatives sur l'armoire étaient toujours aussi désespérées et infructueuses et Ryota sentit que l'inconnu commençait à perdre patience. Une fois de plus, il posa une main sur son épaule.
« Ne vous inquiétez pas on... va y arriver »
Il y croyait peine lui-même mais voulait rassurer le brun. Il ne comprenait toujours pas pourquoi. Mais il avait besoin de le rassurer.
Une autre jeune fille fini par arriver et à la surprise de tous composa le code 1234... qui fonctionna. Ryota resta figé un instant avnt de souffler du nez...
« Sérieusement ?! C'est une mauvaise blague ?! Je ne sais pas qui nous a enfermé ici mais quand je le verrais je vais bien être sûr de lui faire regretter de nous avoir fait participer à ce jeu stupide. »
Il commençait à perdre patience, avait un peu élevé la voix. Ce n'était pas beaucoup, dans son cas, mais suffisamment pour que quelqu'un qui le connaisse s'en étonne. Mais personne ne le connaissait ici, pas vrai ?
Le brun mignon trouva une clé USB et Ryota l'accompagna jusqu'à l'ordinateur pour chercher des indices. Au moins, ils progressaient.
C'est alors que quelqu'un d'autre prit la parole. Quelqu'un qui n'avait pas parlé jusque là. Ses propos firent l'effet d'une bombe. Il avait vu l'assassin. Ryota resta bouche bée. Il n'arriva à rien dire, mais restait suspendu aux lèvres de l'étranger, voulant écouter la suite. Pourquoi il ne l'avait pas dit plus tôt ? Avait-il vu le visage de l'assassin ? Celui de la victime. A ses côtés, il remarqua à peine le roux qui continuait de poser des questions au téléphone...
HRP : Je me permets de rattraper mon retard, sachez que j'avais prévu de poster aujourd'hui de toute manière. Ryota n'a pas encore entendu ce qui était dit au téléphone c:
Bon sang.
Eizenija, Ryota. C'était qui eux ? Il fallait trouver un moyen de connaître les prénoms de tout le monde pour savoir qui était ces gens et les surveiller.
_Tu te réveil que maintenant ? C'est qui le tueur alors ?
Est-ce que ce gars voulait faire son intéressant ou est-ce qu'il avait vraiment une information ? Pourquoi est-ce qu'il le disait que maintenant ? Et pourquoi il faisait mariner tout le monde au lieu de pointer le meurtrier du doigt directement ? Seul, il pouvait facilement être maitrisé et ils pourraient lui faire cracher comment sortir d'ici !
Ou alors c'était lui le meurtrier et il voulait simplement monter le stresse de tout le monde ?
C'était lui Ryota ?
entourageGroupe : Institut GrahamDate d'arrivée à l'Institut : 10/02/2013Age : 26
- Non, rien... Je m'excuse encore... J'ai juste besoin de savoir vos noms s'il vous plaît. Je m'appelle Amalia.
Amalia donc. Elle a besoin de savoir nos noms? Je commence sérieusement à croire que ça a rapport avec le papier récemment inspecté et l'impulsivité de récupérer le pistolet. J'arrive pas à voir si elle est stressée ou pas mais dans le doute, je pose ma main sur la sienne, celle qui tient l'arme, dans un signe d'apaisement. Ok je sais, on est enfermé avec un meurtrier, c'est pas la situation la plus rassurante du monde mais si les gens paniquent trop on va pas s'en sortir. Et si je me trompe et qu'elle n'était pas tendue ben ça passera pour de la drague, écoutez.
- Sheila.
Je tourne la tête en entendant un bruit de porte en ferraille. Oh? Ils ont réussi à ouvrir la deuxième armoire !
- Arrêtez de lui donner des indices.
Un silence plane alors que j'observe l'homme qui vient de prendre la parole. Hmhm.
- J'ai vu l'assassin commettre son meurtre.
Ah ben il serait temps de se réveiller !
- Tu te réveil que maintenant ? C'est qui le tueur alors ?
Je suis plutôt d'accord avec ce que le roux dit. Mais au lieu de trop regarder le "témoin" -oui j'ai des guillemets parce que pour le moment ça reste encore à prouver, il est peut-être le tuer qui tente de nous manipuler.- j'observe les réactions de tout le monde.
E lle ne me répond pas, se contentant de me lancer un regard désagréable qui me signifie qu’elle a déjà pensé à mes propositions. J’ai un petit mouvement de recul. Ok. Je vois que ma rancœur est partagée. Mais bon… Sheila lui fait confiance… Alors je vais me calmer à son propos. Ce serait bien qu’on travaille ensemble. Peut-être qu’elle se calmera à mon égard ? Si seulement elle ne prenait pas la moindre distraction pour faire autre chose. Légèrement vexée mais n’y faisant pas plus attention je murmure.
▬ Ok… |
Bon… J’ai l’impression qu’il ne reste que moi sur cette image… Il faut que je donne tout. Les rebus… Ça ne donne rien… Une chambre… Une salle de bain… et un lieu de culte… Est-ce qu’il faudrait que ce soit un point commun ? Le seul point commun entre toutes les images serait… Un tapis ? Mais je vois pas trop à quoi ça se réfèrerait…
Puis une jeune fille nous interpelle, parlant d’un point de fuite et je remarque qu’ils sont tous là, à réfléchir avec moi, ce qui me surprend un peu, pour finalement me faire sourire. Je suis pas toute seule ! Ça me rassure. On arrive plus à quelque chose à plusieurs cerveau. Mais donc… Le point de fuite… Aaah… C’est possible… Un point… Ça peut être le point de fuite. Mmh… Les yeux rivés sur l’écran de l’ordinateur, j’essaye de trouver le point en question, prenant une feuille en papier et un crayon, la collant à l’écran pour décalquer l’image et trouver le point.
Non… Non ça ne doit pas être ça… Mais alors… Il n’y a que le point commun… Les conversations atteignent mon oreille et un détail m’intéresse d’un coup. Le tapis ! Elle avait trouvé quelque chose sous le tapis ! C’est le point commun entre les images ! C’est peut-être ça ! Cependant, je continue de réfléchir, essayant de chercher autre chose.
Puis la fille aux cheveux noirs revient, et je lui tends la feuille avec les points de fuite, lui montrant que ça ne donne pas grand-chose. Je continue à penser que le tapis est la solution et qu’on s’embête pour rien puisque l’indice est déjà trouvé…
- Les points de fuite:
Sheula
Puis un garçon à lunettes arrive demandant si on a fini avec l’ordinateur et j’hoche la tête.
▬ Oui… Vas-y. Je pense que j’ai compris. Ce n’est pas le point de fuite mais bien le point commun, puisque visiblement, il y avait un indice sous le tapis. Et le point commun est un tapis. Je pense qu’on s’embête pour rien sur cette image. |
Puis soudainement, le type aux cheveux blancs se manifeste, nous demandant de ne pas lui donner d’indices et j’hausse un sourcil. Attends… Il sait quelque chose ? Et pourquoi il l’a pas dit avant ? Tss… Je suis sûre qu’il fait juste son intéressant… Je me détourne de lui, me focalisant sur ce que cette nouvelle clé UBS a à offrir.
-J'ai vu l'assassin commettre son meurtre.
Amalia plissa les yeux. Il n'avait rien cherché, occupé à satisfaire sa libido, et donnait une information aussi capitale que maintenant ? C'était trop louche pour être sincère, il essayait de se dédouaner de quelque chose. A moins qu'il ne sorte le nom découvert avec la blonde et le grand roux, cela pourrait être cohérent. Sinon, il passait directement en tête de la liste des suspects. Être le premier à sortir un nom, c'était une technique évidente pour éviter d'être accusé, attitude parfaite pour un assassin. S'il avait "vu" le meurtrier, c'était qu'il était réveillé au moment de l'assassinat, comment pouvait-on lui donner du crédit quand ils n' avaient aucun moyen de prouver l'identité de qui que ce soit ? Personne ne semblait d'ailleurs enclin à le croire et Amalia ne faisait pas exception.
- hrp:
- J'étais persuadé d'avoir répondu, et je viens de remarquer que ce n'était absolument pas le cas, je suis désolé!
Halloween 2020
- Si je suis sûr qu'on ne m ... nous attaque pas, peut-être je peux dénoncer l'assassin ...
Je pose mon regard sur lui et pose une main sur son épaule, lui confirmant dans mon regard qu'il aura mon soutien mais aussi ma protection. Se sentant probablement plus rassuré, il hausse le ton et interpelle l'assemblée :
- Arrêtez de lui donner des indices. J'ai vu l'assassin commettre son meurtre.
Fier de son courage, j'attrape son poignet et lui souris. Si quelqu'un l'attaque, je serai prêt à réagir.